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Santé

Selon une étude menée par les chercheurs anglais du Département d’épidémiologie et de santé publique de l’University College de Londres, le temps passé par les enfants devant les écrans augmente le risque d’obésité. Le danger est particulièrement élevé pour les pré-adolescents, et notamment pour les filles.


Comment les smartphones et tablettes favorisent l’obésité chez les enfants

En se basant sur les archives du MilleniumCohortStudy, les chercheurs de l’University College de Londres ont mené une étude auprès de 12 556 enfants de 7 ans et plus, pour tenter d’établir le lien entre les écrans et les risques de surpoids. Parmi ces enfants, plus de 6278, un peu plus de la moitié, possèdent une télévision dans leur chambre.

En analysant l’Indice de Masse Corporel (IMC) et l’Indice de Masse Grasse (IMG) de ces enfants, les chercheurs se sont aperçus que les enfants disposant d’une télévision dans leur chambre, risquent davantage de devenir obèsse ou d’avoir des problèmes de surpoids.

Obésité : les filles encore plus menacées que les garçons à cause de leur inactivité

Le danger serait principalement lié aux excès, mais aussi aux mauvaises habitudes directement liées à la télévision. Par exemple, lorsqu’ils regardent la télévision, beaucoup d’enfants ont tendance à grignoter des aliments hypercaloriques.

Ce comportement malsain serait fortement influencé par l’exposition aux publicités sur les produits alimentaires diffusées à la télévision. Bien entendu, l’addiction aux smartphones, de plus en plus fréquente chez les jeunes gens, accentue également le risque.

L’étude semble également démontrer que les filles sont davantage exposées au risque d’obésité que les garçons. Ainsi, chez les garçons de onze ans, le risque de surpoids liés à l’utilisation d’appareils numériques est estimé à 20%.

Pour les filles du même âge, le risque monte à 30%. Cette différence serait liée au fait que les filles sont généralement moins actives que les garçons.
 

L’obésité infantile est l’un des grands fléaux de nos sociétés modernes. En 2015, un tiers des enfants de onze ans avaient déjà été exposés à des problèmes de surpoids. En France, 17% des enfants étaient concernés.

Toutefois, une étude menée en 2016 par des chercheurs américains démontrait que les smartphones peuvent aussi lutter contre l’obésité . Les résultats de l’étude menée par les chercheurs de l’University College de Londres peuvent être consultés dans l’International Journal of Obesity du 13 juin 2017.

Phonandroid

Manger des frites de pommes de terre peut doubler votre risque de décès précoce. Explications

Une étude récente publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition indique que les gens qui mangent des pommes de terre frites deux fois ou plus dans la semaine, doublent le risque de mort prématurée par rapport à ceux qui les évitent.


Les chercheurs ont cependant noté que manger des pommes de terre qui n’ont pas été frites, n’était pas lié à un risque similaire de mortalité précoce.

L’étude a traqué 4 440 personnes âgées de 45 à 79 ans sur une période de huit ans, pour étudier l’arthrose. Cette équipe de chercheurs a décidé de mettre temporairement en évidence, le principal problème de l’arthrose et d’examiner la consommation de pommes de terre par les participants.

Ainsi, les chercheurs ont divisé les participants de l’étude en sous-groupes en fonction de la fréquence à laquelle ils ont mangé des pommes de terre, chaque semaine. Au cours des huit années, 236 personnes parmi les participants sont décédées.

Résultat de recherche d'images pour "pommes de terre frites"
Modérer la consommation de pommes de terre, patates, marrons…

En analysant les données pour chaque groupe, Veronese et son équipe ont constaté que ceux qui mangeaient des pommes de terre frites deux à trois fois par semaine, ont doublé leurs risques de mourir tôt par rapport à ceux qui ne mangeaient pas de pommes de terre frites. Les pommes de terre, les patates, les marrons et toute autre préparation nécessitant une frite, sont tous inclus sous le parapluie des « pommes frites ».

L’âge ou le sexe des participants n’a pas influencé le résultat, mais les données montrent que les hommes étaient plus susceptibles que les femmes et les participants plus jeunes étaient plus susceptibles que les participants plus âgés de profiter des aliments frits.

