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Santé
L'orgasme est-il forcément clitoridien ? Alors l’orgasme vaginal, ça existe ou pas ?
 
  • "J'ai entendu dire que l'orgasme vaginal était un mythe et que le plaisir ne pouvait être provoqué que par le clitoris. Pouvez-vous m'en dire plus ?" demande Véronique, 49 ans, au Dr Catherine Solano, médecin sexologue et andrologue (hôpital Cochin, Paris)
  • Votre question est toujours d'actualité ! Nul ne sait complètement y répondre. En réalité, tout est plus complexe que ce que l'on en dit et il existe plusieurs théories sur l'orgasme féminin.
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  • Quels sont les différents types de zones érogènes chez les femmes?
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  • Ce qui est certain, c'est que le clitoris est au centre du plaisir. Son gland, qui est extérieur, correspond au gland du pénis. C'est donc, chez la femme, la zone du corps la plus érogène et la plus sensible aux stimulations érotiques. Malheureusement, bien des hommes semblent l'ignorer, parfois totalement, parfois à moitié !
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  • LE CLITORIS, LE CENTRE DU PLAISIR CHEZ LA FEMME
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  • Disons que l'on peut identifier trois catégories d'hommes :
  • Ceux qui imaginent que les stimulations les plus efficaces pour eux le sont également pour leur partenaire.
  • Ils ont donc tendance à se focaliser sur la pénétration. Ils font des mouvements de va-et-vient rapides et puissants car c'est ce qui est le plus stimulant pour eux. Or, pour une femme, c'est rarement ce qui procure le plus de plaisir. D'où la surprise de certaines jeunes femmes lors des premières relations sexuelles, qui peuvent se demander : « C'est seulement ça dont on parle tant ? ».
  • Deuxième catégorie d'hommes, ceux qui savent que le clitoris est important pour une femme. C'est un progrès immense, pourtant il est souvent insuffisant.
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  • En effet, ces hommes pensent parfois que le clitoris compte...mais qu'il est surtout un starter destiné à stimuler la femme pour faire monter son excitation avant la pénétration. Ils ne le considèrent donc pas réellement comme un centre de plaisir, mais plutôt comme un accessoire aidant au plaisir.
  • Enfin, la troisième catégorie, plus rare, a compris que le clitoris était aussi important pour une femme que le pénis pour un homme. Ces hommes-là s'occupent du clitoris, et pas seulement au cours des préliminaires.
  • Même si une femme a des orgasmes clitoridiens, son vagin y participe toujours.
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  • ALORS, L'ORGASME VAGINAL, ÇA EXISTE... OU PAS ?
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  • Concernant le plaisir vaginal, on sait qu'un tiers des femmes peuvent avoir des orgasmes provoqués par les mouvements de va-et-vient du pénis. Ce n'est donc certainement pas un mythe ! Ceci étant, les sexologues pensent de plus en plus que les jouissances dites vaginales sont peut-être obtenues par la stimulation interne des racines profondes du clitoris, c'est-à-dire les bulbes clitoridiens entourant le vagin.
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  • D'autre part, certaines femmes ont des orgasmes plutôt clitoridiens facilités par les stimulations à l'intérieur du vagin. À l'heure actuelle, plusieurs théories estiment qu'il n'existe qu'un seul orgasme, même s'il peut avoir différents points de départ : le gland du clitoris, ses racines superficielles ou ses racines profondes, parfois même les seins ou toute autre zone très érogène pour une personne donnée.
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  • Quoi qu'il en soit, même si une femme a des orgasmes clitoridiens, son vagin y participe systématiquement. En effet, le propre de la jouissance, au-delà du plaisir bien sûr, ce sont les contractions rythmiques et involontaires de l'ensemble de la zone sexuelle. Au cours d'un orgasme, quelle que soit son origine, le vagin se resserre donc plusieurs fois. On peut alors affirmer que ce dernier est toujours un effecteur du plaisir suprême, même lorsque le clitoris en est le déclencheur...
  • Source Topsanté

INFLUENCE - La science avait déjà démontré une baisse du nombre de spermatozoïdes due à la consommation de cannabis. Mais selon une étude publiée dans la revue Epigenetics, elle pourrait aussi "reprogrammer" le sperme en modifiant la manière dont s'expriment les gènes du fluide.


