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Santé

Des chercheurs mettent au point un pansement à électrodes qui génère des stimulations électriques sur les blessures, leur permettant de guérir plus vite. La première phase de l’expérience est un succès, avec la cicatrisation d’une plaie qui peut prendre trois jours au lieu de 14 dans certains cas.


Des pansements qui génèrent de l’électricité pour guérir plus vite

Nous savions déjà que les stimulations électriques favorisaient la guérison des blessures et une cicatrisation plus rapide, des chercheurs ont mis ce savoir en pratique en mettant au point des pansements générant d’eux-mêmes de l’électricité. Appliqués sur une plaie, ils permettent ainsi une régénération plus rapide des tissus. Pas de quoi devenir des Wolverine en puissance, mais de raccourcir très efficacement la période de rétablissement (de 14 jours à 3 jours pour un certain cas).

Bientôt des pansements électriques dans les hôpitaux ?

L’équipe de scientifiques, composée d’Américains et de Chinois, a mené avec succès des tests sur des souris rapporte l’étude, publiée par ACS Nano. La prochaine étape est désormais de réaliser des expériences sur les porcs. Si elles s’avèrent concluantes, on pourra alors passer aux expérimentations sur l’humain. Les composants nécessaires à ces pansements d’un genre nouveau laissent la possibilité d’une production et d’une commercialisation de masse à terme. On pourrait donc bien en trouver dans les hôpitaux et les pharmacies d’ici quelques années.

Les petites électrodes présentes sur le pansement créent une faible intensité électrique qui stimulent les cellules de la peau. Celles-ci s’activent alors et sont deviennent bien plus rapides qu’en temps normal. Pour l’instant, la nécessité d’un nano-générateur qui déclenchent l’action des électrodes rend le système encore peu pratique pour les particuliers, mais une solution pour alléger le procédé est aussi en cours d’étude.






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Les produits cosmétiques sont responsables de la puberté précoce chez les jeunes filles
Une récente étude réalisée par l'université de Berkeley en Californie prouve qu'il existe un lien entre les composants chimiques de nos cosmétiques et la puberté précoce des jeunes filles.

C'est prouvé, les produits chimiques présents dans nos cosmétiques ont une mauvaise influence sur notre corps. Selon une récente étude américaine menée par l'université de Berkeley en Californie et publiée dans Human Reproduction, les composants chimiques tels que les phtalates, les parabens ou les phénols auraient un impact négatif sur le développement hormonal des jeunes filles et seraient donc responsables de leur puberté précoce.

Pour en arriver à de telles conclusions, les chercheurs ont effectué des tests d’urine sur plusieurs femmes enceintes afin d'étudier le taux de phtalate, de parabène et de phénol, trois substances chimiques que l’on retrouve dans un grand nombre de cosmétiques et dans de nombreux produits d’entretien. Si les phtalates sont utilisés pour créer nos parfums et nos déodorants, le parabène et le phénol se retrouvent dans la quasi-totalité de nos produits de soin et de maquillage. Un constat alarmant qui justifie notamment ce regain d'attention des femmes pour les cosmétiques d'origine naturelle.

Des règles et des poils pubiens qui apparaissent plus tôt

Ces composants chimiques peuvent tous être à l’origine d'une puberté précoce et ce dès le plus jeune âge, puisque les plus graves conséquences se formeraient dès les premiers mois de grossesse de la mère. D'après les chercheurs, à chaque fois que la dose de phtalate était doublée, le développement des poils pubiens chez une jeune fille arrivait un mois et trois semaines plus tôt que l'âge moyen. Quand la base de triclosan (type de phénol) était doublée, en comparaison à un indicateur de base, les menstruations arrivaient un mois plus tôt que la moyenne.

Résultat : les recherches ont permis de découvrir que les jeunes filles exposées à ces trois produits chimiques étaient plus susceptibles d'avoir une puberté précoce. Ce sont notamment les filles dont les mères avaient le plus fort taux de phtalate, de diéthyle et de parabens, qui présentaient le plus gros risque d'une puberté avancée. Mesdames, un grand tri dans vos salles de bain s'impose !