L’étude a été menée par le Dr Nicola Veronese, auteur principal de l’étude, et scientifique au Conseil national de recherches de Padova (Italie).

Source Afrikmag

Le directeur exécutif de l’Onusida, Michel Sidibé a salué la rigueur et la continuité du programme « Elimination de la transmission de la mère à l’enfant » au Sénégal, qui est devenu une réalité à l’hôpital Principal de Dakar. En effet, cet établissement de santé depuis 14 ans, a enregistré 83 femmes gestantes vivant avec le VIH/Sida et 78 enfants nés de ces grossesses ont présenté 0% de transmission du VIH/Sida.


Michel Sidibé, Directeur Exécutif Onusida: « Le Sénégal reste un modèle dans la lutte contre le Sida »
Le directeur exécutif de l’Onusida, Michel Sidibé a effectué une visite à l’hôpital Principal de Dakar, ce lundi 19 juin 2017. Cette visite entre dans le cadre du programme « Elimination de la transmission de la mère à l’enfant à l’hôpital Principal de Dakar » et confirme selon M. Sidibé, l’idée selon laquelle on peut éliminer la transmission du Sida de la mère à l’enfant.

De l’avis du directeur de l’Onusida, cette acquisition doit être partagée avec le reste du continent. « L’hôpital Principal de Dakar aujourd’hui, démontre qu’il n’y a plus de bébé qui naît avec le sida et il l’a fait sur les 14 dernières années », s’est réjoui M. Sidibé devant le directeur général de ladite structure, Bakary Diatta.

Très optimiste Michel Sidibé pense que « cette nouvelle vision de zéro nouvelle infection chez les enfants, est une vision qui est possible ». Avant d’ajouter que la lutte contre le sida au Sénégal a été une lutte de leadership en commençant par les leaders religieux et politiques.

« Le Sénégal reste un modèle dans la lutte contre cette maladie. Le Sénégal aujourd’hui a atteint l’objectif de l’élimination selon les critères du plan global », a-t-il informé, sous les applaudissements des autorités administratives de l’hôpital Principal de Dakar.

A en croire M. Sidibé, on ne peut atteindre l’objectif qui semblait être du domaine du rêve, qu’à travers l’engagement et la rigueur. « Et cela ne manque pas dans cet hôpital où l’organisation du travail qui se fait entre les différents groupes est une vraie synergie entre sage-femme, docteur et pédiatre, entre autres », a-t-il constaté pour s'en féliciter.

En ce qui concerne l’Afrique de l’Ouest, il reste beaucoup de défis à relever Selon toujours M. Sidibé, « On a un problème particulier avec l’Afrique de l’Ouest. On a besoin d’un plan de rattrapage.

Aujourd’hui, trois quart des personnes infectées en Afrique de l’Ouest n’ont pas accès au traitement. On a plus de 1 400 000 personnes qui sont infectées par le VIH/ Sida et ces personnes savent qu’elles sont infectées et elles ne sont pas sous traitement
», regrette M. Sidibé.

Poursuivant son propos, il a par ailleurs, déclaré qu’« on ne pourra pas briser le cycle de l’infection si on n'emmène pas ces personnes vers les services de traitement. Et si on n’assure pas que ce traitement soit disponible pour nos malades et qu'on puisse faire de telle sorte que cette accélération devienne une réalité en Afrique de l’Ouest ».

Cheikh Makhfou Diop Leral.net
 
Fibrome utérin : quels sont les signes qui doivent alerter ?
LES SYMPTÔMES DU FIBROME
 
Le fibrome utérin représente la première cause de consultation gynécologique après 40 ans. Le point sur les symptômes qui doivent vous alerter avec le Pr Hervé Fernandez, chef du service gynécologie de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre.
 
Le fibrome utérin est la tumeur bénigne féminine la plus fréquente : une femme sur 10 en souffre. Si on ne connaît pas encore ses causes exactes, on sait que les estrogènes mais aussi la progestérone ont un effet sur sa croissance cellulaire. On sait également que l’hérédité (une mère, une tante ou une sœur ayant déjà eu un fibrome) multiplierait par 2 le risque d’en avoir un.
 
