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Santé
Dangers de la consommation d'aloe-vera

Appréciée pour ses vertus aussi bien beauté que santé, l'aloe vera connaît un regain de popularité. Et s'invite en cuisine. Pour autant avant d'en consommer, il faut prendre toutes ses précautions.

Dans les rayons des supermarchés, dans certains médicaments, dans des produits de beauté et même dans des recettes de cuisine : l'aloé vera est partout ! Possédant de nombreuses vertus pour notre santé, la plante gagne à être consommée. Mais pas n'importe comment ! Si on prend peu de risque avec les cosmétiques à base d'aloe vera, l'usage de la plante fraîche, nécessite plus de précautions.

Pourquoi l'aloé vera est dangereuse ?
La Direction générale de la Santé et la répression des fraudes (DGCCRF) a tiré la sonnette d'alarme. La partie externe des feuilles sécrète un liquide jaunâtre, le latex. Son tort ? Un effet laxatif très puissant à l’origine de « multiples effets indésirables largement documentés ». Et ce n'est pas tout, l’Agence européenne de sécurité des aliments (AESA) indique que certains composants du latex sont également susceptibles d’endommager l’ADN et d’être cancérigènes.

Comment consommer l'aloé vera ?
En attendant que l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) évalue les risques associés à un usage alimentaire de feuilles fraîches d’aloé vera ,on peut tout de même consommer la plante. A condition d'être méticuleux.

Par principe de sécurité, on recommande de ne consommer que le gel situé au centre des feuilles (et d’éliminer la partie externe et toute présence de latex). Pour les enfants, les femmes enceintes ou allaitantes et les personnes fragiles, la DGCCRF est encore plus stricte et conseille de bannir totalement l'aloé vera de sa consommation.







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L'humeur des personnes bipolaires peut être améliorée par le sport
L'activité physique contribue à booster l'humeur et l'énergie des personnes atteintes de troubles bipolaires selon une étude américaine.
 
Bouger est bon pour la santé physique et mentale. Pratiquer une activité physique serait particulièrement efficace pour redonner de l'énergie et améliorer l'humeur des personnes bipolaires.  C'est ce que suggèrent les travaux d'une équipe de chercheurs de l'école de santé publique John Hopkins Bloomberg aux Etats-Unis, parus le 12 décembre dans la revue JAMA Psychiatry.

 L'étude s'est basée sur 242 participants (150 femmes et 92 hommes) âgés de 15 à 84 ans, dont 54 atteints de trouble bipolaire. Leur activité physique a été enregistrée pendant deux semaines à l'aide de capteurs connectés portés aux poignets. Sur cette courte période, les volontaires ont également été invités à évaluer leur bonheur et leur énergie sur deux échelles numériques distinctes.

Les résultats ont mis en avant un cercle vertueux entre exercice physique, énergie et moral. L'augmentation de l'activité physique à un moment de la journée a été corrélée à une amélioration de l'humeur et de l'énergie à un autre moment. Lorsqu'un participant avait plus d'énergie à un instant T, il faisait plus d'exercice physique plus tard. Cette dynamique positive entre le sport, l'humeur et l'énergie était encore plus prégnante chez les personnes atteintes de bipolarité, ont constaté les chercheurs.

UN ÉVENTUEL LIEN ENTRE SPORT, SOMMEIL ET STRESS À ÉTUDIER

 
Ceux-ci espèrent appliquer ces résultats à de futures recherches sur la prévention des épisodes dépressifs et bipolaires.

"Cette étude illustre le potentiel de l'utilisation combinée de capteurs d'activité physique et d'agendas électroniques pour mieux comprendre les inter-relations dynamiques complexes entre plusieurs systèmes dans un contexte réel", explique le Dr Zipunnikov, professeur adjoint au département de biostatistique de la Bloomberg School.

