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Santé

En 1947, la chloroquine a été homologuée et commercialisée comme principale molécule de base dans le traitement et la prévention contre le paludisme. Et durant 70 ans, elle a fait ses preuves comme médicament antipaludique de référence en Afrique et dans le monde. Chassée des officines pharmaceutiques par la grande porte (2003), la famille « Quinine » revient par la fenêtre ! Un retour triomphal pour voler au secours de l’humanité malmenée par une calamité pandémique nommée : Coronavirus. « Le Témoin » quotidien a enquêté…


Chassée des officines par la grande porte, la famille «QUININE» revient par la fenêtre !
Dans les années 70-80, la plupart d’entre les journalistes du « Témoin » étaient encore des écoliers. D’aucuns, d’ailleurs, n’étaient pas encore nés. Ceux qui étaient à l’école se souviennent que chaque semaine, le maître leur faisait absorber de la nivaquine. Deux comprimés par élève, les uns après les autres. Une prophylaxie en milieu scolaire entrant dans le cadre des campagnes de prévention contre le paludisme initiées par le ministère de la Santé.

A cet effet, la « Nivaquine » était connue de tous pour son goût amer et pratiquement insupportable. Les malades, eux, recevaient des médicaments antipaludiques à base de chloroquine puisqu’ils appartiennent tous à la famille « quinine » : Nivaquine, Flavoquine, Primaquine, Méfloquine, etc. Des noms commerciaux qui renvoyaient tous à la quinine. Hélas ! En 2003, cette grande famille des « Quinine » a été chassée par la grande porte comme un malpropre voire un « malsoignant » par la bande des « Atc », à savoir les combinaisons thérapeutiques à base d’artémisinine considérées par l’Organisation mondiale de la santé (Oms), comme étant plus efficaces pour traiter le paludisme. Exit, oust la nivaquine !

Selon Dr Cheikh Mbacké Thiam, étudiant en pharmacie, les « Atc » sont les antipaludiques efficaces dont disposent aujourd’hui les officines pharmaceutiques. « Mieux, les Atc regroupent trois ou quatre molécules pour rendre le traitement beaucoup plus efficace. Ce, contrairement à la chloroquine retirée du circuit, après l’apparition de résistances du parasite à l’origine du paludisme » explique notre interlocuteur. « Aujourd’hui, la plupart des antipaludiques (Atc) à base d’Artémisinine ont pour noms : Artequin, Coarinate, Coartem, Co-Arinate et autres. Donc, les antipaludiques à base de chloroquine n’existent plus dans les pharmacies », précise notre pharmacien en année de doctorat.

20 ans après, la chloroquine prend sa revanche !

Vingt ans après ce congédiement sans gloire, les médicaments membres de la famille « Quinine » à base de chloroquine reviennent par la fenêtre. Un retour jugé triomphal pour voler au secours de l’humanité ravagée par une terrible pandémie nommée : coronavirus ! « Remède miracle » ou « mirage » ?
Toujours est-il près de 20 ans après son retrait du marché, la chloroquine prend sa revanche sur les Atc. Son retrait avait été officialisé en 2003 au cours d’une réunion organisée par le Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp), sous l’égide de l’Oms. A cette occasion, la quinine avait été enterrée sans fleurs ni couronnes. Après quoi, raconte Dr. Assane Ka, pharmacien, chaque médecin-chef de district avait la charge d’effectuer une réunion de coordination avec l’ensemble des infirmiers chefs de poste (Icp), pour une présentation de la nouvelle thérapie.

Les rares stocks de chloroquine d’alors s’épuisant, les pharmacies régionales, suivies par les districts sanitaires et les postes de santé, ont progressivement commencé à utiliser les Atc. A l’époque, certains avaient déploré l’absence d’une campagne d’information à l’intention des patients. « Il a seulement été demandé de retirer les dépliants et affiches sur la chloroquine dans les hôpitaux et centres de santé », déplore notre pharmacien. Plus tard, après le retrait de la chloroquine, des séminaires de formation ont été organisés à Dakar pour les responsables d’Ong, les journalistes, les délégués médicaux et autres acteurs de la santé pour une campagne d’information sur les Act. « Aujourd’hui, Dame chloroquine renaît en pèlerin ! », ironise Dr. Assane Ka.