"Certains facteurs de risque associés à la survenue  et à la croissance d’un fibrome utérin ont malgré tout été identifiés. L’obésité, l’apparition des premières règles avant 12 ans, l’infertilité ou le fait de ne pas avoir eu d’enfant sont des facteurs qui s’additionnent entre eux et qui augmentent le risque de fibrome" explique le Pr Fernandez, chef du service gynécologie de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre.
 
Mesurez vos pertes sanguines
 
Une enquête réalisée en 2013 par Kantar Health a mesuré l’impact du fibrome sur la vie des femmes. Cette enquête montrait qu’une femme sur 10 âgée de 30 à 55 ans souffre de fibromes utérins symptomatiques (c’est-à-dire associé à des symptômes gênants). En moyenne, ces symptômes sont apparus 4,6 ans avant d’être diagnostiqués et pris en charge par le médecin ou le gynéco.
 
Les deux symptômes les plus communément ressentis sont les saignements en dehors des règles et les règles abondantes (associées ou non à des douleurs).
 
Mais évaluer la quantité de sang perdu pendant les règles n’est pas si évident. "Face au médecin les femmes évoquent la durée des règles sans problème mais la quantité de sang écoulée reste décrite avec subjectivité. C’est pourquoi les médecins disposent désormais pour leurs patientes d’un tableau clair, facile à remplir, qui permet aux femmes d’auto-évaluer les pertes sanguines. Elles ont juste à remplir ce tableau et le médecin calcule ensuite le score" ajoute le Pr Fernandez.
 
Les symptômes les plus fréquents
 
Les pertes de sang abondantes et prolongées pendant les règles (appelés ménorragies) ne sont pas le seul symptôme qui alerte le médecin sur l’éventuelle présence d’un fibrome. D’autres symptômes peuvent aussi apparaître :
 
• Des règles douloureuses : "les douleurs pendant les règles évoquent en particulier le présence d’un fibrome sous-muqueux qui se développe sous la muqueuse utérine".
 
• Une sensation de pesanteur dans le bas-ventre, des envies fréquentes d’uriner ou une constipation : "ces symptômes signent souvent la présence d’un fibrome développé vers l’extérieur  de la paroi utérine qui comprime les organes voisins".
 
• Des douleurs ou un inconfort lors des rapports sexuels.
 
"Il faut savoir que la majorité des fibromes ne se manifeste pas et ne nécessite pas de prise en charge particulière. Mais un fibrome peut évoluer. C’est pourquoi, quand on connaît son existence, il est conseillé de le surveiller régulièrement car sa principale complication est l’anémie avec une perte significative de fer" conclut le Pr Fernandez.

Source Topsante

Au regard de l’analyse établie par l’Organisation Mondiale de la Santé(OMS), environ une personne âgée sur 6 subit une forme de maltraitance.

Ce chiffre supérieur à celui estimé lors du dernier bilan de l’OMS, devrait connaitre une croissance en raison de la population vieillissante dans le monde entier.


OMS: 16% des personnes âgées de 60 ans et plus sont victimes de maltraitance dans le monde

En terme de pourcentage, ce sont 16% des personnes âgées de 60 ans et plus qui subissent soit une maltraitance psychologique, une maltraitance financière, une négligence, des abus physiques ou des abus sexuels.

« La maltraitance visant les personnes âgées est en hausse. Pour les 141 millions de personnes âgées dans le monde, cela a un coût individuel et sociétal grave », a noté  Alana Officer, conseillère principale en santé au département du vieillissement de l’OMS.

Elle en appelle à la responsabilité des Etats « pour prévenir et répondre à la fréquence croissante des différentes formes de maltraitance ».

Rosa Kornfeld-Matte, experte indépendante sur les droits de l’homme des personnes âgées, a  pour sa part, attiré l’attention sur un fait saillant. De nombreuses personnes âgées risquent d’être maltraitées par leurs proches. Cependant, les gouvernements doivent porter un regard vigilant sur cette classe d’âge et dénoncer les cas suspects.

Elle a indiqué que la plupart des abus ne sont pas détectés malgré des signes d’alerte clairs.