Lui et son équipe ne comptent pas s'arrêter là. Ils comptent à présent se pencher plus particulièrement sur le lien entre activité physique et sommeil, douleur, consommation d'alcool et stress chez les personnes bipolaires.
Quelques conseils pour éviter que votre enfant ne présente un surpoids
La prévention du surpoids et de l'obésité de l'enfant commence dès la naissance et passe par l'acquisition de "bonnes habitudes de vie" qui concernent aussi bien l'enfant que sa famille. Voici quelques conseils pour éviter que votre enfant ne présente un surpoids : -

Allaitez, si possible, votre nourrisson. Outre les qualités nutritionnelles du lait maternel (le lait maternel est riche en graisses et contient une faible proportion de protéines), l'allaitement maternel réduirait le risque d'excès de poids futur chez l'enfant

- Donnez uniquement du lait jusqu'à six mois (allaitement maternel ou lait premier âge) -

Jusqu'à l'âge de 2 ans, l'enfant a besoin d'une quantité suffisante de lipides (ou graisses) pour répondre à ses besoins en énergie et en croissance. Les lipides (ou graisses) ne doivent pas être restreints avant l'âge de 2 ans. En particulier, les laitages allégés qui comportent peu de lipides et une proportion élevée de protéines ne sont pas indiqués avant l’âge de 2-3 ans.

Une restriction des lipides peut programmer le métabolisme du nourrisson pour faire face au déficit, mais cette adaptation le rendra plus susceptible de développer plus tard, un surpoids lorsque les apports lipidiques augmenteront

- Diversifiez l'alimentation, de préférence à partir de six mois, et peu à peu, en stimulant le goût de votre enfant avec des aliments variés. Avant l'âge de deux ans, l'enfant est curieux de nouvelles saveurs et les accepte facilement : profitez-en pour lui faire découvrir une palette de goûts différents

- Proposez à votre enfant une alimentation équilibrée

- Donnez-lui l'habitude d'une activité physique régulière

- Limitez ses activités sédentaires








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Bébé est toujours enrhumé ? Les réponses à vos questions
Bébé respire mal, vous réveille la nuit, est grognon toute la journée ? Vous n'en pouvez plus de tous ces rhumes qui se succèdent sans répit depuis le début de l'automne. Et pourtant, votre meilleure alliée, c'est la patience. Le Dr Pierre Popowski, pédiatre, répond à vos questions.

Un rhume est-il inquiétant ? Le rhume n'est pas une maladie, c'est seulement le signe que votre petit vient de rencontrer un nouvel agresseur (virus) qu'il est en train de combattre. C'est ce qui lui permet peu à peu de fabriquer ses propres défenses. Certains enfants ont ainsi besoin de faire une centaine de rhinopharyngites pour s'immuniser contre les germes habituels. Jusqu'à ce que leur système immunitaire arrive à maturité, vers l'âge de 7 ou 8 ans. Vous pouvez attendre 2 à 3 jours avant de consulter le médecin, même si votre enfant a 39,5°C de fièvre. A condition qu'il n'y ait aucun autre signe inquiétant.

Souvent la fièvre retombe toute seule et le rhume est déjà en voie de guérison. Découvrez-le pour faire baisser sa température, laissez-le par exemple en body ou même en couche, allongez-le au calme, dans une pièce chauffée à 20°C maximum et donnez-lui souvent de l'eau à boire pour éviter qu'il ne se déshydrate.En revanche, consultez un médecin si votre bébé de moins de 3 mois est fiévreux, si votre enfant a un comportement inhabituel (geignard ou abattu) ou d'autres symptômes associés (vomissements, diarrhée, éruption?).

Car le rhume peut se surinfecter et provoquer otite, bronchite ou bronchiolite. Les causes du rhume Chez les tout-petits, les poussées dentaires sont le plus souvent à l'origine des rhumes que les virus. Le nez coule, l'enfant bave, les fesses sont irritées : un tableau malheureusement banal durant la première année d'un bébé.