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Les végétariens seraient plus sujets à la dépression
Une étude, menée sur plus de 15 000 volontaires par des chercheurs espagnols de l'université de Las Palmas pendant 10 ans, démontre qu’une alimentation riche en fruit et légumes et noix parviendrait à protéger contre la dépression. Par contre, l’étude révèle également que les végétariens seraient plus sujets à faire des dépressions.

Un lien entre alimentation et dépression
Les consommateurs s’en doutaient, les scientifiques l’ont confirmé. Verdict, les participants qui durant cette expérience ont suivi un régime méditerranéen (beaucoup de légumes, de fruits, d’huile d’olive, de poisson et peu de viande) ont consommé moins d’antidépresseur que les autres.

Selon celle-ci, les amateurs de poissons et de crustacés voient le risque de faire une dépression baissée de 17 % par rapport à ceux qui n’en mangent jamais.

Un constat qui semble être confirmé par une autre étude américaine cette fois. Selon celle-ci, les amateurs de poissons et de crustacés voient le risque de faire une dépression baissée de 17 % par rapport à ceux qui n’en mangent jamais.

Reste deux inconnus, quelle est la quantité optimale à consommer et quel est le type de poissons à privilégier, les scientifiques n’ont pas fini de scruter nos assiettes.







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Péridurale, épisiotomie, forceps, césarienne... ce que les femmes détestent !
Péridurale ou accouchement dans la douleur ? Césarienne ou voie basse ? Episiotomie ? Forceps ? Forum Santé fait le point sur toutes ces questions qui empêchent les futures mamans de dormir et de faire de l'accouchement le plus beau jour de leur vie.

Accouchement par voie basse ou naturelle
C’est la méthode traditionnelle. L’accouchement par voie basse ou par voie naturelle, c'est l'expulsion du bébé à travers les voies génitales, à la fois par les contractions utérines et de puissantes contractions abdominales (le fait de "pousser"). C'est ce que souhaite la plupart des mamans mais ce n'est pas toujours possible.

Pour préserver la maman d'un accouchement difficile et douloureux pour elle et son bébé, il arrive qu'on procède par des méthodes moins naturelles. Ce n'est pas pour autant qu'il faut angoisser. Ces autres types d'accouchement ont souvent pleins de côté positifs et parfois, quand on y réfléchit, on en viendrait presque à redouter un accouchement naturel.

Accouchement par césarienne
L’accouchement par césarienne est généralement pratiqué en urgence. Elle peut être également programmée en fonction de vos convenances, de la taille de votre bébé et de vos antécédents en matière de grossesse.

Si elle est planifiée, votre accouchement par césarienne se déroule beaucoup plus rapidement qu'un accouchement naturel. Vous pouvez vous organiser pour en faire profiter toute votre famille également. En moins d'une heure, vous retrouvez votre enfant sans avoir vécu la douleur, les contractions qui n'en finissent pas et l'épisiotomie. Autres avantages : l’incontinence urinaire et fécale est fortement réduite, les fonctions sexuelles sont moins affectées au cours des trois premiers mois et au bout de deux mois, tous les signes de l’opération disparaissent.

Accouchement au forceps, ventouse, spatule
L’accouchement au forceps est fait grâce à des instruments dits d'extraction utilisés lors d'un accouchement, pour dégager plus facilement la tête de l'enfant et accélérer l'expulsion. La ventouse facilite l’expulsion en améliorant la flexion et la rotation de la tête du bébé et les spatules permettent de guider le bébé vers la sortie.

Rassurez-vous, la bosse créée au moment de l’aspiration se résorbe très vite d'elle-même et votre enfant n’a pas mal du tout. Quant à vous, n'ayez aucune crainte, vous ne souffrirez pas de l’utilisation de ces outils tout simplement parce que leur usage se fait sous péridurale. Ce type d'accouchement est fait de façon exceptionnelle.