Fumer du cannabis pourrait "reprogrammer" le sperme et créer des spermatozoïdes mutants
Des spermatozoïdes mutants. C’est ce qu’engendrerait la consommation de cannabis selon une étude publiée le 18 décembre dans la revue Epigenetics. En étudiant les effets de cette drogue sur des rats puis sur vingt-quatre hommes de 18 à 40 ans, une équipe de scientifiques de Duke University, en Caroline du Nord (Etats-Unis), a constaté une altération du sperme avec une "reprogrammation" des gènes de son ADN.

Pour leurs travaux, les chercheurs ont comparé le sperme de deux groupes de rats : l'un s'étant fait administrer du tetrahydrocannabinol (THC), la molécule active du cannabis, et l'autre non. Ils ont ensuite comparé le sperme d'un groupe d'hommes qui fumaient de la marijuana de façon hebdomadaire à un autre qui n'en avait pas fumé plus de dix fois au cours de leurs vies et pas du tout, les six derniers mois. Chez les rats comme chez les humains, il s'est avéré que la marijuana avait changé la façon de fonctionner des gènes dans les cellules du sperme.

Des résultats à approfondir

Cette modification est en fait de nature épigénétique. Autrement dit, ce ne sont pas les gènes eux-mêmes qui ont changé, mais leur façon de s'exprimer. Ils sont "reprogrammés". Et l'un des changements d'expression concerne, indique l'étude, la lutte contre les tumeurs cancéreuses. Cela ne signifie pas pour autant qu’un enfant né de ce sperme sera plus vulnérable au cancer, précise The Verge qui relaye l'étude.

Susan Kay Murphy, professeure de gynécologie à Duke University et co-auteur de l’étude, insiste sur le fait que ces travaux, qui visaient seulement à voir si le cannabis avait de quelconques effets sur le sperme, ont été menés sur un faible échantillon de volontaires pour lesquels la concentration inhalée de THC, molécule active du cannabis, n’a pas été mesurée. Ils devront désormais être approfondis.

Les scientifiques ont seulement noté une augmentation des effets corrélée avec un taux plus fort de THC relevé dans les urines des participants. "Je veux être très prudente sur le fait que les résultats obtenus ne soient pas interprétés autrement que la façon dont ils doivent l’être", souligne la chercheuse auprès de The Verge. "Cela n’a pas pour but d’effrayer les gens. Notre objectif global est d’apprendre davantage sur la biologie et les effets que la consommation de cannabis pourrait avoir."





LCI
La taille des doigts détermine l'orientation sexuelle chez les femmes
Les femmes dont l'index gauche et l'annulaire sont de longueurs différentes sont plus susceptibles d'être lesbiennes, selon une étude. Les scientifiques ont mesuré les doigts de 18 paires de jumeaux identiques de sexe féminin, dont l'une était hétérosexuelle et l'autre gay. En moyenne, les lesbiennes, mais pas les jumelles du même œuf, avaient des index et des annulaire de tailles différentes, typiquement un trait masculin, mais seulement sur la main gauche. Cela pourrait être le résultat d'une exposition à plus de testostérone dans l'utérus, selon les chercheurs de l'Université d'Essex.
Les scientifiques ont également mesuré les doigts de 14 paires de jumeaux identiques de sexe masculin, dont l'un était hétérosexuel et l'autre gay, mais n'ont trouvé aucun lien. Les hommes et les femmes ont été exposés à l'hormone "mâle", la testostérone, dans l'utérus - mais certains peuvent être exposés plus que d'autres, selon les scientifiques.
L'auteur de l'étude, Dr Tuesday Watts, du département de psychologie de l'Université d'Essex, a déclaré que "les jumeaux identiques, qui partagent 100 % de leurs gènes, peuvent avoir des orientations sexuelles différentes, des facteurs autres que la génétique doivent expliquer ces différences".
"Les recherches suggèrent que notre sexualité est déterminée dans l'utérus et dépend de la quantité d'hormone mâle à laquelle nous sommes exposés ou de la façon dont notre corps réagit à cette hormone".
"Les personnes exposées à des niveaux élevés de testostérone étant plus susceptibles d'être bisexuelles ou homosexuelles".
"En raison du lien entre les niveaux d'hormones et la différence de longueur des doigts, regarder les mains d'une personne pourrait fournir un indice sur sa sexualité."
Les résultats sont publiés dans Archives of SexualBehaviour.
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Des chercheurs mettent au point un pansement à électrodes qui génère des stimulations électriques sur les blessures, leur permettant de guérir plus vite. La première phase de l’expérience est un succès, avec la cicatrisation d’une plaie qui peut prendre trois jours au lieu de 14 dans certains cas.


