António Guterres promet une réforme dans trois domaines clés : le maintien de la paix, l'aide au développement durable et le respect des droits de l'homme. Il promet de mettre toutes ses forces dans la bataille quand la situation l'exige. « Je suis prêt à m'engager personnellement à travers mes bons offices dans la résolution des conflits et lorsque cela constitue une plus-value », dit-il.
Et de préciser aussitôt le cadre de son action par ces mots : « Tout en reconnaissant le rôle de premier plan des Etats membres... » Mais si le prochain secrétaire général des Nations unies reconnait que le patron de l'ONU ne saurait être maître du monde, tout au plus une « valeur ajoutée » selon ses termes, il espère bien être celui qui parviendra par exemple à mettre fin à la tragédie syrienne.
« Quelles que soient les divergences entre les Etats membres, et quelles que soient les différentes perspectives, il y en a une au-dessus de toutes les autres : la paix en Syrie est une nécessité pour nous tous, plaide M. Guterres. Et j’espère que je serai capable de réunir tout le monde sous cette bannière. Comme je l’ai dit, c’est une guerre où il n’y a pas de gagnants, que des perdants, c’est devenu une menace pour le monde entier et il est grand temps de mettre fin à ce non-sens. »
Eloquent, intègre et compétent, les qualificatifs ne manquent pas pour célébrer l'arrivée du Portugais à la tête de l'Organisation des Nations unies. Après 10 ans d'une présidence très terne, celle du Sud-Coréen Ban Ki-moon, l'ONU espère que l'ancien Premier ministre du Portugal saura lui redonner un rôle de premier plan dans la diplomatie mondiale.
Source rfi.fr
Et de préciser aussitôt le cadre de son action par ces mots : « Tout en reconnaissant le rôle de premier plan des Etats membres... » Mais si le prochain secrétaire général des Nations unies reconnait que le patron de l'ONU ne saurait être maître du monde, tout au plus une « valeur ajoutée » selon ses termes, il espère bien être celui qui parviendra par exemple à mettre fin à la tragédie syrienne.
« Quelles que soient les divergences entre les Etats membres, et quelles que soient les différentes perspectives, il y en a une au-dessus de toutes les autres : la paix en Syrie est une nécessité pour nous tous, plaide M. Guterres. Et j’espère que je serai capable de réunir tout le monde sous cette bannière. Comme je l’ai dit, c’est une guerre où il n’y a pas de gagnants, que des perdants, c’est devenu une menace pour le monde entier et il est grand temps de mettre fin à ce non-sens. »
Eloquent, intègre et compétent, les qualificatifs ne manquent pas pour célébrer l'arrivée du Portugais à la tête de l'Organisation des Nations unies. Après 10 ans d'une présidence très terne, celle du Sud-Coréen Ban Ki-moon, l'ONU espère que l'ancien Premier ministre du Portugal saura lui redonner un rôle de premier plan dans la diplomatie mondiale.
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