Accouchement avec ou sans péridurale ?
L’idée qu’une femme n’a pas d’autre alternative que d’enfanter dans la douleur a non seulement fait son temps, mais est aussi fausse. L’accouchement sous péridurale, donne le droit aux femmes de moins souffrir. La péridurale a le même effet qu’une anesthésie locale. Grâce à une injection qui se fait via l’espace péridural, les douleurs de l’enfantement sont atténuées.

L’allègement des douleurs permet de diminuer la fatigue maternelle. Vu que l’injection n’agit que sur une partie précise du corps, la future maman reste consciente ressent toutes les contractions sans avoir mal. La péridurale peut se pratiquer aussi bien pour un accouchement par voie basse que pour une césarienne.

Accouchement par épisiotomie
Parfois, pour permettre le passage du bébé, la sage-femme est obligée de pratiquer une incision du périnée. On parle alors d’accouchement par épisiotomie. Très fréquent lors d’un premier accouchement, cela ne signifie en rien que vous en aurez une pour un deuxième ou un troisième enfant.

Accouchement sous hypnose
Si vous voulez contrôler les douleurs lors de l'accouchement sans prendre la péridurale, il vous reste un choix : celui de l'accouchement sous hypnose. De plus en plus d'hôpitaux proposent aux futures mamans, d'accoucher sous hypnose.

L'objectif : loin des clichés que l'on se fait de l'hypnose, aider la maman à atteindre la transe hypnotique afin de supporter sereinement les douleurs liées aux contractions. Tout en restant consciente, les mamans distinguent leur esprit de leur corps et accouchent plus paisiblement.








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Reins, comment les préserver et pourquoi sont-ils indispensables ?
En cette journée mondiale des reins 2015, nous revenons pour vous sur les fonctionnalités de cet organe et sur le traitement des maladies des reins.

Comment fonctionne le rein ?
Le rein est un immense filtre qui purifie la totalité du sang. À chaque fois que le cœur éjecte le sang, il passe par les reins, et le rein est débarrassé de ses déchets, via l'urine, pour ne garder que les substances importantes.

Le rein a d'autres fonctions, notamment, maintenir un équilibre intérieur (équilibre acide-base). Le rein est donc en permanence en train de réguler l'acidité du sang.

C'est aussi une glande qui secrète un certain nombre de substances dont la rénine. La rénine permet de réguler la tension artérielle et la maintient dans les limites de la normale, c'est-à-dire autour de 13/8.

Le rein secrète également des hormones appelées érythropoïétines qui servent à synthétiser les globules rouges qui captent l'oxygène. Plus on en a, plus on a d'oxygènes.

Les maladies des reins
Les maladies des reins sont innombrables. Toutes les pathologies qu'on a dans l'organisme peuvent se retrouver dans le rein. La plus grave est l'insuffisance rénale chronique.

Les reins peuvent également être touchés par des inflammations ou des infections. Les maladies cardiovasculaires déteignent également sur l'activité du rein. Quand on souffre de pathologie au niveau cardiovasculaire, une artère irrigue le rein et en diminue l'infiltration.

Traitement de la maladie des reins
En cas d'insuffisance rénale, on peut vivre avec un seul rein. Ce rein bien portant, va contre balancer la perte de fonctionnalité de l'autre, mais il est impossible de vivre sans rein, parce que très rapidement, on se retrouve avec des toxines dans le corps qui ne sont pas éliminées.

Quand on souffre d'insuffisance rénale aigue, le recours à la dialyse s'avère indispensable. La dialyse permet d'épurer le sang à intervalle de temps régulier. On ne peut cependant pas vivre très longtemps sous dialyse, il y a un moment où on est obligé de passer à la greffe du rein.





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Une étude américaine de grande ampleur met en lumière les effets des écrans sur le cerveau des enfants. Les conclusions sont inquiétantes : les écrans modifient le cerveau des enfants.