Des pansements qui génèrent de l’électricité pour guérir plus vite

Nous savions déjà que les stimulations électriques favorisaient la guérison des blessures et une cicatrisation plus rapide, des chercheurs ont mis ce savoir en pratique en mettant au point des pansements générant d’eux-mêmes de l’électricité. Appliqués sur une plaie, ils permettent ainsi une régénération plus rapide des tissus. Pas de quoi devenir des Wolverine en puissance, mais de raccourcir très efficacement la période de rétablissement (de 14 jours à 3 jours pour un certain cas).

Bientôt des pansements électriques dans les hôpitaux ?

L’équipe de scientifiques, composée d’Américains et de Chinois, a mené avec succès des tests sur des souris rapporte l’étude, publiée par ACS Nano. La prochaine étape est désormais de réaliser des expériences sur les porcs. Si elles s’avèrent concluantes, on pourra alors passer aux expérimentations sur l’humain. Les composants nécessaires à ces pansements d’un genre nouveau laissent la possibilité d’une production et d’une commercialisation de masse à terme. On pourrait donc bien en trouver dans les hôpitaux et les pharmacies d’ici quelques années.

Les petites électrodes présentes sur le pansement créent une faible intensité électrique qui stimulent les cellules de la peau. Celles-ci s’activent alors et sont deviennent bien plus rapides qu’en temps normal. Pour l’instant, la nécessité d’un nano-générateur qui déclenchent l’action des électrodes rend le système encore peu pratique pour les particuliers, mais une solution pour alléger le procédé est aussi en cours d’étude.






Phonandroid

 

 

 
Les produits cosmétiques sont responsables de la puberté précoce chez les jeunes filles
Une récente étude réalisée par l'université de Berkeley en Californie prouve qu'il existe un lien entre les composants chimiques de nos cosmétiques et la puberté précoce des jeunes filles.

C'est prouvé, les produits chimiques présents dans nos cosmétiques ont une mauvaise influence sur notre corps. Selon une récente étude américaine menée par l'université de Berkeley en Californie et publiée dans Human Reproduction, les composants chimiques tels que les phtalates, les parabens ou les phénols auraient un impact négatif sur le développement hormonal des jeunes filles et seraient donc responsables de leur puberté précoce.

Pour en arriver à de telles conclusions, les chercheurs ont effectué des tests d’urine sur plusieurs femmes enceintes afin d'étudier le taux de phtalate, de parabène et de phénol, trois substances chimiques que l’on retrouve dans un grand nombre de cosmétiques et dans de nombreux produits d’entretien. Si les phtalates sont utilisés pour créer nos parfums et nos déodorants, le parabène et le phénol se retrouvent dans la quasi-totalité de nos produits de soin et de maquillage. Un constat alarmant qui justifie notamment ce regain d'attention des femmes pour les cosmétiques d'origine naturelle.

Des règles et des poils pubiens qui apparaissent plus tôt

Ces composants chimiques peuvent tous être à l’origine d'une puberté précoce et ce dès le plus jeune âge, puisque les plus graves conséquences se formeraient dès les premiers mois de grossesse de la mère. D'après les chercheurs, à chaque fois que la dose de phtalate était doublée, le développement des poils pubiens chez une jeune fille arrivait un mois et trois semaines plus tôt que l'âge moyen. Quand la base de triclosan (type de phénol) était doublée, en comparaison à un indicateur de base, les menstruations arrivaient un mois plus tôt que la moyenne.

Résultat : les recherches ont permis de découvrir que les jeunes filles exposées à ces trois produits chimiques étaient plus susceptibles d'avoir une puberté précoce. Ce sont notamment les filles dont les mères avaient le plus fort taux de phtalate, de diéthyle et de parabens, qui présentaient le plus gros risque d'une puberté avancée. Mesdames, un grand tri dans vos salles de bain s'impose !







