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Santé

Valérie Espinasse nous explique comment notre corps réagit quand il ne reçoit pas de sucre.


La dépression touche toutes sortes de personnes de divers endroits et milieux. Malheureusement, nous y sommes tous sujet une fois !


Santé: Les 5 signes qui prouvent que tu es en dépression
En effet, la dépression arrive sans que nous nous en rendions compte. Elle arrive parfois sans donner de signes précurseurs, sans prévenir. Et parfois il est possible d’y remédier. Toutefois la dépression est un véritable fléau qu’il faut prendre au sérieux !

La dépression, c’est comment ?
Effectivement , cela fait quelque temps que tu n’as plus le moral, que les gens autour de toi te rendent aigri. Tu ne vois que tes défauts et perd progressivement confiance en toi. Tu te sens carrément nul et n’arrête pas de broyer du noir.

Ainsi, comment peut-on savoir s’il s’agit d’un mauvais moment ou d’une véritable
dépression ? Hé bien des signes apparaissent la plupart du temps. Et ils permettent de différencier une petite déprime et une grosse déprime.

Mais , tout dépend du temps ! Donc si cela fait plus de 2 semaines, alors oui, il s’agit peut-être d’une dépression !

La dépression : les signes !
1. Tu as des troubles du comportement, tu es souvent de mauvaise humeur. Donc fréquemment, tu envoies balader tes proches sans raison valable. Car il ne faut pas déranger ton calme, et rentrer dans ta chambre relève d’un crime !

2. Très souvent, tu es victime de son sommeil inopportun qui se pointe tout le temps. Mais tu sembles avoir besoin de plus de sommeil qu’avant et tu ne parviens pas à récupérer.

3. Tu perds toute ta motivation pour les activités que tu avais l’habitude de faire. Ne parlons pas du sport ! Tu déclines les invitations pour sortir et tu passes tes soirées au lit.

4. Tu deviens susceptible, tu es à fleur de peau et chaque remarque te donne envie de pleurer. Que ce soit pour un oui ou pour un nom, les larmes montent.

5. Tu as plus ou moins d’appétit. La dépression peut se manifester par une prise ou une perte de poids parce qu’on se réconforte dans la nourriture ou au contraire, parce qu’on ne voit plus l’intérêt de manger.

Ainsi, il ne faut surtout pas hésiter à en parler autour de soi ou consulter un médecin ou encore un psychologue. Des solutions sont toujours possibles pour tout, il ne faut pas l’oublier.






MCE

La tension artérielle est une variable qui peut s'élever ou chuter. La baisse de la tension artérielle constitue une maladie du système cardiovasculaire dont les origines sont multiples. Il ne faut pas la négliger, car ses symptômes peuvent être graves.


Santé: Comment reconnaître une chute de tension ?
Quels sont les symptômes de la chute de tension ?
La chute de tension correspond à une baisse de la pression artérielle, généralement en dessous de 10/6 mmHg. Cependant, certaines personnes vivent quotidiennement avec une tension basse, sans en ressentir de symptôme.

Lorsqu'il s'agit d'une chute de tension, une sensation d'étourdissement et de malaise et de perte d'équilibre survient. La peau est moite et le sujet est pâle. Une grande fatigue est associée à ces symptômes, avec parfois l'impression d'un évanouissement imminent. Le rythme cardiaque est accéléré et la respiration est plus rapide, pour tenter de compenser le manque d'oxygène qui n'est plus suffisamment assuré par la circulation sanguine.

La pression étant insuffisante, il n'y a pas assez de sang qui irrigue le cerveau et les organes comme le cœur ou les poumons. Lorsqu'elle est brutale, la baisse de tension peut provoquer une chute précédée de vertiges et de l'apparition de mouches volantes devant les yeux. La syncope peut être une conséquence d'une chute brutale de la tension.

Quelles sont les principales causes de la chute de tension ?
La chute de tension peut être favorisée par une grande fatigue, ou par certaines prises médicamenteuses. La fièvre, les infections ou les maladies inflammatoires chroniques peuvent aussi faire varier la tension artérielle. L'hypotension orthostatique correspond à une chute tensionnelle brutale lors du passage de la position assise ou couchée à la position debout.

Elle peut être due à des mouvements trop rapides ou à la prise de certains médicaments. Un surdosage en traitement antihypertenseur peut provoquer une hypotension. Les malaises vagaux, généralement bénins, ou les allergies aiguës peuvent entraîner des chutes de tension brutales. L'hypotension est également fréquente chez les femmes enceintes.