Si votre enfant a plus d'un rhume par mois tout au long de l'année, le médecin va rechercher une cause médicale : une allergie respiratoire ou un reflux gastro-oesophagien (remontées acides de l'estomac), notamment. Dans le premier cas, des tests de sensibilisation aux acariens ou aux pollens peuvent être réalisés par un allergologue à partir de l'âge de 2 ans.

Dans le second, une fibroscopie oesophagienne ou une mesure de l'acidité gastrique (pH-métrie) permettront de confirmer le diagnostic et de prescrire un traitement médicamenteux. Comment puis-je soulager mon enfant de son rhume ? Donnez-lui du paracétamol s'il a beaucoup de fièvre.

Pour un tout petit, la meilleure façon de l'aider à respirer est de procéder à un lavage de nez. Il faut maintenir la tête de bébé sur le côté, de profil, et placer l'embout du pulvérisateur ou de la pipette de façon perpendiculaire au visage, dans la narine supérieure. Si son nez n'est pas bouché, n'en faites pas un geste d'hygiène quotidienne sinon ces solutions salées risquent d'irriter les muqueuses et d'envoyer les glaires dans l'arrière-gorge, répandant ainsi l'infection jusque dans les bronches. Tant qu'il ne sait pas se moucher seul, vous pouvez aussi aspirer les mucosités avec un mouche-bébé. Mais vous n'aspirerez pas le mucus en profondeur.

Lorsque l'enfant est plus grand, apprenez-lui à se moucher en soufflant une narine après l'autre. Placez à sa disposition des mouchoirs en papier qu'il jettera après chaque utilisation et expliquez-lui aussi qu'il doit toujours se laver les mains. Tant qu'il ne sait pas se moucher seul, aspirez les mucosités avec un mouche-bébé.

L'homéopathie est-elle recommandée? Il semble bien que les granules rendent l'organisme plus résistant, limitent la fréquence des rhinos et par là même diminuent le risque de surinfection. Les principaux remèdes sont Thuya, Calcareacarbonica, Chamomilla ou Nuxvomica, selon les symptômes et le « terrain » de votre enfant.

L'alimentation joue-t-elle un rôle en matière de prévention du rhume ? Une carence en fer rend plus fragile et donc plus sujet aux infections, ORL notamment. Elles sont plus fréquentes chez les enfants végétariens et les bébés nourris au sein, car le lait maternel est très pauvre en fer. Une simple prise de sang pour doser la ferritine permet de confirmer le diagnostic. Dans ce cas, du lait infantile, systématiquement enrichi en fer, ou 30 g de viande rouge deux à trois fois par semaine suffisent souvent comme traitement.

Sinon, le médecin peut prescrire une supplémentation en fer sous forme de sirop. Faut-il lui faire retirer les amygdales et les végétations en cas de rhume ? L'ablation des amygdales (amygdalectomie) peut être utile et efficace chez les enfants qui ont plus de 6 angines par an, ou encore lorsque ces affections à répétition provoquent des pauses respiratoires ou un ralentissement de la croissance. Quant à l'ablation des végétations (adénoïdectomie), elle est recommandée pour traiter les enfants qui ont le nez bouché en permanence, des végétations énormes ou qui font des otites à répétition.






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Tu viens d’accoucher, et tu as sûrement remarqué ce léger petit détail: un bébé n’est pas livré avec son mode d’emploi. C’est nul, mais c’est comme ça. Ton nourrisson hurle, alors qu’il est propre, nourri et suffisamment reposé ? Cherche pas, c’est probablement des coliques. Ce mal de bide horrible pour eux, peut se soulager avec quelques astuces, qui marchent en fonction des bébés (sinon c’est trop facile).


Top 10 des astuces pour calmer les coliques du nourrisson, un truc vraiment pas cool
1. Le tenir sur ton avant-bras
Essaye de le porter sur ton avant-bras, ventre contre ta peau, les bras et les jambes tombant de chaque côté, en te baladant dans l’appartement. La pression de ton bras sur son ventre peut le soulager pendant un moment.