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Les végétariens seraient plus sujets à la dépression
Une étude, menée sur plus de 15 000 volontaires par des chercheurs espagnols de l'université de Las Palmas pendant 10 ans, démontre qu’une alimentation riche en fruit et légumes et noix parviendrait à protéger contre la dépression. Par contre, l’étude révèle également que les végétariens seraient plus sujets à faire des dépressions.

Un lien entre alimentation et dépression
Les consommateurs s’en doutaient, les scientifiques l’ont confirmé. Verdict, les participants qui durant cette expérience ont suivi un régime méditerranéen (beaucoup de légumes, de fruits, d’huile d’olive, de poisson et peu de viande) ont consommé moins d’antidépresseur que les autres.

Selon celle-ci, les amateurs de poissons et de crustacés voient le risque de faire une dépression baissée de 17 % par rapport à ceux qui n’en mangent jamais.

Un constat qui semble être confirmé par une autre étude américaine cette fois. Selon celle-ci, les amateurs de poissons et de crustacés voient le risque de faire une dépression baissée de 17 % par rapport à ceux qui n’en mangent jamais.

Reste deux inconnus, quelle est la quantité optimale à consommer et quel est le type de poissons à privilégier, les scientifiques n’ont pas fini de scruter nos assiettes.







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Péridurale, épisiotomie, forceps, césarienne... ce que les femmes détestent !
Péridurale ou accouchement dans la douleur ? Césarienne ou voie basse ? Episiotomie ? Forceps ? Forum Santé fait le point sur toutes ces questions qui empêchent les futures mamans de dormir et de faire de l'accouchement le plus beau jour de leur vie.

Accouchement par voie basse ou naturelle
C’est la méthode traditionnelle. L’accouchement par voie basse ou par voie naturelle, c'est l'expulsion du bébé à travers les voies génitales, à la fois par les contractions utérines et de puissantes contractions abdominales (le fait de "pousser"). C'est ce que souhaite la plupart des mamans mais ce n'est pas toujours possible.

Pour préserver la maman d'un accouchement difficile et douloureux pour elle et son bébé, il arrive qu'on procède par des méthodes moins naturelles. Ce n'est pas pour autant qu'il faut angoisser. Ces autres types d'accouchement ont souvent pleins de côté positifs et parfois, quand on y réfléchit, on en viendrait presque à redouter un accouchement naturel.

Accouchement par césarienne
L’accouchement par césarienne est généralement pratiqué en urgence. Elle peut être également programmée en fonction de vos convenances, de la taille de votre bébé et de vos antécédents en matière de grossesse.

Si elle est planifiée, votre accouchement par césarienne se déroule beaucoup plus rapidement qu'un accouchement naturel. Vous pouvez vous organiser pour en faire profiter toute votre famille également. En moins d'une heure, vous retrouvez votre enfant sans avoir vécu la douleur, les contractions qui n'en finissent pas et l'épisiotomie. Autres avantages : l’incontinence urinaire et fécale est fortement réduite, les fonctions sexuelles sont moins affectées au cours des trois premiers mois et au bout de deux mois, tous les signes de l’opération disparaissent.

Accouchement au forceps, ventouse, spatule
L’accouchement au forceps est fait grâce à des instruments dits d'extraction utilisés lors d'un accouchement, pour dégager plus facilement la tête de l'enfant et accélérer l'expulsion. La ventouse facilite l’expulsion en améliorant la flexion et la rotation de la tête du bébé et les spatules permettent de guider le bébé vers la sortie.

Rassurez-vous, la bosse créée au moment de l’aspiration se résorbe très vite d'elle-même et votre enfant n’a pas mal du tout. Quant à vous, n'ayez aucune crainte, vous ne souffrirez pas de l’utilisation de ces outils tout simplement parce que leur usage se fait sous péridurale. Ce type d'accouchement est fait de façon exceptionnelle.

Accouchement avec ou sans péridurale ?
L’idée qu’une femme n’a pas d’autre alternative que d’enfanter dans la douleur a non seulement fait son temps, mais est aussi fausse. L’accouchement sous péridurale, donne le droit aux femmes de moins souffrir. La péridurale a le même effet qu’une anesthésie locale. Grâce à une injection qui se fait via l’espace péridural, les douleurs de l’enfantement sont atténuées.