Comment prendre en charge une chute de tension ?
La chute de tension est simplement diagnostiquée par la prise tensionnelle. Lorsqu'une tension basse est constatée, le sujet doit être allongé, pour éviter le malaise et la chute. Il est conseillé de lui surélever les jambes, pour que le sang afflue davantage vers le cerveau et le cœur.

Si le sujet est conscient, il doit être réhydraté par voie orale et il doit éventuellement prendre du sucre pour éviter l'hypoglycémie. Si le sujet n'est pas conscient, une perfusion de réhydratation rapide peut être mise en place. Le sujet ayant une tendance chronique à l'hypotension et la tolérant mal, un traitement médicamenteux permet de maintenir la tension artérielle à un niveau correct.

Un bilan cardiovasculaire et général doit être réalisé chez les patients présentant des malaises avec hypotensions, à la recherche d'une cause qu'il serait possible de traiter.





e-santé.fr

Les révélations « Implant Files » du Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ) réunissant 59 médias (dont « Le Monde »), mettent à jour les défaillances de tout un système, celui des certifications des dispositifs médicaux à travers le monde. Au cœur de ce scandale, une entreprise américaine, Medtronic, puissant leader des technologies médicales, dont les pratiques seraient liées à de nombreux incidents mortels, aux États-Unis, mais aussi dans de nombreux autre pays.


Le leader des technologies médicales au cœur du scandale des «Implant Files»
Le rapport des « Implant Files » publié par l'ICIJ avance le chiffre astronomique de 9 300 décès ces dix dernières années, pour dénoncer les risques immenses causés par la société américaine Medtronic, écrit notre correspondant à New York, Grégoire Pourtier.

Leader mondial du secteur des technologies médicales, l'entreprise mène aussi largement le peloton des responsables des incidents dus à des implants : l'an dernier, dans le monde, un cas sur cinq serait dû à ses produits.

Les malades du diabète les plus impactés

Ce sont plus particulièrement les pompes à insuline ou leurs composants qui sont accusés, et les malades du diabète qui en ont été victimes, dénoncent aussi le comportement de la société qui ne les aurait jamais prévenus des risques puis aurait largement ignoré leurs réclamations.

Medtronic va devoir batailler pour sauver sa réputation, tout comme l'industrie médicale américaine dans son ensemble. En pointe sur le marché mondial des implants, elle en aurait vendu l'an passé pour 41 milliards de dollars à l'étranger.

Graves dégâts à l'international

Car si la US Food and Drug Administration, organisme certificateur unique et public, est peu complaisante pour le marché local, elle lâche la bride pour l'international. 4 600 produits auraient ainsi seulement l'autorisation pour être distribués à l'étranger - et au moins une quinzaine d'entre eux auraient déjà causé de graves dégâts.

Cette enquête a débuté par une démonstration par l'absurde. En 2016, une journaliste de la chaine de télévision néerlandaise Avrotos a réussi à faire passer un filet de mandarine pour un implant vaginal ! Cette journaliste a endossé le rôle d'un fabricant de prothèse, elle a même obtenu de trois organismes de certification un accord de principe pour obtenir un marquage CE, véritable sésame pour accéder au marché de l'Union européenne.

Simple dossier

Si une telle incurie est possible c'est qu'aujourd'hui, pour installer un dispositif médical dans votre corps, il n'y a pas besoin d'études. Il n'est même pas nécessaire de présenter le produit, un simple dossier soumis à un certificateur suffit. Conséquence : le nombre d'incidents liés à ces implants explose. En France, il aurait doublé ces dix dernières années, avec près de 160 000 cas recensés, mais les données restent globalement incomplètes et confidentielles.

En Allemagne, le fiasco du certificateur TÜV dans l'affaire des prothèses mammaires PIP avait déjà mis en évidence les lacunes du système européen. TÜV, l'un des certificateurs les plus importants, avait réalisé treize contrôles dans les locaux de PIP, entre octobre 1997 et janvier 2010, sans jamais constater de manquements à la réglementation, alors que PIP fabriquait un gel maison très éloigné des standards autorisés.