2. Faire attention à ce qu’il n’avale pas trop d’air en mangeant
Si tu allaites, fais le plutôt à la verticale qu’à l’horizontale, et si tu lui donnes le biberon, fais bien attention à ce que la tétine soit remplie de lait, et pas à moitié d’air. Ça évite qu’il en ingère trop, et que plein de rots se coincent dans son estomac.

3. Lui masser le ventre
Allonge-le sur le dos, et masse son petit ventre en faisant des cercles, dans le sens des aiguilles d’une montre. Vas-y mollo hein, pas besoin de rentrer tes doigts dans son abdomen, juste une petite pression peut suffire à le soulager.

4. L’homéopathie
Chamomilla ou Colocynthis, quelques granules tous les jours diluées dans un peu d’eau peuvent vraiment le soulager. N’hésite pas à demander conseil à un homéopathe qui pourra te donner le dosage et le traitement adapté.

5. L’ostéopathie
Technique assez controversée, les séances d’ostéopathie peuvent vraiment soulager ton nouveau-né. Les manipulations aident à faire sortir l’air qui ne trouve pas la sortie, et à repositionner les organes qui ne sont pas encore bien à leur place.

6. Le faire roter
Il ne faut pas hésiter à insister un peu à la fin du repas de ton bébé pour qu’il sorte un bon gros rot sonore de poivrot. Comme dit Shrek: « il vaut mieux que ça soit dehors que dedans ».

7. Calmos sur le lait de vache
Le lait de vache est difficile à digérer pour les adultes, alors pour nouveau-né, c’est encore pire. Si tu allaites, calme ta propre consommation de lait de vache (yaourt, fromages, etc), ça pourrait aider.

8. Les probiotiques
Lactibiane est ton ami. Oui, ça coûte à peu près le prix d’un rein, mais ça aide vraiment à endurcir son système digestif, qui en chie un peu depuis qu’il est confronté aux bactéries de son nouveau monde. Une petite cure ne peut pas faire de mal.

9. Le portage
Allez, c’est le moment de te trimballer toute la journée avec ton bébé contre toi, dans un porte-bébé ou une écharpe de portage. Blotti contre toi, à la verticale, ses coliques vont considérablement se calmer.

10. Le pédalo
La technique du pédalo consiste à mettre ton bébé sur le dos, et à le faire faire pédaler dans le vide avec ses jambes en exerçant une légère pression sur son ventre. Il y a plein de vidéos qui montrent comment faire, et tu vas pouvoir entendre tous les pêts coincés sortir un par un, et donc soulager ton nouveau-né.








Topito
Courage, force et honneur: les coliques, c’est vraiment pas facile, mais c’est pas éternel. Et puis après, ça sera les dents, youpi.
Qu'est-ce que l'hypertension artérielle ?
L'hypertension artérielle est un trouble cardiovasculaire fréquent. Elle concerne plus de 10 millions de personnes en France. Habituellement, la tension - la pression du sang dans les artères - se situe à environ 12/8 cmHg (centimètres de mercure). 

Le premier chiffre, correspond à la tension artérielle mesurée pendant la phase de relâchement du cœur (pression diastolique). Le deuxième chiffre, à la mesure prise lors de la phase de contraction du cœur (pression systolique).

La tension artérielle varie au cours de la journée (découvrez ici comment la prendre à la maison). En situation de stress ou d’émotion intense, elle s’élève naturellement. Quand la tension reste élevée en permanence, au-delà de 14/9 cmHg, on parle d’hypertension artérielle. 