Comment les écrans modifient le cerveau des enfants
Ce lundi 10 décembre, la chaîne CBS rend publics les premiers résultats d’une étude sur les effets des écrans sur le cerveau des enfants. Contrairement à d’autres études, ce projet a été mené sur le long terme. A terme, 11 000 enfants vont être suivis pendant dix ans. Le coût de l’étude financée par le gouvernement fédéral américain s’élève à 300 millions de dollars.

L’objectif de l’étude est de répondre à une problématique importante sur le plan sanitaire : quel effet le temps passé devant les écrans a sur le développement du cerveau des enfants ? L’étude vise également à déterminer quel est l’impact émotionnel et à terme, quelles sont les conséquences sur la santé mentale de l’utilisation d’écrans par les enfants. Les premiers résultats sont effarants.

Les écrans réduisent prématurément la taille du cortex cérébral.
Chez l’être humain, le cortex cérébral commence à s’amincir en vieillissant. Chez les enfants, ce phénomène n’existe donc pas. Il intervient plus tard. Selon une étude américaine, le déclin cognitif n’intervient qu’à partir de 30 ans.

Pourtant, l’étude publiée par CBS démontre que le cortex d’enfants de 9 et 10 ans commence à s’amincir lorsqu’ils sont au contact d’écrans. Les scientifiques ont fait passer des IRM à 4500 enfants. Ils ont observé un effet d’amincissement prématuré du cortex sur les sujets exposés plusieurs heures par jour à des écrans.

Pour le moment, les scientifiques ne peuvent pas déterminer si le problème est grave. Ils doivent observer l’évolution de ces sujets sur les dix années à venir, en passant par l’adolescence et l’âge adulte.

Ils sont néanmoins déjà en mesure d’afffirmer que les enfants passant du temps devant les écrans (en moyenne plus de deux heures par jour), ont de moins bons résultats aux tests de langage et de logique.

Réseaux sociaux et automutilation
Afin de déterminer les effets des réseaux sociaux sur la santé mentale des enfants, les scientifiques leur font passer des IRM pendant qu’ils font défiler leur compte Instagram. Les chiffres des services d’urgence montrent que les cas d’automutilation sont trois fois plus nombreux chez les filles âgées de 10 à 14 ans lorsqu’elles ont grandi avec les réseaux sociaux.

Pour le moment, impossible d’affirmer un lien de cause à effet. L’étude publiée par CBS n’en est qu’à ses débuts. D’autres résultats seront publiés au fil du temps. Le bilan ne sera publique que dans une dizaine d’années.







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Danger smartphones : L'excès d'écrans modifierait le cerveau des enfants
Les enfants qui passent plus de deux heures par jour derrière un écran affecteraient leurs capacités de mémorisation et de langage, selon les résultats préliminaires d'une vaste étude américaine.
 
Passer des heures à regarder un écran de smartphone, de tablette nuit-il au développement neurologique de l'enfant ? C'est ce que s'attachent à découvrir les Instituts nationaux américains de la santé (NIH).
 
Dans une vaste étude, des scientifiques américains ont commencé à scanner le cerveau d'enfants de neuf et dix ans dans 21 centres de recherche à travers les Etats-Unis. Objectif : comprendre l'impact de leur rapport à l'écran sur leur cerveau, leur développement affectif et leur santé mentale.
 
Plus de 11 000 enfants au total vont être suivis pendant une décennie.
 
Les premiers résultats viennent de filtrer. Ils sont issus d'examens menés par IRM et des entretiens auprès d'un panel de 4 500 enfants enfants . Verdict : il semble que les enfants qui passent le plus de temps sur un smartphone, tablette ou écran d'ordinateur affichent des différences cérébrales par rapport aux petits consommateurs d'appareils électroniques.
 
Précisément, les enfants qui passent deux heures par jour ou plus sur des écrans obtiennent des résultats plus faibles aux tests cognitifs, de mémoire et de langage contrairement à ceux qui passent moins de temps sur l'écran.
 