Indemnisation

Dans un premier temps, la justice avait dédouané TÜV de toute responsabilité. Mais, en octobre 2018, la Cour de cassation a ordonné un nouveau procès devant la cour d'appel de Paris. En cas de condamnation, la voie de l'indemnisation serait alors ouverte pour les 400 000 patientes victimes de PIP, et, pour TÜV l'addition pourrait s'élever à plusieurs milliards d'euros. Une sanction à même de changer les pratiques.






rfi.fr

Une étude récente suggère qu’une réduction de l’apport calorique de seulement cinq jours par mois, améliore l’immunité et réduit plusieurs facteurs de risque de cancer, diabète et déclin cognitif.


Le jeûne améliore l’immunité et diminue la glycémie et l’inflammation
Dans toutes les cultures du monde, le jeûne a toujours été perçu comme un moyen de purifier le corps et l’esprit. Pour les Grecs anciens comme Socrate, Platon et Pythagore, jeûner était jugé comme essentiel pour mieux percevoir la vérité, tandis que pour les adeptes des religions juive, chrétienne, musulmane ou encore dans le bouddhisme, le jeûne sert à se rapprocher de Dieu ou à obéir à ses commandements.

Le jeûne conserve encore aujourd’hui une certaine dimension ésotérique, étant perçu comme une façon de «détoxifier» le corps, une sorte de purge qui le débarrasse des «toxines» qui se sont accumulées.

Cette vision du jeûne est tout à fait inexacte: notre corps n’accumule pas de toxines et, est au contraire, tout à fait capable d’éliminer par lui-même les substances nuisibles grâce au foie et à nos reins, sans avoir à se priver de nourriture pour y arriver.

Cela dit, plusieurs études réalisées au cours des dernières années indiquent que le jeûne provoque tout de même des effets spectaculaires sur plusieurs aspects du métabolisme.
Par exemple, le simple fait de restreindre l’apport calorique sur une période de huit heures suivie de 16 heures sans rien manger (jeûne intermittent), est associé à un impact bénéfique sur les taux sanguins de glucose et d’insuline ainsi qu’à une diminution de l’inflammation.

Ces effets positifs sur le métabolisme sont encore plus prononcés pour des jeûnes occasionnels plus longs (2-3 jours), ceux-ci étant aussi associés à une régénération du système immunitaire ainsi qu’à une protection contre les effets toxiques de la chimiothérapie chez les patients atteints d’un cancer.

Le jeûne n’est donc pas une méthode de détoxification, mais plutôt un «redémarrage» du métabolisme qui lui permet d’améliorer sa performance et de mieux résister aux agressions.

Jeûner: des résultats spectaculaires

Malgré ces effets positifs, il est difficile d’envisager le jeûne occasionnel comme une approche réaliste pour améliorer la santé de la population. Pour la majorité des gens, il est psychologiquement très difficile, voire impossible, de se priver complètement de nourriture pendant 2-3 jours. Sans compter que l’élimination pure et simple de tout apport calorique peut entraîner des complications graves chez certaines personnes, en particulier chez les sujets âgés et frêles.

C’est dans ce contexte qu’une équipe de chercheurs américains (University of South California) a eu l’idée d’élaborer un régime alimentaire qui reproduit les effets positifs du jeûne sur le corps, sans toutefois nécessiter l’abandon total de nourriture.

Essentiellement basé sur des aliments d’origine végétale, ce régime permet de couper l’apport calorique d’environ la moitié (800-1000 kcal par jour), tout en apportant des quantités adéquates de nutriments essentiels (vitamines, minéraux, acides aminés, acides gras).

Les résultats obtenus à la suite de l’administration de ce régime sont tout à fait spectaculaires: par exemple, des souris adultes soumises deux fois par mois à des cycles de quatre jours de ce régime hypocalorique voient leur santé grandement améliorée, avec une diminution du gras abdominal, une réduction de l’incidence de cancer, une meilleure densité osseuse et une espérance de vie augmentée.

Chez les souris âgées, ce régime entraîne aussi une augmentation de la synthèse de nouveaux neurones au niveau de l’hippocampe une amélioration significative de leurs performances cognitives.

Jeûner cinq jours par mois aide à prévenir les maladies chroniques

Les résultats d’une étude pilote réalisée auprès de volontaires suggèrent que ces bénéfices sont également observés chez l’humain. Les participants (âgés en moyenne de 40 ans) ont été soumis au régime alimentaire mimant le jeûne cinq jours par mois pendant une période de trois mois, après quoi des marqueurs de leur état général de santé ont été mesurés et comparés à ceux d’un autre groupe qui n’avait pas été soumis à cette restriction calorique.