Non traitée, l’hypertension peut provoquer de nombreuses complications : AVC, infarctus, insuffisance cardiaque  ou rénale, rétinopathie, artériosclérose, troubles érectiles…
Dans 90 % des cas, on ne connait pas la cause de l’hypertension. Mais on sait qu’interviennent l’âge, l’hérédité, le manque d’exercice ou encore le surpoids… Plus rarement, l’hypertension est secondaire à une maladie ou à la prise de médicaments (anti-inflammatoires, bronchodilatateurs…).

Pendant une grossesse, de l’hypertension peut aussi apparaître. On parle alors d’hypertension "gravidique". Cette hypertension doit être surveillée car elle peut provoquer des problèmes à l’accouchement.

Quels sont les symptômes de l’hypertension ? 
L'hypertension artérielle ne s’accompagne, en général, d’aucun symptôme c’est pourquoi on parle d’elle comme d’un "tueur silencieux". Un tiers des personnes hypertendues ignore leur état. Chez les personnes présentant une hypertension, on peut toutefois remarquer certains signes  :
  • Palpitations
  • Fatigue, somnolence
  • Vertiges
  • Troubles de la vue (mouches devant les yeux)
  • Nervosité
  • Maux de tête
  • Bourdonnements d’oreille
  • Saignements de nez
  • Nausées voire vomissements
  • Engourdissements ou fourmillements dans les mains et les pieds

Qui n’a jamais été frappé par une irrépressible envie de vomir pendant un long trajet en voiture, en car, ou pire, en bateau ? Le mal des transports est une belle saloperie qui fait des milliers de victimes parmi les voyageurs chaque année. Heureusement, la résistance s’organise pour faire face à cette menace et rêver d’un monde sans sac à vomi glissé devant le siège.


Top 10 des astuces pour lutter contre le mal des transports, le vomi c’est pas gentil
1. Limitez votre activité visuelle
Même si ça permet de passer le temps, évitez tout ce qui est lecture, jeux vidéo etc. La faute à votre cerveau qui reçoit deux signaux contradictoires. Celui de l’oreille interne qui l’informe que le corps se déplace, et celui des muscles qui de leur côté affirment au contraire qu’ils se la coulent douce et qu’il n’y a strictement rien à faire. Le cerveau estime alors que l’organisme est sous l’emprise d’un poison… et déclenche une bonne vieille nausée pour s’en débarrasser rapidos. Et c’est un neurologue qui le dit !

 


2. Placez un bouchon dans une oreille
Ça a l’air complètement con de prime à bord, mais faites-moi confiance, le bouchon d’oreille pour éviter le mal des transports est super efficace. Le principe est simple, s’enfoncer un truc dans l’oreille opposée à la main avec laquelle on est censé être le plus habile. L’oreille gauche pour un droitier donc, et inversement. Cela permettrait de rééquilibrer le liquide interne de l’oreille responsable des vertiges. Une astuce testée et approuvée sur un trajet de 8h dans un train à remous entre Hanoï et Sapa…

 


3. Bien choisir sa place
Dans une voiture ou un bus, les places à l’avant sont souvent prises d’assaut et pour cause : le fait de voir la route permet de limiter les risques de mal des transports. Si ces places sont déjà prises, rabattez-vous sur celles du milieu où vous ressentirez moins les mouvements du véhicule que si vous trouvez assis juste au dessus d’une roue. Idem en bateau, où les places au milieu sont recommandées pour éviter d’être trop chahuté… Par contre pour vomir par la fenêtre, c’est nettement moins pratique !

la fenêtre, c’est nettement moins pratique !

4. Anticipez les mouvements du véhicule
Même si vous n’êtes pas au volant, ou au gouvernail du bateau, faites comme vous étiez le pilote en mimant ses mouvements et en anticipant les trajectoire. Certes, vous aurez l’air un peu bizarre, mais votre cerveau lui, se sentira nettement mieux. La preuve : vous avez déjà vu un conducteur avoir le mal des transports ? NB : marche aussi si vous n’avez pas le permis !