La guerre des industries pharmaceutiques…

Molécule de base avec laquelle sont conçus des traitements préventifs et curatifs contre le paludisme, telles que la Nivaquine, la Flavoquine etc., la chloroquine est en train de faire ses preuves dans le traitement contre le coronavirus. Testée en Chine, et partiellement en France et aux Etats-Unis, la chloroquine, une substance antipaludique, est prudemment administrée en Suisse et autres pays, comme l’unique traitement contre cette pandémie.

Selon certains spécialistes des maladies infectieuses, l’effet clinique est plutôt encourageant puisque la sévérité de la maladie a diminué sur l’échantillon de plusieurs malades atteints du coronavirus. D’où les applaudissements d’espoir déclenchés dans le monde pour soutenir la position de l’infectiologue Pr. Didier Raoult, l’un des promoteurs de ce traitement en France. Malheureusement, des observateurs, parmi lesquels de nombreux scientifiques, dénoncent des méthodes peu rigoureuses et jugent les annonces de M. Raoult prématurées, voire trompeuses. Comme quoi, le Pr Raoult, né au Sénégal, serait en train de faire la promotion du laboratoire pharmaceutique Sanofi, le principal fabriquant de cette molécule dite chloroquine.

Un médécin-colonel de l’Armée s’en explique : « Bien que la chloroquine ait déjà fait ses preuves avec des avantages et des inconvénients mais, avec la position controversée du Pr Raoult, la société « Sanofi » presque en faillite, est en train de renaitre. Vous voyez, au-delà des enjeux thérapeutiques, il y a d’énormes enjeux financiers. Dommage que cette guerre pandémique provoque une autre bataille souterraine, celle des industries pharmaceutiques pour le contrôle du marché mondial du coronavirus. Car, des multinationales de l'industrie pharmaceutique profitent du désarroi sanitaire de l'humanité, pour atteindre des objectifs commerciaux », déplore notre médecin-officier préférant garder l’anonymat, pour ne pas frustrer des délégués médicaux.

« Attention ! Ce n'est ni l'instrumentation, ni la discipline qui font la science mais bien la démarche intellectuelle qui se base sur des faits. La Science se fait avec les faits comme on construit une maison avec des pierres mais une accumulation des faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Cela nous amène au sacro-saint principe de la médecine basée sur le niveau de preuves ou évidences base de médecine des anglosaxons. On a dépassé l'ère de la médecine où les opinions des grands maîtres étaient la base de nos décisions médicales. Maintenant, ce sont les faits, établis sur la base d'une rigoureuse et appropriée méthodologie qui doivent déterminer les décisions thérapeutiques. C'est dans ce contexte qu'il faut placer tous les délires qu'on attend sur la supposée efficacité de la chloroquine ou de ses dérivés sur le Covid19. Souhaitons que l'Oms ne va pas tarder, par une méthodologie appropriée, à aboutir à des conclusions valides à partir desquelles, la religion devrait être définitivement faite », philosophe-t-il, histoire de faire des réserves sur la sortie du Pr. Moussa Seydi en phase avec Pr Didier Raoult sur l’efficacité de la chloroquine contre le Covid19.

Dr. Mbacké, un pro-chloroquine !

Une opinion prise à contre-pied par Dr. Mame Anta Sally Mbacké, selon qui le retour de la chloroquine perturbe les mandarins et les industries pharmaceutiques dans leurs certitudes dépassées. « D’abord, il faut rappeler que la chloroquine amino-4 quinoléine a été découverte il y a 70 ans comme antipaludéen préventif et curatif. Les soins de santé primaires en ont beaucoup bénéficié jusqu'en 2003, avant le retrait du médicament des officines. Ce, après la reconnaissance d’Artémisine utilisée depuis par les Chinois pour révolutionner le traitement du paludisme. A mon avis, la chloroquine reste le médicament de choix qui peut être très efficace si elle est associée à l'Azithromycine. Par conséquent, rien ne doit empêcher le Sénégal d’essayer la chloroquine sur les malades atteints du Covid 19. Car l’heure n’est pas à la recherche, mais au traitement rapide ! », soutient Dr. Mbacké, ancien médecin-chef du district sanitaire de Rufisque, totalement en phase avec le Pr. Moussa Seydi de l’hôpital de Fann.