L’étude montre clairement que le simple fait de limiter l’apport calorique quelques jours chaque mois, est suffisant pour entraîner une diminution importante de la glycémie, de l’inflammation ainsi que de certains facteurs de croissance impliqués dans la progression tumorale (IGF-1).

Puisque cette restriction calorique a été très bien tolérée par les participants (seulement 5 % d’abandon), de futurs essais cliniques devraient permettre d’étudier plus en détail ses impacts sur la santé et de confirmer son potentiel de prévention des maladies chroniques et sur l’espérance de vie.

En attendant, une chose est sûre: la plupart des maladies chroniques qui touchent actuellement la population, sont une conséquence d’une surconsommation de nourriture et il n’y a que des avantages à diminuer la taille de nos portions.
 
 



 
PRESSE SANTE
 

Les AVC, (accidents vasculaires cérébraux), en plus d’être une cause majeure d’incapacité physique, font vieillir instantanément le cerveau de huit ans, ce qui entraîne de graves problèmes cognitifs à long terme. Alors que 70% des AVC pourraient être prévenus simplement.


Prévention des AVC: 70% des cas peuvent être évités simplement
La plupart des accidents vasculaires cérébraux (AVC) sont provoqués par le blocage d’un vaisseau sanguin cérébral ou du cou par un caillot (thrombus). Ce «bouchon de circulation» a de graves conséquences pour les neurones du cerveau, car il empêche l’arrivée de sang et les prive donc de l’oxygène et des nutriments essentiels à leur fonctionnement.

L’impact négatif de ce blocage ne se fait d’ailleurs pas attendre: à peine quelques minutes après un arrêt de la circulation du sang, les cellules du cerveau commencent à être irrémédiablement endommagées et perdent rapidement la capacité de transmettre un signal nerveux.

Si la région du cerveau qui est touchée participe à une fonction de base (la respiration, par exemple), les conséquences sont évidemment très graves et la personne peut rapidement mourir. Lorsque le blocage affecte d’autres régions du cerveau moins essentielles, les personnes touchées peuvent survivre, mais la plupart du temps au prix d’une perte importante de certaines fonctions physiologiques (élocution, mobilité).

Généralement, environ le quart des personnes touchées par un AVC meurent dans l’année qui suit et une proportion importante devient gravement handicapée après l’accident.

Hausse des AVC

Cette perte des fonctions physiologiques à la suite d’un AVC représente un énorme problème de santé publique. Tout d’abord pour les survivants et leurs proches, qui doivent composer avec le lourd fardeau imposé par les séquelles de la maladie, mais aussi pour les systèmes de santé publics, qui font déjà face à une explosion des coûts financiers associés aux différentes maladies chroniques.

Cet impact négatif est d’autant plus important que le taux de survie aux AVC a considérablement augmenté au cours des dernières années, ce qui signifie qu’un nombre de plus en plus important de personnes sont atteintes d’incapacités post-AVC et nécessitent des soins spéciaux de santé ou doivent être hospitalisées à long terme dans des maisons spécialisées.

Un cerveau vieilli de 8 ans

Plusieurs études ont en effet montré qu’à la suite d’un AVC, les patients sont également à très haut risque de troubles cognitifs (mémoire, orientation spatiale, langage et capacité d’attention, entre autres) et que ces altérations des fonctions du cerveau ont d’énormes répercussions sur la qualité et l’espérance de vie des survivants.

Pour mieux évaluer l’ampleur des dommages cognitifs associés aux AVC, une équipe de scientifiques américains a récemment comparé les capacités intellectuelles d’un groupe de personnes âgées de 65 ans et plus, avant et après la survenue d’un AVC. En utilisant un test mesurant la mémoire et la vitesse de réflexion, ils ont tout d’abord observé que les participants qui avaient subi un AVC, répondaient beaucoup moins bien à ce test, ce qui confirme l’impact catastrophique de cette maladie sur le fonctionnement cérébral.

L’intérêt de l’étude est toutefois de montrer à quel point cette détérioration est importante: selon les résultats du test, les fonctions cognitives diminuent de façon tellement radicale à la suite d’un AVC que c’est comme si le cerveau avait instantanément vieilli de huit ans!