DES RÉSULTATS ENCORE PRÉMATURÉS
Autre constat, le cerveau des enfants qui restent plus de 7 heures devant un écran présente un amincissement prématuré du cortex cérébral, siège des fonctions neurologiques comme la mémoire, le langage, la conscience.
 
Pour l'heure, ces observations apparaissent prématurées pour aboutir à une quelconque conclusion, note Gaya Dowling, directrice de l'étude des NIH. "Nous ne savons pas si cela est causé par le temps passé à l'écran. Nous ne savons pas si c'est une mauvaise chose". Celle-ci insiste sur l'importance d'attendre les résultats des analyses réalisées dans la durée.
 
Une publication de données est attendue pour début 2019 selon l'agence Bloomberg.
 
L'usage des écrans chez les enfants fait l'objet de recherche depuis des années. A la faveur de ces travaux, les scientifiques et spécialistes de l'enfant se divisent autour du temps à ne pas dépasser pour la santé mentale et physique de l'enfant. Une récente étude de l'Université d'Etat de San Diego suggère que plus d'une heure d'écran par jour favoriserait l'anxiété ou la dépression chez l'enfant.
 
Source Top Sante
Le romarin: un remède naturel contre l`hypotension
Troubles de la vision, vertige, maux de tête, malaises, fatigue, insomnie… L’hypotension peut provoquer des pertes de connaissance et des symptômes désagréables au quotidien.

Ce n’est pas dangereux comme l’hypertension, mais certaines disposition peuvent vous aider à la faire remonter.

Voici un remède simple, une infusion au romarin.
Bien plus qu'une herbe aromatique, le romarin est connu pour ses multiples vertus. Il permet de stimuler le système nerveux et d’améliorer la circulation du sang.

Faites bouillie un verre d’eau et ajoutez une cuillère à café de romarin. Laissez reposer quelques minute et buvez.