Toujours est-il qu’en guise d’anecdotes, certains pharmaciens se souviennent d’un séminaire où le défunt Pr. Salif Badiane, ancien chef de Service à la clinique des maladies infectieuses de l’hôpital de Fann de Dakar, disait ceci : « Pour des raisons inconnues, vous avez chassé la chloroquine ! Mais dans quelques années, cette molécule fera son retour au chevet des malades du paludisme ! ». Aujourd’hui, l’histoire semble lui donner raison avec le Covid19. Car la chloroquine fait son retour en zone pandémique. Mais pour combien de temps et avec quelles chances de succès ?





Le Témoin

Des messages alarmants circulent sur les réseaux sociaux après l’annonce de la mort d’un Chinois testé positif au hantavirus. Une nouvelle pandémie venue de Chine attend le monde ? Pour l’heure, rien ne permet de le dire. Les connaissances sur les hantavirus sont même plutôt rassurantes.


Qu’est-ce que le hantavirus, qui enflamme les réseaux sociaux ?
Après le coronavirus, l’hantavirus ? Les réseaux sociaux s’enflamment depuis un tweet du tabloïd chinois « Global Times », annonçant la mort d’un homme, en Chine, qui avait été testé positif à un hantavirus. Rapidement, le hashtag #hantavirus a commencé à circuler sur Internet, présentant ce virus comme une nouvelle menace mondiale, alors que la crise du coronavirus SARS-CoV-2 est plus que jamais d’actualité.

Sauf qu’à l’heure actuelle, il n’est vraiment pas raisonnable de se faire peur avec l’hypothèse d’une nouvelle pandémie, cette fois de hantavirus, et pour plusieurs raisons.

D’abord, parce que les hantavirus n’ont rien de nouveau. Il s’agit d’une famille de virus (comme les coronavirus) connue et rien ne dit que l’homme testé positif évoqué par le « Global Times », ait été victime d’un type d’hantavirus inconnu (comme l’était le SARS-CoV-2). Sur le site du ministère français de la Santé, on peut, par exemple, trouver un article qui parle de hantavirus daté de 2012.

L’homme, hôte « accidentel » des hantavirus

Lorsqu’ils sont transmis à l’être humain, les hantavirus peuvent être responsables « d’infections, de gravité variable, parfois mortelles », selon l’espèce : fièvres hémorragiques à syndrome rénal (FHSR) ou syndrome cardio-pulmonaire à hantavirus (SCPH), selon le type de virus, explique Santé publique France. Effrayant… sauf que les contaminations humaines sont rares : les hôtes naturels des hantavirus sont certains rongeurs, qui, une fois infectés, sont des porteurs sains. L’être humain peut accidentellement être contaminé en inhalant des gouttelettes de salive ou d’urine de rongeurs contaminés en suspension dans l’air, ou des poussières d’excréments provenant de rongeurs sauvages infectés.

Transmission entre humains très rare, voire nulle

Surtout, comme le relève Santé publique France, aucune transmission entre humains n’a jamais été relevée en Europe et en Asie. En revanche, selon l’OMS, « on a déjà observé une transmission interhumaine limitée » de syndrome pulmonaire à hantavirus en Argentine, due à un hantavirus rare appelé Andes.

En clair, si le monde se trouve aujourd’hui en pleine pandémie, c’est parce que le coronavirus SARS-CoV-2 se transmet très vite et très facilement entre humains. En l’état actuel des connaissances, aucun hantavirus ne possède la contagiosité du SARS-CoV-2 : il est donc, pour l’heure, largement exagéré de craindre une nouvelle pandémie.

L’ancien ministre Moustapha Mamba Guirassy a été testé positif au virus Covid-19. C’est lui-même qu’il l’a annoncé dans une vidéo publiée sur sa page Facebook.


Une haute personnalité sénégalaise atteinte du Coronavirus (Photo)
« Je viens d’être diagnostiqué positif au coronavirus. Aussitôt informé, je me suis mis à la disposition des autorités sanitaires du pays, qui ont bien voulu m’interner à l’hôpital de Diamniadio » a déclaré l’ancien ministre de la Communication sous Me Wade.