 



5. Mâchez du gingembre
Si vous avez déjà vu du gingembre en racines, vous savez que ça ne sera pas une partie de plaisir. Heureusement, il existe des chewing-gum qui font parfaitement le job. Le gingembre serait en effet utilisé depuis longtemps par les navigateurs chinois pour les aider à lutter contre le mal de mer… Allez savoir pourquoi on a envie de leur faire confiance.
 

confiance.


6. Mettez un bouquet de persil autour du cou
Les grand-mères sont de grandes déconneuses. Parmi les remèdes qu’elles ont refilé en se marrant à leurs marmailles, celui du bouquet de persil autour du cou (ou dans le soutien-gorge pour mesdames) pour lutter contre le mal des transports, est du très très haut niveau. Dernier détail, il faut que le persil soit frais évidemment.

 


7. Appuyez sur un point acupuncture au niveau du poignet
Il existe des bracelets vendus en pharmacie et dotés d’une petite bille qui appuie sur ce point. Si vous n’en avez pas sous la main, vous pouvez vous débrouiller avec la votre, de main… Le point P6 se situe à trois largeurs de doigts –index, majeur et annulaire – du pli de votre poignet vers le coude, entre les deux tendons de la face interne de l’avant-bras (côté paume de main). Massez pendant 5 minutes à cet endroit à l’aide de mouvements circulaires avec l’ongle et le bout du doigt en vous calant sur votre respiration et en appuyant sur l’expiration. Matez cette vidéo pour mieux comprendre comment ça fonctionne.

vidéo pour mieux comprendre comment ça fonctionne.

8. Shootez-vous avec de l’huile essentielle de citron
Il paraît que l’huile essentielle de citron calme le système nerveux en grande partie responsable des nausées, tout en diminuant les mouvements de l’appareil digestif. Deux possibilités pour prendre votre dose : déposer une ou deux gouttes sur un morceau de tissu et respirer calmement à chaque début de crise, ou les verser sur un sucre à sucer (interdit aux enfants de moins 7 ans et aux femmes enceintes, dans tous les cas, renseignez-vous au préalable sur les doses à respecter).

 

9. Évitez les mauvaises odeurs
Que ce soit le tabac, l’alcool, la transpi ou autres manifestations olfactives corporelles, les mauvaises odeurs ont tendance à renforcer, voire dans certains cas, à provoquer le mal des transports. Une bonne raison, d’ouvrir la fenêtre si vous ne vous sentez pas dans votre assiette… ou si vous sentez que celle-ci risque de finir sur vos pompes.

 


10. Collez-vous un patch de scopolamine derrière l’oreille
Ça se colle six à douze heures avant de partir et on est censé le garder tout au long du trajet. Son efficacité dure environ 72 heures, ce qui devrait vous permettre d’arriver à bon port sans trop de problèmes. Bien lire la notice avant quand même, les précautions d’emploi et contre- indications sont longues comme mon bras… qui est paraît-il, plutôt impressionnant!
 







Source : e-sante.fr
L'orgasme est-il forcément clitoridien ? Alors l’orgasme vaginal, ça existe ou pas ?
 