NB: Aussi, reposez-vous, buvez beaucoup d’eau et mangez salé...
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Apprenez à gérer les émotions de vos enfants
C’est le 31 Décembre. Vous êtes sortis voir le feu d’artifice. Dans la rue, des vendeurs proposent des bâtons phosphorescents. Votre petit n’a d’yeux que pour eux. Il vous tire par la manche : « Maman, j’en veux un ! » Devant votre refus, il se jette par terre et pousse des cris stridents. -> On décode S’il n’est pas encore couché à minuit, il est forcément fatigué. Il n’arrive plus à se contrôler, il hurle. Il va falloir vous montrer plus conciliants que d’habitude. Ce bâton lumineux, votre enfant se voyait déjà avec. En le lui refusant, vous lui enlevez un morceau de son identité. Par cette colère, il cherche à rétablir son intégrité et à gérer sa frustration. Acceptez d’écouter sa fureur. Que vous refusiez d’accéder à sa demande, c’est une chose. Mais il a besoin de savoir qu’il a le droit de désirer. -> On réagit Evitez de dire non à votre enfant de manière trop abrupte. C’est très humiliant, quand on cherche à devenir une personne à part entière, de sentir que l’autre a le pouvoir. Dites plutôt : « Je comprends qu’ils te plaisent, ils sont vraiment super, ces bâtons ! » et prenez-le par la main pour aller les observer de plus près. Ainsi, entraînez-le à gérer sa frustration en éprouvant du plaisir à regarder plutôt qu’à posséder. Sachez aussi qu’il ne vous est pas interdit de changer d’avis. Vous avez répondu non machinalement mais vous vous apercevez que votre enfant est très malheureux ? Cherchez à comprendre ce qu’il ressent : « Tu en as vraiment envie ? » Certes, il y a peu de chances qu’il vous réponde non. Mais vous pouvez prendre la mesure de son désir en lui proposant une alternative : « Tu ne préfères pas que nous allions faire un tour de poney demain, par exemple ? » Si votre petit tient absolument à ce bâton et qu’il est encore temps de l’acheter, vous avez le droit de faire amende honorable : « Je ne m’étais pas rendu compte que c’était si important pour toi. » Vous n’avez pas à dire oui à toutes ses demandes, bien sûr. Mais, à l’inverse, refuser tout achat sous prétexte que votre enfant n’en a pas besoin serait injuste. Il risquerait d’en déduire que le plaisir lui est interdit, avec toutes les conséquences que cela peut avoir sur sa joie de vivre présente et future. -> On évite de… … l’humilier (« tu es vraiment insupportable ») ou le punir (« si tu continues, tu n’iras pas chez ton petit copain demain »). Il doit au contraire savoir que l’expression verbale de ses émotions les plus violentes ne détruit pas l’amour que vous avez pour lui. Il est triste Votre enfant a lâché son joli ballon rouge gonflé à l’hélium, qui s’est échappé dans les nuages. Il est inconsolable, il garde les yeux obstinément fixés sur le ciel et surveille le petit point qui s’éloigne en hoquetant de chagrin. -> On décode Il est bien naturel d’être triste quand on perd quelque chose qu’on aime. Accompagnez-le dans sa tristesse : « Je te comprends, c’est dur de voir partir son ballon. » Si c’est la première fois que cette mésaventure lui arrive, vous pouvez, si vous en avez envie, lui acheter un autre ballon. Tout en faisant en sorte qu’il tire la leçon de ce qui vient d’arriver : « Qu’est-ce qu’on va faire pour que celui-là ne s’échappe pas ? On pourrait peut-être l’attacher à ton poignet ? » Mais il n’est pas certain que votre enfant en veuille un autre. C’est peut-être celui qui s’est envolé qu’il veut ! On n’évite pas forcément la peine en remplaçant l’objet perdu, alors essayé de consoler votre petit. -> On réagit Il a du chagrin ? Ouvrez-lui vos bras pour qu’il puisse venir s’y réfugier et laissez-le donner libre cours à ses larmes. Elles l’aident à ne pas garder la tristesse en lui. Regardez ensemble le ballon qui s’éloigne dans le ciel : « Où s’en va-t-il ? Que voit-il, de là-haut ? Va-t-il traverser ce gros nuage ? » Vous pouvez aussi lui faire remarquer que, même parti, son ballon continue d’exister dans son cœur. -> On évite de… … lui dire « ne pleure pas ». Voir son enfant en larmes, c’est difficile. S’il pleure, c’est parce qu’il a mal. On voudrait faire disparaître cette douleur. Mais ce n’est pas parce qu’il ne pleure plus qu’il ne souffre plus. Au contraire, ça lui fait du bien de pleurer. Il