70 % des AVC peuvent être prévenus simplement en adoptant de meilleures habitudes de vie

Les graves dommages causés par les AVC, tant sur le plan physique que mental, montrent à quel point il est important de réduire les risques d’être touché par cette maladie. Et c’est chose possible, car ces dernières années, la recherche a clairement montré qu’au moins 70 % des AVC pourraient être prévenus simplement en adoptant de meilleures habitudes de vie: bien manger, éviter de fumer, contrôler sa tension artérielle, maintenir un taux de sucre sanguin normal et demeurer physiquement actif, même à un âge avancé.







Presse Santé
 
Le jus de citron est-il un moyen de contraception?
Dr Catherine Solano, médecin sexologue, répond à une question d'un auditeur.

Aboubacar de Bamako : Dans certains villages du Mali, le citron est utilisé comme une méthode de contraception. Quel est l'impact du citron sur le sperme ? Peut-on s'en servir comme moyen de contraception ou comme protection contre les IST ?

Dr Catherine Solano : Non, placer un citron ou du jus de citron sur le sexe masculin ou un demi-citron à l'intérieur du vagin ne protège pas du tout contre une grossesse et encore moins contre une infection sexuellement transmissible.

C'est même une pratique dangereuse car le jus de citron est acide et irrite les muqueuses donc les fragilisent.

Une pratique très efficace contre les grossesses et les IST c'est le préservatif !






afriquefemme.com
Les graines de courge, un allié majeur contre l`infertilité masculine
Grâce à leur composition, les graines de courge qui regorgent de nombreux bienfaits pour l’organisme notamment pour la fertilité.

Messieurs, les graines de courge augmentent vos chances d'être fertile en améliorant ainsi la qualité du sperme. Leur pouvoir antioxydant aide à stimuler la création des spermatozoïdes, un processus qui ralentit dès les premiers signes de l'âge.

Ces graines augmentent aussi le taux de testostérone et diminuent les anomalies des spermatozoïdes.

Elles protègent les spermatozoïdes contre la toxicité reproductive de certains traitements médicamenteux. C’est aussi un moyen de prévention contre la prostate. Il faut donc l’inclure dans votre alimentation.








afriquefemme.com
Les symptômes et facteurs de risque du cancer de la prostate
Les symptômes
Au début, le cancer de la prostate ne provoque aucun symptôme. Notez que ceux indiqués ci-dessous peuvent être reliés à une autre maladie de la prostate, comme l'hypertrophie bénigne de la prostate.
• Difficultés pour uriner : de la difficulté à commencer à uriner ou à retenir l'urine, une incapacité à uriner, un besoin d'uriner fréquemment (surtout la nuit), un faible débit urinaire, une sensation de brûlure ou de douleur au moment d’uriner.
• Du sang dans l’urine ou le sperme.
• Douleurs ou raideurs fréquentes au bas du dos, aux hanches ou au haut des cuisses.
• Des changements de fonctionnement urinaire : envie fréquente, impériosité urinaire, besoin de pousser, rétention d’urine, brûlures en urinant.
• Des changements au niveau génital : des éjaculations douloureuses, ou des difficultés à obtenir un érection.

Personnes prédisposées
Précisons que certains hommes « à risque » n’auront jamais le cancer de la prostate. Plusieurs facteurs de risque sont à l’étude.

• Âge. En Amérique du Nord, le cancer de la prostate touche surtout les hommes de plus de 60 ans. L'âge moyen au moment du diagnostic est de 70 ans, et de 80 ans au moment du décès. Plus jeune, seuls 0,5 % des cancers de la prostate apparaissent avant 50 ans, et 22 % entre 55 et 64 ans…
• Antécédents familiaux. Les risques sont plus élevés lorsque le père ou un frère a déjà souffert de cette maladie, ce qui suggère une prédisposition génétique. Cette hypothèse est renforcée par la découverte que les porteurs des gènes BRCA1 et BRCA2 ont un risque accru de cancer de la prostate.
• Origine ethnique. Les hommes de descendance africaine sont plus à risque que les Caucasiens, qui sont plus à risque que les Asiatiques. On estime que les Indiens et les Chinois sont environ 50 fois moins touchés par le cancer de la prostate que les Occidentaux.

Toutefois, lorsque ceux-ci migrent vers les pays où cette maladie est plus fréquente, leur risque augmente aussi. Ce qui laisse croire que des facteurs non seulement liés aux gènes, mais aussi à l’alimentation exercent une influence.