« Les personnes âgées ont peur de dire qu’elles sont victimes de maltraitance. Elles ont peur parce qu’elles se sentent seules et elles croient que si elles dénoncent la personne qui est à côté d’elles, elles vont se retrouver toutes seules », a-t-elle expliqué.

La maltraitance des personnes âgées est un phénomène qui affecte les droits à la santé de millions de personnes âgées à travers le monde, et mérite l’attention de la communauté internationale.

Emeraude ASSAH

Nous sommes souvent tentés par des vitamines et oligo-éléments en supplémentation pour affronter le froid. Mais une nouvelle étude française révèle que souvent, la prise de compléments alimentaires n’est pas nécessaire et que dans certains cas, elle peut même être nocive.


Les compléments alimentaires : Parfois inutiles voire dangereux pour la santé


Magnésium, vitamine B6 et vitamine C font partie des compléments alimentaires préférés des Français. Nous avons tous dans nos placards un flacon de ces petits comprimés délivrés sans ordonnance en cas de baisse de tonus, pour booster nos neurones avant un examen ou pour éviter les petits maux de l’hiver. Mais est-ce vraiment une bonne idée ?

Les femmes plus adeptes des compléments

Dans le cadre de l’étude NutriNet-Santé, des chercheurs de l’Inserm ont voulu étudié le lien entre la consommation des compléments alimentaires et divers facteurs socio-démographiques, comportementaux et alimentaires associés.

Mathilde Touvier, chargée de recherche à l’Inserm, a analysé avec son équipe, le profil d’un large échantillon de 79 786 adultes français participant à l’étude. Il en résulte que dans 55 % des cas,  les compléments alimentaires ont été prescrits ou conseillés par un médecin. 45 % relèvent donc de l’automédication.

15% des hommes et 28% des femmes prennent au moins 3 jours par semaine ce type de gélules pour "rester en bonne santé". La prise de compléments est plus élevée chez les femmes en particulier âgées, divorcées, sans enfants et ayant un niveau d’étude et/ou une catégorie socio-professionnelle plus élevés.

La prise de compléments alimentaires est associée à une bonne connaissance des recommandations nutritionnelles, la consommation d'aliments bio et une vie plus saine (activité physique régulière, non-fumeur). Ce qui indique qu’effectivement, les personnes les plus portées à prendre des compléments, seraient aussi celles qui en auraient le moins besoin !

Des interactions dangereuses avec les médicaments

Les chercheurs se sont penchés plus précisément sur le cas des fumeurs. Ils ont constaté qu’ils prennent moins de compléments alimentaires que les non-fumeurs (19% versus 25%). Mais leur consommation reste importante et ils ont plus facilement recours à l’automédication (55%).

Le souci est que le bêta-carotène par exemple, est lié à un risque accru de cancer chez les fumeurs. Or cette étude révèle qu’ils en consomment autant que les non-fumeurs… Une preuve manifeste de leur méconnaissance de ce risque et/ou d’une mauvaise information des professionnels de santé sur le sujet.

Il existe aussi des interactions possibles chez les personnes sous traitement. Les femmes ayant eu un cancer du sein doivent éviter les phyto-œstrogènes comme le soja. Le millepertuis, lui, nuit à l’efficacité des pilules contraceptives.

En cas de troubles cardiaques, il faut éviter les baies d’aubépine et la réglisse est déconseillée aux hypertendus. De manière générale, les personnes qui souffrent de cancer ne doivent pas prendre de compléments alimentaires qui risqueraient de "nourrir" la tumeur.

Les compléments alimentaires ne sont pas donc anodins. En dehors d’un apport en nutriments par comprimés justifié par une raison médicale comme une grossesse, la supplémentation est inutile pour la plupart des gens. Les chercheurs rappellent que les recommandations officielles sont de manger varié et équilibré plutôt que de prendre des compléments alimentaires pour palier un supposé manque.

afriquefemme.com
 

Selon une étude de l'Université de Washington (États-Unis), le miel pourrait avoir des propriétés bienfaisantes pour réduire la formation de plaques de graisses qui bouchent les artères et augmentent le risque d'infarctus.