boude Il avait demandé du ketchup sur ses pâtes, vous vous êtes trompé et avez mis du gruyère. Les yeux obstinément fixés au-dessus de la table, votre enfant ne desserre pas les dents et refuse de toucher à son assiette. Mais il va bouder longtemps comme ça ? -> On décode La bouderie est un langage. Elle signifie qu’il y a souffrance. Parce qu’il ne se sent pas entendu, votre enfant préfère s’enfermer ostensiblement en lui-même. Comprenez-le. Il voulait du ketchup, vous avez mis du… gruyère et vous semblez considérer qu’il n’a qu’à manger ce qu’il y a dans son assiette. Les adultes ont souvent tendance à penser qu’ils ont le pouvoir. Et que les enfants, puisqu’ils sont dépendants d’eux, n’ont qu’à obéir. Mais quand votre petit demande du ketchup, il ne cherche pas à prendre le pouvoir. Il cherche simplement à exister, c’est une façon de dire qu’il a le droit d’avoir des goûts et des désirs. -> On réagit Permettez-lui de sortir dignement de cette bouderie en lui demandant ce qui se passe : « Qu’est-ce qui ne va pas ? Il y a quelque chose que je n’ai pas vu et que tu cherches à me dire ? » Vous lui enseignez un geste positif : en parlant (« Je n’aime pas le gruyère, est-ce que je peux avoir une autre assiette avec du ketchup ? »), on obtient davantage qu’en boudant. Encore faut-il bien sûr que vous sachiez vous excuser (« Pardon, je n’ai pas fait attention… ») et que vous remplaciez son assiette. Vous le feriez bien avec un ami venu dîner chez vous, pourquoi pas avec votre enfant ? -> On évite de… … se détourner de lui (« Je n’aime pas les enfants qui boudent. »). Lui, tout ce qu’il va entendre, c’est : maman ne m’aime pas. Ou de le contraindre à avaler ce que vous lui avez servi en refusant d’entendre qu’il n’aime pas ça. Un enfant qui avale tout ce qu’on lui donne sans discuter risque, plus tard, de ne plus savoir choisir du tout. Quand vous lui proposerez : « On va à la pizzeria ou au restau chinois pour ton anniversaire ? », il vous répondra : « Je ne sais pas, c’est comme tu veux. » Il a peur Rien à faire : il ne veut pas aller sur le manège. Vous jetez des regards envieux sur les autres enfants qui tournent avec des sourires radieux… Pendant ce temps-là, le vôtre s’accroche à vous comme une moule à son rocher. -> On décode Beaucoup d’enfants ont peur du manège pendant une courte période de leur vie, en général vers 3 ans. C’est le moment où le système nerveux se met en place. D’un seul coup, ils prennent conscience de la vitesse. Le manège a soudain pour eux des allures de grand huit ! Dites-vous bien que la peur est une émotion extrêmement saine. Elle nous informe de la présence d’un danger, mobilise notre corps pour y faire face, nous apprend à nous préparer devant l’inconnu. Etre courageux, c’est connaître la peur, la vivre, la reconnaître et en tirer des enseignements. Votre petit doit apprendre à l’accepter, à la surmonter et à l’utiliser. -> On réagit Ne le forcez pas. Essayez plutôt de comprendre ce qui l’effraie dans le manège. Est-ce parce que ça va trop vite ? Parce que ça tourne et qu’il a l’impression de perdre l’équilibre ? Parce que vous disparaissez de sa vue à chaque tour ? Si le fait de ne plus vous voir le panique, proposez-lui de monter sur le manège avec lui. Il n’a toujours pas envie ? Vous réessaierez dans quelques semaines. Tôt ou tard, la peur fera place au désir. Laissez-lui le temps. -> On évite de… … le traiter de « poule mouillée », de le pousser à surmonter sa peur. Au contraire. En le brusquant, vous l’obligez à refouler son angoisse dans les profondeurs de son inconscient. Un jour ou l’autre, elle ressortira. Sous forme de phobie, par exemple. Et comment voudriez-vous que votre enfant comprenne votre insistance à le mettre dans une situation de mal-être ? Il risquerait de perdre la confiance qu’il a placée en vous. Il est jaloux Pour Noël, il avait demandé le bateau des Pirates des Caraïbes, et ouf ! Vous avez réussi à le trouver. Mais à peine votre enfant a-t-il déballé son cadeau qu’il aperçoit la console de jeux de son cousin et se met à grimacer. Le bateau ne l’intéresse plus, c’est la console qu’il aurait voulue ! -> On décode Si ce cadeau était une surprise, on aurait pu comprendre que votre enfant soit déçu. Mais là, il s’agit du jouet qu’il a désiré et attendu. L’enjeu est probablement ailleurs. Il faut chercher