  • "J'ai entendu dire que l'orgasme vaginal était un mythe et que le plaisir ne pouvait être provoqué que par le clitoris. Pouvez-vous m'en dire plus ?" demande Véronique, 49 ans, au Dr Catherine Solano, médecin sexologue et andrologue (hôpital Cochin, Paris)
  • Votre question est toujours d'actualité ! Nul ne sait complètement y répondre. En réalité, tout est plus complexe que ce que l'on en dit et il existe plusieurs théories sur l'orgasme féminin.
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  • Quels sont les différents types de zones érogènes chez les femmes?
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  • Ce qui est certain, c'est que le clitoris est au centre du plaisir. Son gland, qui est extérieur, correspond au gland du pénis. C'est donc, chez la femme, la zone du corps la plus érogène et la plus sensible aux stimulations érotiques. Malheureusement, bien des hommes semblent l'ignorer, parfois totalement, parfois à moitié !
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  • LE CLITORIS, LE CENTRE DU PLAISIR CHEZ LA FEMME
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  • Disons que l'on peut identifier trois catégories d'hommes :
  • Ceux qui imaginent que les stimulations les plus efficaces pour eux le sont également pour leur partenaire.
  • Ils ont donc tendance à se focaliser sur la pénétration. Ils font des mouvements de va-et-vient rapides et puissants car c'est ce qui est le plus stimulant pour eux. Or, pour une femme, c'est rarement ce qui procure le plus de plaisir. D'où la surprise de certaines jeunes femmes lors des premières relations sexuelles, qui peuvent se demander : « C'est seulement ça dont on parle tant ? ».
  • Deuxième catégorie d'hommes, ceux qui savent que le clitoris est important pour une femme. C'est un progrès immense, pourtant il est souvent insuffisant.
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  • En effet, ces hommes pensent parfois que le clitoris compte...mais qu'il est surtout un starter destiné à stimuler la femme pour faire monter son excitation avant la pénétration. Ils ne le considèrent donc pas réellement comme un centre de plaisir, mais plutôt comme un accessoire aidant au plaisir.
  • Enfin, la troisième catégorie, plus rare, a compris que le clitoris était aussi important pour une femme que le pénis pour un homme. Ces hommes-là s'occupent du clitoris, et pas seulement au cours des préliminaires.
  • Même si une femme a des orgasmes clitoridiens, son vagin y participe toujours.
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  • ALORS, L'ORGASME VAGINAL, ÇA EXISTE... OU PAS ?
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  • Concernant le plaisir vaginal, on sait qu'un tiers des femmes peuvent avoir des orgasmes provoqués par les mouvements de va-et-vient du pénis. Ce n'est donc certainement pas un mythe ! Ceci étant, les sexologues pensent de plus en plus que les jouissances dites vaginales sont peut-être obtenues par la stimulation interne des racines profondes du clitoris, c'est-à-dire les bulbes clitoridiens entourant le vagin.
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  • D'autre part, certaines femmes ont des orgasmes plutôt clitoridiens facilités par les stimulations à l'intérieur du vagin. À l'heure actuelle, plusieurs théories estiment qu'il n'existe qu'un seul orgasme, même s'il peut avoir différents points de départ : le gland du clitoris, ses racines superficielles ou ses racines profondes, parfois même les seins ou toute autre zone très érogène pour une personne donnée.
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  • Quoi qu'il en soit, même si une femme a des orgasmes clitoridiens, son vagin y participe systématiquement. En effet, le propre de la jouissance, au-delà du plaisir bien sûr, ce sont les contractions rythmiques et involontaires de l'ensemble de la zone sexuelle. Au cours d'un orgasme, quelle que soit son origine, le vagin se resserre donc plusieurs fois. On peut alors affirmer que ce dernier est toujours un effecteur du plaisir suprême, même lorsque le clitoris en est le déclencheur...
  • Source Topsanté

INFLUENCE - La science avait déjà démontré une baisse du nombre de spermatozoïdes due à la consommation de cannabis. Mais selon une étude publiée dans la revue Epigenetics, elle pourrait aussi "reprogrammer" le sperme en modifiant la manière dont s'expriment les gènes du fluide.


Fumer du cannabis pourrait "reprogrammer" le sperme et créer des spermatozoïdes mutants
Des spermatozoïdes mutants. C’est ce qu’engendrerait la consommation de cannabis selon une étude publiée le 18 décembre dans la revue Epigenetics. En étudiant les effets de cette drogue sur des rats puis sur vingt-quatre hommes de 18 à 40 ans, une équipe de scientifiques de Duke University, en Caroline du Nord (Etats-Unis), a constaté une altération du sperme avec une "reprogrammation" des gènes de son ADN.