L’allègement des douleurs permet de diminuer la fatigue maternelle. Vu que l’injection n’agit que sur une partie précise du corps, la future maman reste consciente ressent toutes les contractions sans avoir mal. La péridurale peut se pratiquer aussi bien pour un accouchement par voie basse que pour une césarienne.

Accouchement par épisiotomie
Parfois, pour permettre le passage du bébé, la sage-femme est obligée de pratiquer une incision du périnée. On parle alors d’accouchement par épisiotomie. Très fréquent lors d’un premier accouchement, cela ne signifie en rien que vous en aurez une pour un deuxième ou un troisième enfant.

Accouchement sous hypnose
Si vous voulez contrôler les douleurs lors de l'accouchement sans prendre la péridurale, il vous reste un choix : celui de l'accouchement sous hypnose. De plus en plus d'hôpitaux proposent aux futures mamans, d'accoucher sous hypnose.

L'objectif : loin des clichés que l'on se fait de l'hypnose, aider la maman à atteindre la transe hypnotique afin de supporter sereinement les douleurs liées aux contractions. Tout en restant consciente, les mamans distinguent leur esprit de leur corps et accouchent plus paisiblement.








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Reins, comment les préserver et pourquoi sont-ils indispensables ?
En cette journée mondiale des reins 2015, nous revenons pour vous sur les fonctionnalités de cet organe et sur le traitement des maladies des reins.

Comment fonctionne le rein ?
Le rein est un immense filtre qui purifie la totalité du sang. À chaque fois que le cœur éjecte le sang, il passe par les reins, et le rein est débarrassé de ses déchets, via l'urine, pour ne garder que les substances importantes.

Le rein a d'autres fonctions, notamment, maintenir un équilibre intérieur (équilibre acide-base). Le rein est donc en permanence en train de réguler l'acidité du sang.

C'est aussi une glande qui secrète un certain nombre de substances dont la rénine. La rénine permet de réguler la tension artérielle et la maintient dans les limites de la normale, c'est-à-dire autour de 13/8.

Le rein secrète également des hormones appelées érythropoïétines qui servent à synthétiser les globules rouges qui captent l'oxygène. Plus on en a, plus on a d'oxygènes.

Les maladies des reins
Les maladies des reins sont innombrables. Toutes les pathologies qu'on a dans l'organisme peuvent se retrouver dans le rein. La plus grave est l'insuffisance rénale chronique.

Les reins peuvent également être touchés par des inflammations ou des infections. Les maladies cardiovasculaires déteignent également sur l'activité du rein. Quand on souffre de pathologie au niveau cardiovasculaire, une artère irrigue le rein et en diminue l'infiltration.

Traitement de la maladie des reins
En cas d'insuffisance rénale, on peut vivre avec un seul rein. Ce rein bien portant, va contre balancer la perte de fonctionnalité de l'autre, mais il est impossible de vivre sans rein, parce que très rapidement, on se retrouve avec des toxines dans le corps qui ne sont pas éliminées.

Quand on souffre d'insuffisance rénale aigue, le recours à la dialyse s'avère indispensable. La dialyse permet d'épurer le sang à intervalle de temps régulier. On ne peut cependant pas vivre très longtemps sous dialyse, il y a un moment où on est obligé de passer à la greffe du rein.





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Une étude américaine de grande ampleur met en lumière les effets des écrans sur le cerveau des enfants. Les conclusions sont inquiétantes : les écrans modifient le cerveau des enfants.


Comment les écrans modifient le cerveau des enfants
Ce lundi 10 décembre, la chaîne CBS rend publics les premiers résultats d’une étude sur les effets des écrans sur le cerveau des enfants. Contrairement à d’autres études, ce projet a été mené sur le long terme. A terme, 11 000 enfants vont être suivis pendant dix ans. Le coût de l’étude financée par le gouvernement fédéral américain s’élève à 300 millions de dollars.

L’objectif de l’étude est de répondre à une problématique importante sur le plan sanitaire : quel effet le temps passé devant les écrans a sur le développement du cerveau des enfants ? L’étude vise également à déterminer quel est l’impact émotionnel et à terme, quelles sont les conséquences sur la santé mentale de l’utilisation d’écrans par les enfants. Les premiers résultats sont effarants.