du côté du relationnel. Qu’est-ce que son cousin a de plus que lui ? Est-il plus grand, plus fort ? Du coup, tout ce que ce cousin touche est sublime. Alors que ce qu’il possède, lui, est nul. La jalousie est une émotion inscrite biologiquement en nous : si quelqu’un possède ce que l’on n’a pas, ce « quelque chose » devient immédiatement désirable. En grandissant, nous apprenons à gérer ce sentiment. Mais on ne peut pas en demander autant à un enfant ! Pour l’heure, votre petit a le cœur brisé. -> On réagit Montrez-lui que vous avez compris ce qu’il ressent : « Elle te plaît beaucoup, cette console de jeux, hein ? Quand tu seras plus grand, tu pourras en demander une, toi aussi, si tu en as toujours envie. » Et, en attendant, demandez au cousin s’il veut bien qu’on joue tous ensemble avec la console. Cela permettra à votre petit de se « l’approprier » un peu. Si c’est possible, faites également en sorte que le cousin s’intéresse au bateau de pirates. S’il l’investit, c’est gagné : le jouet s’en trouvera immédiatement valorisé. -> On évite de… … fustiger sa jalousie (« ce n’est pas beau ») et de le culpabiliser. Il ne doit pas avoir honte de ce qu’il ressent. Sinon, il va bloquer ses émotions. Et ce n’est pas parce qu’il les refoulera qu’elles disparaîtront. Elles vont s’enraciner en lui et « faire des nœuds ». Il hurle de joie Il vient de marquer un but en expédiant sa balle dans la corbeille à papier et court à travers le salon en manifestant bruyamment sa joie ! Le seul problème, c’est que ses cris ont réveillé sa petite sœur, qui venait juste de s’endormir dans la pièce à côté. Est-ce qu’il ne pourrait pas être un peu moins… explosif ? -> On décode Il est heureux et fier de lui : c’est bien normal qu’il fasse du bruit ! Il n’a pas encore perdu sa capacité à hurler de joie – comme nous, adultes, qui vivons dans la répression émotionnelle. La joie est une émotion précieuse. Chaque fois que votre enfant éprouve plaisir et fierté, son cerveau en garde une trace. La fois suivante, il va lancer son ballon avec davantage de confiance en lui et donc davantage de chances de succès. -> On réagit Tout dépend de ses cris. S’il hurle et saute en l’air pendant un quart d’heure, il va falloir lui apprendre à se maîtriser davantage et à se montrer plus attentif aux autres. Mais s’il manifeste sa joie si bruyamment, c’est sans doute aussi parce qu’il cherche à attirer votre attention. Peut-être se sent-il un peu délaissé depuis l’arrivée de sa petite sœur ? Incitez-le à venir vous faire un câlin et à vous parler. S’il s’agit d’un simple cri de victoire, accompagnez sa joie. Montrez que vous avez vu son exploit et félicitez-le : « En plein dans le mille, bravo ! » Ainsi, vous l’aidez à se sentir fier de lui. Or c’est ce qui fait la différence entre les futurs champions et les autres : les champions sont ceux qui éprouvent de la fierté pour leurs réussites. En fait, on ne s’endort jamais sur ses lauriers, contrairement à ce que dit l’expression populaire. Au contraire, le succès galvanise et donne envie de toujours faire mieux. -> On évite de… … le féliciter à outrance (« tu es le meilleur », « tu es génial »). Votre enfant n’est pas fou : il sait qu’il n’a rien fait de vraiment exceptionnel. Il va penser «maman me dit ça parce qu’elle m’aime et parce qu’en vrai je suis plutôt nul ». femastuces.com
Comment utiliser le yaourt contre les démangeaisons et les brûlures vaginales?
L’appareil génital féminin est une zone très sensible et souvent sujet, à des problèmes comme les infections. Les démangeaisons et les brulures sont souvent causées par une infection vaginale, l’usage des produits chimiques intimes, par des problèmes hormonaux, par une maladie sexuellement transmissible…

L’acide lactique et les bactéries présentes dans le yaourt peuvent apaiser les démangeaisons et les brûlures vaginales. Le yaourt naturel élimine les bactéries qui causent les infections qui peuvent se trouver dans la zone vaginale.

Mode d’emploi
- Appliquez directement 2 cuillères à soupe de yaourt nature sur la zone vaginale. Laissez agir une dizaine de minutes et rincez à l’eau tiède.
- Utilisez ce remède une fois par jour pendant une semaine.
Il faut l’inclure dans votre alimentation.

NB: Le yaourt permet aussi de diminuer l’odeur vaginale.
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