Pour leurs travaux, les chercheurs ont comparé le sperme de deux groupes de rats : l'un s'étant fait administrer du tetrahydrocannabinol (THC), la molécule active du cannabis, et l'autre non. Ils ont ensuite comparé le sperme d'un groupe d'hommes qui fumaient de la marijuana de façon hebdomadaire à un autre qui n'en avait pas fumé plus de dix fois au cours de leurs vies et pas du tout, les six derniers mois. Chez les rats comme chez les humains, il s'est avéré que la marijuana avait changé la façon de fonctionner des gènes dans les cellules du sperme.

Des résultats à approfondir

Cette modification est en fait de nature épigénétique. Autrement dit, ce ne sont pas les gènes eux-mêmes qui ont changé, mais leur façon de s'exprimer. Ils sont "reprogrammés". Et l'un des changements d'expression concerne, indique l'étude, la lutte contre les tumeurs cancéreuses. Cela ne signifie pas pour autant qu’un enfant né de ce sperme sera plus vulnérable au cancer, précise The Verge qui relaye l'étude.

Susan Kay Murphy, professeure de gynécologie à Duke University et co-auteur de l’étude, insiste sur le fait que ces travaux, qui visaient seulement à voir si le cannabis avait de quelconques effets sur le sperme, ont été menés sur un faible échantillon de volontaires pour lesquels la concentration inhalée de THC, molécule active du cannabis, n’a pas été mesurée. Ils devront désormais être approfondis.

Les scientifiques ont seulement noté une augmentation des effets corrélée avec un taux plus fort de THC relevé dans les urines des participants. "Je veux être très prudente sur le fait que les résultats obtenus ne soient pas interprétés autrement que la façon dont ils doivent l’être", souligne la chercheuse auprès de The Verge. "Cela n’a pas pour but d’effrayer les gens. Notre objectif global est d’apprendre davantage sur la biologie et les effets que la consommation de cannabis pourrait avoir."





LCI
La taille des doigts détermine l'orientation sexuelle chez les femmes
Les femmes dont l'index gauche et l'annulaire sont de longueurs différentes sont plus susceptibles d'être lesbiennes, selon une étude. Les scientifiques ont mesuré les doigts de 18 paires de jumeaux identiques de sexe féminin, dont l'une était hétérosexuelle et l'autre gay. En moyenne, les lesbiennes, mais pas les jumelles du même œuf, avaient des index et des annulaire de tailles différentes, typiquement un trait masculin, mais seulement sur la main gauche. Cela pourrait être le résultat d'une exposition à plus de testostérone dans l'utérus, selon les chercheurs de l'Université d'Essex.
Les scientifiques ont également mesuré les doigts de 14 paires de jumeaux identiques de sexe masculin, dont l'un était hétérosexuel et l'autre gay, mais n'ont trouvé aucun lien. Les hommes et les femmes ont été exposés à l'hormone "mâle", la testostérone, dans l'utérus - mais certains peuvent être exposés plus que d'autres, selon les scientifiques.
L'auteur de l'étude, Dr Tuesday Watts, du département de psychologie de l'Université d'Essex, a déclaré que "les jumeaux identiques, qui partagent 100 % de leurs gènes, peuvent avoir des orientations sexuelles différentes, des facteurs autres que la génétique doivent expliquer ces différences".
"Les recherches suggèrent que notre sexualité est déterminée dans l'utérus et dépend de la quantité d'hormone mâle à laquelle nous sommes exposés ou de la façon dont notre corps réagit à cette hormone".
"Les personnes exposées à des niveaux élevés de testostérone étant plus susceptibles d'être bisexuelles ou homosexuelles".
"En raison du lien entre les niveaux d'hormones et la différence de longueur des doigts, regarder les mains d'une personne pourrait fournir un indice sur sa sexualité."
Les résultats sont publiés dans Archives of SexualBehaviour.
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