• Obésité : un homme en surpoids important présente un risque plus élevé d’avoir un cancer de la prostate dépisté à un stade avancé.
• L’inflammation ou infection de la prostate augmente le risque de cancer de la prostate, quand elle dure longtemps.
• Les hommes de grande taille présentent un risque plus élevé de cancer de la prostate.
• Les hommes ayant été exposés aux pesticides présentent un risque un peu plus élevé de cancer de la prostate, surtout s’ils ont des antécédents de cancer de la prostate dans leur famille.
• L’exposition au cadmium ou aux dérivés du caoutchouc en milieu professionnel augmente également le risque de cancer de la prostate.

Les facteurs de risque
• Alimentation riche en matières grasses (viandes transformées et viandes rouges). Cela fait plusieurs années que l’on sait qu'une alimentation comprenant une grande quantité d’aliments riches en gras (lipides) est associée à un risque accru de cancer de la prostate3,4.

Cependant, on ignorait quel type de graisses devait être surveillé. Les graisses animales contenu dans la viande rouge ont d’abord été montré du doigt, lors d’études épidémiologiques.

Cependant, l’étude la plus récente (2009) révèle que les gros mangeurs de viandes transformées (charcuteries, bacon, saucisses) sont les plus à risque de cancer de la prostate. Les grands consommateurs de viandes rouges le seraient aussi, mais dans une moindre mesure. 

• Tabagisme. Il n’y a pas de certitude quant à l’influence du tabagisme sur l’incidence du cancer de la prostate. En revanche, une étude récente montre que les fumeurs atteints d’un cancer de la prostate ont un taux de mortalité plus élevé.

Les experts ont suspecté les facteurs suivants d’accroître légèrement le risque de cancer de la prostate. Or, selon les données actuelles, ils n’auraient pas d’influence sur l’apparition de ce cancer :
- Vasectomie (chirurgie pratiquée dans un but contraceptif afin de rendre un homme infertile)
- Consommation d’alcool
- Fréquence des éjaculations
- Hypertrophie bénigne de la prostate

Remarque
Les résultats de certaines études épidémiologiques avaient suggéré un lien entre la consommation de produits laitiers et le cancer de la prostate. Cependant, les résultats d’une méta-analyse récente de 45 études d’observation, démontrent que ni la consommation de produits laitiers en général ni celle de lait ne sont reliées à un risque accru de ce cancer.





passeportsante.net

Une équipe de médecins japonais a annoncé vendredi 9 novembre, avoir transplanté des cellules souches dites «iPS» dans le cerveau de patients atteints de la maladie de Parkinson, dans une expérience qui pourrait changer beaucoup de choses dans la lutte contre cette maladie, si elle se concrétise. Car on attend que ces cellules, qui ont la particularité de pouvoir se transformer en n'importe quelle autre, produisent des neurones.


Japon: contre Parkinson, la greffe de cellules souches dans le cerveau?
La maladie de Parkinson touche plus de dix millions de personnes dans le monde : tremblements, rigidité des membres, difficulté à se mouvoir... Ses symptômes sont très handicapants, car la maladie frappe des neurones bien spécifiques du cerveau.

Cette équipe japonaise est donc allée mener le combat dans le cerveau. Puisque les neurones sont atteints, il faut donc en fabriquer des nouveaux. Pour y parvenir, les chercheurs se sont appuyés sur des cellules souches pluripotentes induites (IPS, pour induced pluripotent stem cells). Il s'agit de cellules adultes, mais rajeunies, comme si elles faisaient partie d'un embryon. Elles retrouvent alors la faculté de produire n'importe quel autre type de cellules en fonction de l'endroit du corps où elles sont transplantées.

Cette équipe de l'université de Kyoto en a donc implanté 2,5 millions dans l'hémisphère gauche du cerveau d'un patient atteint de la maladie de Parkinson, avec l'espoir que de nouveaux neurones se développent.

Il est malheureusement encore trop tôt pour savoir si l'expérience est concluante, mais l'opération s'est en tout cas bien passée. Les chercheurs se donnent désormais six mois, pour vérifier qu'aucun problème n'est apparu. C'est ensuite l'hémisphère droit du cerveau du patient qui recevra ses nouvelles cellules.





rfi.fr
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