Moustapha Guirassy a tenu également à féliciter « le personnel de santé pour le remarquable et redoutable travail qu’ils abattent pour nous défendre contre le Covid-19 ». Il avoue par ailleurs que « de l’intérieur, on comprend encore mieux l’immensité mais en même temps, la sensibilité de leur mission ».

L’ancien maire de la commune de Kédougou invite ses compatriotes, « chacun chez lui, chaque soir à 21h00, à poser une lumière devant sa fenêtre pour célébrer ces champions ».

En l’espace de quelques semaines, nous avons tous appris beaucoup de choses, mais aussi entendu pas mal de rumeurs sur la maladie Covid-19 et le virus responsable : le SARS-CoV-2. Alors que le nombre d’articles scientifiques sur ce virus ne cesse d’augmenter, il subsiste encore bien des zones d’ombre quant à l’origine de ce virus.

Dans quelle espèce animale est-il apparu ? Une chauve-souris, un pangolin ou une autre espèce sauvage ? D’où vient-il ? D’une grotte ou d’une forêt de la province chinoise de Hubei ou bien d’ailleurs ?


Chauve-souris, Rhinolophus affinis. Alexandre Hassanin, Author provided
Chauve-souris, Rhinolophus affinis. Alexandre Hassanin, Author provided
En décembre 2019, 27 des 41 premières personnes hospitalisées (66 %) sont passées par un marché situé en plein cœur de la ville de Wuhan, dans la province de Hubei. Mais l’origine de l’épidémie n’est probablement pas liée à des contacts avec des animaux vivants ou morts présents sur ce marché, car il apparaît, d’après une étude chinoise menée à l’hôpital de Wuhan, que le tout premier cas humain identifié n’a pas fréquenté ce marché.

En accord avec cette hypothèse, les datations moléculaires estimées à partir des séquences génomiques du SARS-CoV-2, indiquent plutôt une origine en novembre. On est donc en droit de s’interroger sur le lien entre cette épidémie Covid-19 et la faune sauvage.

Ce que l’on sait grâce aux données génomiques sur les Betacoronavirus
Le génome du SARS-CoV-2 a été rapidement séquencé par les chercheurs chinois. Il s’agit d’une molécule d’ARN d’environ 30 000 bases contenant 15 gènes, dont le gène S qui code pour une protéine située à la surface de l’enveloppe virale (à titre de comparaison, notre génome est sous forme d’une double hélice d’ADN d’une taille d’environ 3 milliards de bases et il contient près de 30 000 gènes).

Les analyses de génomique comparative ont montré que le SARS-CoV-2 appartient au groupe des Betacoronavirus et qu’il est très proche du SARS-CoV, responsable d’une épidémie de pneumonie aiguë apparue en novembre 2002 dans la province chinoise de Guangdong qui s’est ensuite répandue dans 29 pays, notamment en France en 2003.

Au total, 8098 cas ont été comptabilisés, dont 774 décès. On sait que les chauves-souris du genre Rhinolophus (potentiellement plusieurs espèces cavernicoles) étaient le réservoir de ce virus et qu’un petit carnivore, la civette palmiste (Paguma larvata), a pu servir d’hôte intermédiaire entre les chauves-souris et les premiers cas humains.

Depuis, de nombreux Betacoronavirus ont été découverts, principalement chez les chauves-souris, mais aussi chez l’homme. C’est ainsi que le virus RaTG13, isolé à partir d’une chauve-souris de l’espèce Rhinolophus affinis collectée dans la province chinoise du Yunan, a récemment été décrit comme très proche du SARS-CoV-2, les séquences de leur génome étant identiques à 96 %. Ces résultats indiquent que les chauves-souris, et en particulier les espèces du genre Rhinolophus, constituent le réservoir des virus SARS-CoV et SARS-CoV-2.

Si le Moringa est incroyablement bénéfique pour la santé, c’est aussi grâce à ses différentes formes de consommation. Que vous connaissiez la poudre de Moringa, ou encore les gélules, les graines apportent encore un lot de vertus ultra bénéfiques et différentes pour votre santé.