Le miel : L’aliment qui réduirait le risque de crise cardiaque de 30%
Le miel pourrait devenir un moyen de prévenir les crises cardiaques, selon une récente étude de l’Université de Washington (États-Unis). En effet, un sucre naturel appelé "tréhalose" présent dans le miel, favoriserait l’élimination des plaques de graisses qui obstruent les artères.

Réduction de la plaque artérielle de 30%
Ces plaques appelées "d'athérome" peuvent, lorsqu’elles s’accumulent à l’intérieur des artères, provoquer de l’athérosclérose soit une perte d’élasticité des artères. Cela majore les risques d’hypertension artérielle, de maladies cardiaques et potentiellement, de crises cardiaques.

Les chercheurs de l’Université de Washington ont injecté du tréhalose à des souris qui risquaient l’athérosclérose. Les résultats publiés dans la revue Nature Communications ont montré que les souris ayant reçu du tréhalose avaient des plaques mesurant 0,25 mm de largeur, contre 0,35 mm chez les animaux qui n’en ont pas reçu.

Le tréhalose va en effet activer une protéine qui produit des cellules immunitaires éliminant la plaque des artères de 30% chez les souris injectées. On peut également trouver du tréhalose dans certains aliments comme les champignons, les homards ou les crevettes.

Le miel, des vertus extraordinaires
Le miel a de nombreuses propriétés pour la santé. Par exemple, il soigne les plaies et les brûlures : il suffit de nettoyer les petites plaies ou passer la brûlure à l'eau froide avant d'étaler une couche de miel. Les produits les plus efficaces sont les miels de thym, de lavande ou de châtaignier, mais tout miel liquide ou cristallisé peut faire l'affaire.

Certains produits de la ruche sont également efficaces. Le pollen peut réduire les bouffées de chaleur associées à la ménopause ou encore améliorer les problèmes urinaires liés à la prostate. La propolis a un pouvoir antioxydant possédant des propriétés anti-âge et peut être utilisée contre les ulcères à l'estomac.

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Le laurier est un arbuste à feuilles coriaces, originaire du bassin méditerranéen. Très aromatiques, ses feuilles constituent la base du fameux « bouquet garni » de la cuisine française.


Feuille de laurier:  Brûlez-la pour éliminer la fatigue et les tensions
Les lauriers sont utilisés en horticulture, comme des arbres de couverture, dans la cuisine comme plante aromatique, et dans la médecine populaire, comme plante médicinale.

La feuille de laurier accentue le pouvoir antioxydant des aliments, contribuant ainsi à un système immunitaire plus fort, la protection contre les effets nocifs des radicaux libres, la cicatrisation des plaies et la protection contre les virus.

Les feuilles de laurier sont riches de vitamine A, qui entretient et protège les muqueuses et la peau, Et a un effet positif sur l’humeur.

Les huiles essentielles de laurier améliorent la fonction digestive. Son infusion stimule l’appétit et la digestion, aide à calmer les nausées, et soulage les ulcères, les crampes et ballonnements.

Les huiles essentielles extraites des baies de lauriers aident dans le traitement de l’arthrite, les douleurs musculaires, la bronchite et grippe.

Pour créer une atmosphère relaxante propice à la détente, brûler des feuilles de lauriers dans une pièce fermée, en restant en dehors. Après 10 minutes revenez dans la pièce…l’air est saturé d’une odeur magique qui vous calmera et vous apaisera instantanément. C ‘est un véritable encens de relaxation.

La feuille de laurier agit comme anti rhumatismal, antiseptique, bactéricide, diurétique, sédatif, et antioxydant. Il a un effet positif sur l’humeur. De même, les feuilles et les baies sont également efficaces dans le traitement de l’hystérie, et de la grippe neurasthénie de l’estomac.

Quelle(s) vertu(s) santé ?

Le laurier réveille l’appétit et redonne de l’énergie aux organismes affaiblis. Il est indiqué pour soulager les flatulences et stimuler les estomacs paresseux. Des phytothérapeutes le conseillent même contre l’arthrite et les maux de dents. En essence, il sera utilisable contre les entorses et les meurtrissures.

Vous pouvez aussi l’utiliser en infusion :
Une infusion qui soulage les flatulences:
2 g pour 100 ml d’eau bouillante, à prendre après le repas.