Les écrans réduisent prématurément la taille du cortex cérébral.
Chez l’être humain, le cortex cérébral commence à s’amincir en vieillissant. Chez les enfants, ce phénomène n’existe donc pas. Il intervient plus tard. Selon une étude américaine, le déclin cognitif n’intervient qu’à partir de 30 ans.

Pourtant, l’étude publiée par CBS démontre que le cortex d’enfants de 9 et 10 ans commence à s’amincir lorsqu’ils sont au contact d’écrans. Les scientifiques ont fait passer des IRM à 4500 enfants. Ils ont observé un effet d’amincissement prématuré du cortex sur les sujets exposés plusieurs heures par jour à des écrans.

Pour le moment, les scientifiques ne peuvent pas déterminer si le problème est grave. Ils doivent observer l’évolution de ces sujets sur les dix années à venir, en passant par l’adolescence et l’âge adulte.

Ils sont néanmoins déjà en mesure d’afffirmer que les enfants passant du temps devant les écrans (en moyenne plus de deux heures par jour), ont de moins bons résultats aux tests de langage et de logique.

Réseaux sociaux et automutilation
Afin de déterminer les effets des réseaux sociaux sur la santé mentale des enfants, les scientifiques leur font passer des IRM pendant qu’ils font défiler leur compte Instagram. Les chiffres des services d’urgence montrent que les cas d’automutilation sont trois fois plus nombreux chez les filles âgées de 10 à 14 ans lorsqu’elles ont grandi avec les réseaux sociaux.

Pour le moment, impossible d’affirmer un lien de cause à effet. L’étude publiée par CBS n’en est qu’à ses débuts. D’autres résultats seront publiés au fil du temps. Le bilan ne sera publique que dans une dizaine d’années.







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Danger smartphones : L'excès d'écrans modifierait le cerveau des enfants
Les enfants qui passent plus de deux heures par jour derrière un écran affecteraient leurs capacités de mémorisation et de langage, selon les résultats préliminaires d'une vaste étude américaine.
 
Passer des heures à regarder un écran de smartphone, de tablette nuit-il au développement neurologique de l'enfant ? C'est ce que s'attachent à découvrir les Instituts nationaux américains de la santé (NIH).
 
Dans une vaste étude, des scientifiques américains ont commencé à scanner le cerveau d'enfants de neuf et dix ans dans 21 centres de recherche à travers les Etats-Unis. Objectif : comprendre l'impact de leur rapport à l'écran sur leur cerveau, leur développement affectif et leur santé mentale.
 
Plus de 11 000 enfants au total vont être suivis pendant une décennie.
 
Les premiers résultats viennent de filtrer. Ils sont issus d'examens menés par IRM et des entretiens auprès d'un panel de 4 500 enfants enfants . Verdict : il semble que les enfants qui passent le plus de temps sur un smartphone, tablette ou écran d'ordinateur affichent des différences cérébrales par rapport aux petits consommateurs d'appareils électroniques.
 
Précisément, les enfants qui passent deux heures par jour ou plus sur des écrans obtiennent des résultats plus faibles aux tests cognitifs, de mémoire et de langage contrairement à ceux qui passent moins de temps sur l'écran.
 
DES RÉSULTATS ENCORE PRÉMATURÉS
Autre constat, le cerveau des enfants qui restent plus de 7 heures devant un écran présente un amincissement prématuré du cortex cérébral, siège des fonctions neurologiques comme la mémoire, le langage, la conscience.
 
Pour l'heure, ces observations apparaissent prématurées pour aboutir à une quelconque conclusion, note Gaya Dowling, directrice de l'étude des NIH. "Nous ne savons pas si cela est causé par le temps passé à l'écran. Nous ne savons pas si c'est une mauvaise chose". Celle-ci insiste sur l'importance d'attendre les résultats des analyses réalisées dans la durée.
 
Une publication de données est attendue pour début 2019 selon l'agence Bloomberg.
 
L'usage des écrans chez les enfants fait l'objet de recherche depuis des années. A la faveur de ces travaux, les scientifiques et spécialistes de l'enfant se divisent autour du temps à ne pas dépasser pour la santé mentale et physique de l'enfant. Une récente étude de l'Université d'Etat de San Diego suggère que plus d'une heure d'écran par jour favoriserait l'anxiété ou la dépression chez l'enfant.
 
Source Top Sante
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