Les incroyables bienfaits des graines de moringa
Toujours à la recherche de moyens naturels pour maintenir ou augmenter nos niveaux d’énergie, ou nous assurer que nous restons en bonne santé, les graines de Moringa apparaissent comme un allé de choix dans un monde ou pollution, mauvaise alimentation, stress, et autres côtés néfastes de notre monde moderne nous accompagnent au quotidien.

Régulation du taux de sucre et lutte contre le diabète

Les graines de Moringa contiennent des composés tels que les isothiocyanates, qui aident à réguler le taux de sucre dans le sang. Par conséquent, les graines peuvent aider à gérer le diabète, de la lutte contre les symptômes à la prévention de la maladie.

Cholestérol

Tout comme leur capacité à réguler le taux de sucre, les graines de Moringa sont efficaces dans la lutte contre le mauvais cholestérol.

Augmentation de l’énergie

Les graines sont indéniablement l’aliment naturel le plus efficace pour retrouver l’énergie. Par exemple, à quantité égale, la proportion de fer dans les graines est 3 fois supérieure à celle des épinards. Le fer est essentiel pour que votre corps transporte suffisamment d’oxygène vers les tissus, les organes et les muscles.

Haute valeur nutritionnelle

Zinc, vitamines A, B, et C, une teneur élevée en fer et en protéines, les graines sont une des ressources les plus précieuses dans la lutte contre l’anémie et la malnutrition. Extrêmement riches en fibres et ne contenant aucun cholestérol, elles sont très bénéfiques pour un régime alimentaire sain.

Des propriétés anti-inflammatoires et antibiotiques.

Les graines de Moringa ont des propriétés anti-inflammatoires et antibiotiques. Pour cette raison, elles constituent un bon traitement pour diverses maladies, comme celles sexuellement transmissibles, la goutte, les rhumatismes ou l’arthrite.

Les graines de Moringa contiennent de la pterygospermine, un antibiotique qui combat et traite les infections fongiques rapidement et efficacement sans effets secondaires sur le patient.

Comment Consommer les graines de Moringa ?

Consommer des graines de Moringa est extrêmement simple. Il vous suffit de décortiquer la graine, en la croquant ou en exerçant une certaine pression avec vos doigts. Une fois pelée, croquez simplement la graine et avalez la. Vous pouvez accompagner la prise de la graine avec un verre d’eau ou autre boisson de votre choix afin de facilité l’avalement.

Nous recommandons de prendre 3 à 10 graines de Moringa par jour, en commençant par une graine la première semaine, puis d’augmenter de une graine de plus par jour chaque nouvelle semaine, jusqu’à ce que vous vous sentiez satisfaits des résultats.

Les graines doivent être prises après les repas (petit déjeuner, déjeuner ou diner). Nous vous recommandons d’en manger une à la fois (espacez d’au moins une heure chaque prise de graine).

Enfin, les femmes enceintes ne doivent pas en consommer.

Florence Bayala
Quelles sont les causes de la faiblesse sexuelle avec l'âge ?
Pascal, 60 ans

"Qu'est-ce qui cause la faiblesse sexuelle quand on prend de l'âge ? Que faire pour y remédier ?"


LA REPONSE DE L'EXPERT

Il n'existe pas de faiblesse sexuelle avec l'âge. Quand on est en bonne santé, la sexualité fonctionne toute la vie. Donc le problème avec l'âge, ce sont les problèmes de santé qui apparaissent. Les difficultés sexuelles sont liées aux maladies en fait.

Sinon, chez un homme, l'érection change avec l'âge, même sans maladie. Elle devient plus lente à survenir, moins complète. Et la période réfractaire augmente : il faut plus de temps pour obtenir une deuxième érection.

Mis à part ces changements naturels, l'érection, le plaisir, le désir fonctionnent normalement, même chez un homme âgé...







Catherine Solano : Médecin généraliste

Une Française de 34 ans, qui ne parvenait pas à être enceinte après un traitement contre le cancer du sein, a donné naissance à un enfant grâce à une technique inédite, une première mondiale dans le contexte du cancer. Le professeur Michaël Grynberg, à l'origine de la prouesse, répond à LCI.