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8 aliments qui vous aident à lutter efficacement contre le diabète

1-La pomme

pomme

La pomme a un faible taux en glycémie. Vous pouvez donc en consommer crue ou cuite en quantité raisonnable. Cela réduit les risques de diabète de type 2.

2-Le vinaigre

vinaigre

Intégrer un peu de vinaigre dans vos repas quotidiens vous permettra de mieux gérer le taux de sucre dans le sang. Tous les types de vinaigre auraient un effet positif sur le taux de glycémie, chez les personnes diabétiques.

3-L’avocat

avocat

L’avocat est idéal pour contrer le diabète. Grâce au bon gras qu’il contient et sa riche composition en fibres, ce fruit permet de contrôler le taux de sucre dans le sang. Plutôt que de les manger en salade, essayez la purée d’avocat pour changer.

4- La cannelle

cannelle

La cannelle peut diminuer le taux de glycémie de 25% chez ceux qui en consomment. Comme elle joue un rôle bénéfique sur la production d’insuline, vous pouvez en saupoudrer un peu sur votre thé ou café, au lieu de les sucrer.

5- Huile d’olive

huile d'olive

La consommation d’huile d’olive permettrait à une personne de réduire d’au moins 50% ses chances de souffrir du diabète. N’oubliez donc pas de l’inclure dans vos recettes désormais.

6-Les lentilles

lentille

7- L’aubergine

Eggplant and olive oil on a wooden board

Les aubergines permettent d’inhiber les enzymes digestives, responsables de la transformation de la nourriture en glucose. Elles sont ainsi recommandées pour limiter l’élévation du sucre sanguin après chaque repas.

8- Les poissons riches en oméga-3

poisson

Les poissons très riches en oméga-3 permettent de réduire les risques de diabète. Les personnes qui consomment régulièrement du thon, du saumon et du maquereau ont des niveaux sanguins plus élevés en acides gras oméga-3.

Obtention des cartes d’égalité des chances: les conseils d’Eva Marie Coll Seck aux albinos
Le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Eva Marie Coll Seck, a appelé, mardi, à Dakar, les albinos à tous s’inscrire auprès des services compétents pour l’obtention de carte d’égalité des chances qui faciliteraient leur prise en charge sociale et sanitaire. « Nous voudrions que le président de l’Association des albinos du Sénégal continue à faire la sensibilisation, afin que tous les albinos aient leur carte d’égalité des chances pour qu’ils puissent bénéficier de bourses familiales et de la couverture maladie », a-t-elle déclaré.

Mme Eva Marie Coll Seck intervenait lors de la célébration de la Journée mondiale des albinos, sur le thème : Un autre regard sur l’albinisme dans un Sénégal émergent. "Nous avons tous conscience de la difficulté et des problèmes que connaissent les albinos, mais également de certaines discriminations qui demande réellement un travail de sensibilisation", a noté la ministre.

Elle a annoncé que l’Etat compte mettre en place un système pour permettre aux albinos de bénéficier de services sociaux. Depuis 2012, avec le premier décret d’application de la loi d’orientation sociale, les services de la direction de l’Action sociale ont produit à ce jour, « près de 36 922 cartes d’égalité des chances dont certains albinos sont bénéficiaires », a indiqué Eva Marie Coll Seck.

Des crèmes solaires sont également disponibles à la Pharmacie nationale d’approvisionnement, des stocks qui devraient faciliter l’accès des albinos à ces produits, qui les aideront à mieux traiter et prévenir le cancer de la peau auquel ils sont exposés. « Un travail a été effectué» à propos des crèmes solaires ; en rapport avec la Pharmacie nationale d’approvisionnement qui inscrit ces produits « dans la liste des médicaments essentiels », a soutenu le ministre de la Santé et de l’Action sociale.

Ramata Ba Camara, présidente de l’association des Chiffres des cœurs, une structure dédiée à la prise en charge de couches vulnérables de la population comme les albinos, a de son côté, préconisé l’intensification du plaidoyer pour que ces derniers puissent faire valoir davantage leur droit à l’éducation, à la protection, à l’insertion et à l’instruction.

Le Quotidien
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