Guérie d'un cancer du sein, elle donne naissance grâce à une nouvelle technique
Atteinte d’un cancer du sein il y a quelques années, une Française de 34 ans vient de donner naissance grâce à une nouvelle technique. Soignée par chimiothérapie, elle avait été déclarée guérie de son cancer après cinq ans sans rechute. Mais elle ne parvenait pas à concevoir un bébé depuis son rétablissement. En juillet dernier, grâce à la congélation de ses ovaires, elle a finalement réussi à mettre au monde un petit garçon en bonne santé.

À l’origine de cette prouesse, le professeur Michaël Grynberg, directeur du département de médecine de la reproduction à l’hôpital Antoine Béclère de Clamart (Hauts-de-Seine), où a eu lieu cette opération qu'il qualifie de "première mondiale". Il nous éclaire sur le procédé.

En quoi consiste la technique utilisée ?

Elle consiste à prélever des ovules, non pas après une stimulation ovarienne comme d’habitude, mais directement à partir des ovaires, sans aucune administration d’hormones. Habituellement, le rôle des hormones est de faire mûrir les ovules dans leur environnement naturel (l’ovaire) avant que ces derniers ne soient collectés. Cette fois, nous avons récupéré les ovules dans l'ovaire avant qu'ils ne mûrissent. Puis nous avons effectué tout le processus de maturation final au laboratoire.

En quoi est-ce une "première mondiale" ?

Cette technique existait déjà à la fin des années 1990 et au début des années 2000. Ce qui est nouveau, c’est la congélation de ces ovocytes maturés au laboratoire. Auparavant, ils n’avaient jamais vraiment fait la démonstration de leur capacité à pouvoir être congelés, puis à donner lieu à une grossesse. C’est en cela que c’est vraiment nouveau. Dans le cadre d'une femme victime par le passé d'un cancer du sein, il est certain que c’est la première grossesse. Cela montre que la technique est intéressante dans les cas où nous ne pouvons pas stimuler les patientes.

Pourquoi les femmes peuvent-elles connaître des difficultés à concevoir après un cancer du sein ?

Le cancer ne rend pas stérile à proprement parler. Ce sont plutôt les traitements, comme la chimiothérapie. Il faut rappeler que la femme effectue sa vie reproductive à partir d’un stock prédéfini d’ovules à la naissance, stock contenu dans les ovaires. Mais la chimiothérapie le détruit. Pour schématiser, les ovaires d’une femme qui subit une chimiothérapie vont brutalement vieillir d’une dizaine d’années, en termes de quantité.

Il existe également une problématique qualitative. Comme les ovules ne se régénèrent pas, ils sont forcément imprégnés par la chimiothérapie. Ils sont donc de moins bonne qualité. Cela cause une baisse des chances de grossesse et une hausse des risques de fausses couches. Enfin, ce qui rend aussi les femmes infertiles dans cette situation, c’est le temps durant lequel elles ne peuvent pas être enceintes (5 ans). Et chez les femmes, malheureusement, le temps est un facteur d’infertilité.

Est-ce possible d’envisager que d’autres femmes puissent profiter de cette technique ?

Oui. D’autres femmes qui en ont profité sont d’ailleurs actuellement enceintes. A priori, nous sommes donc en train de valider le fait que la technique fonctionne. Mais bien entendu, elle ne marchera pas à chaque fois. Malheureusement, cela reste en effet de la médecine de la reproduction avec des taux d’échecs encore trop importants. Mais cela permet de donner de l’espoir aux femmes touchées par un cancer du sein, qui ne pouvaient jusque-là pas recevoir d’hormones et qui veulent préserver leur fertilité.

Votre médecin vient de diagnostiquer un taux de cholestérol un peu trop haut ? Vous pourriez le faire baisser en mangeant deux pommes par jour pendant les 8 semaines qui viennent.


Trop de cholestérol ? Passez à deux pommes par jour
On connaît le dicton qui dit qu'une pomme par jour éloigne le médecin pour toujours, mais pour faire baisser son taux de cholestérol et réduire le risque de maladie cardiovasculaire, c'est deux pommes par jour qu'il faudrait manger.

Une nouvelle étude de l'Université de Reading, en Grande-Bretagne, vient en effet de montrerque les personnes souffrant d'une légère hypercholestérolémie pouvait faire baisser leur taux de cholestérol de 4 % en mangeant deux pommes chaque jour pendant au moins 8 semaines. Cette étude, publiée dans American Journal of Clinical Nutrition, a été menée auprès de 40 patients âgés de 20 à 69 ans.

Pour cette étude, les scientifiques ont porté leur choix sur des Reinettes duCanada, une variété de pommes particulièrement riche en polyphénols, mais les chercheurs pensent que des effets pourraient également être observés avec d'autres variétés. Certains patients ont mangé deux pommes et d'autres ont bu du jus de pommes fabriqué avec les mêmes fruits. Mais la réduction du taux de LDL, le "mauvais" cholestérol a uniquement été enregistré chez les croqueurs de pommes.



Source: Autre Presse

Avoir 10 partenaires sexuels ou plus serait lié à un risque accru de cancer, selon une étude britannique. Un risque plus important encore chez les femmes que chez les hommes.


Sexe: Plus de 10 partenaires augmente le risque de cancer
Selon une étude des chercheurs de l'Université Ruskin en Grande-Bretagne, les hommes ayant déclaré avoir eu 10 partenaires sexuels ou plus au cours de leur vie sont 69% plus susceptibles d'avoir un diagnostic de cancer, tandis que les femmes ayant 10 partenaires ou plus sont 91% plus susceptibles de développer un cancer.

Sexe oral : les hommes plus à risque de cancers que les femmes

Pour cette étude, les chercheurs ont analysé les données de santé de 2537 hommes et 3185 femmes de 50 ans et plus. Parmi les participants, environ 28,5 % des hommes ont déclaré avoir eu 0 ou 1 partenaire sexuel à ce jour, 29 % 2 à 4, 20 % 5 à 9 et 22 % ont déclaré 10 partenaires ou plus. Pour les femmes, un peu moins de 41 % ont déclaré 0 ou 1 partenaire sexuel, 35,5 % 2 à 4, moins de 16 % 5 à 9 partenaires et un peu moins de 8 % ont déclaré 10 partenaires ou plus. "Ceux qui ont déclaré le plus grand nombre de partenaires sexuels étaient également plus susceptibles de fumer et de boire fréquemment", soulignent les chercheurs.

Il s'agit d'une étude observationnelle et les scientifiques n'en tirent pas de conclusion sur le lien de cause à effet. Mais ils suggèrent que se renseigner sur le nombre de partenaires sexuels pourrait compléter les programmes de dépistage du cancer existants et aiderait les médecins à identifier les personnes à risque.





Source : topsante.com

Les mycoses plantaires sont des maladies qui nécessitent d’être traitées car il n’y a pas de guérison spontanée et un très fort risque de contamination des proches et de l’environnement existe quand une mycose est présente.


Comment soigner le pied d'athlète et le prévenir ?
Le pied d'athlète est une infection provoquée par des champignons dermatophytes ou des levures qui aiment les environnements chauds et humides. Pour cette raison, les lieux humides (vestiaires sportifs, piscines, hammams...) sont des environnements propices à leur développement, tout comme les chaussures serrées ou en plastique qui empêchent l'évacuation de la sueur.

Les premiers signes débutent le plus souvent entre le 3e et 4e orteil ou entre le 4e et 5e. Il apparaît une rougeur, avec souvent des démangeaisons importantes voire des brûlures. L'évolution peut se faire vers l'apparition d'une fissure, qui peut être douloureuse, des petites cloques (vésicules) peuvent être visibles.

Remède naturel simple

Le bain d’eau salée

L’eau salée est un environnement hostile pour les mycoses, car le sel empêche la prolifération des champignons. Tremper chaque jour ses pieds dans l’eau salée (environ 1 cuillère à soupe de gros sel par litre d’eau) aidera à combattre cette infection.

Bain de pieds à l'argile verte

Un bain d’eau argileuse ou des emplâtres d’argile verte peuvent soigner et soulager l’infection entre les doigts de pieds. Versez 2 cuillerées à soupe d'argile verte dans un verre d’eau. Remuez puis versez dans l'eau du bain de pieds.

Ce bain est idéal pour calmer les démangeaisons.
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