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Santé

Une nouvelle étude montre que les femmes qui mangent de la viande rouge en grandes quantités ont 23% plus de risques de développer un cancer de sein, tandis que celles qui privilégient la volaille réduisent leurs risques de 15%.


Cancer du sein: Remplacer le bœuf par du poulet pourrait réduire le risque
Freiner sur la viande rouge au profit de la volaille pour prévenir le cancer du sein. Telles sont les conclusions d'une nouvelle étude parue dans The International Journal of Cancer.

Pendant près de huit ans, des scientifiques américains ont suivi plus de 42 000 femmes, qu'ils ont régulièrement interrogées sur leur consommation de viandes.

Au cours de la période de suivi, 1536 cancers du sein invasifs ont été diagnostiqués. L'étude montre que les femmes qui mangeaient quotidiennement de la viande rouge avaient 23% plus de risques de développer ce type de cancer.

Des résultats inchangés, même en tenant compte d'autres facteurs de risques

Inversement, la volaille était associée à une diminution du risque de cancer du sein invasif : les femmes qui en mangeaient le plus présentaient un risque 15% moins élevé que celles dont la consommation était la plus faible.

"La viande rouge a été identifiée comme un cancérigène probable. Notre étude ajoute d'autres preuves que la consommation de viande rouge peut être liée à un risque accru de cancer du sein, alors que la volaille était associée à un risque réduit", explique le chercheur Dale P. Sandler, qui a dirigé l'étude.

Afin d'identifier tout élément susceptibles de modifier ces résultats, les scientifiques ont pris en compte les facteurs de risques du cancer du sein ainsi que d'autres critères comme le statut socio-économique, l'obésité, l'activité physique ou encore la consommation d'alcool. Pour finalement aboutir aux mêmes conclusions.

Une étude conduite par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) révèle que dans certains pays à faible revenu, une femme sur trois serait victime de maltraitance pendant l’accouchement.


Dans les pays pauvres, 1 femme sur 3 maltraitée lors de l'accouchement
De nouvelles preuves tirées d’une étude menée par l’OMS et publiée aujourd’hui dans le journal The Lancet montrent que plus d’un tiers des femmes de quatre pays à faible revenu ont subi de mauvais traitements lors de leur accouchement en établissement de santé.

Les femmes les plus jeunes et les moins instruites semblent être les plus exposées à ces violences. Ce qui suggère des inégalités dans la manière dont les femmes sont traitées lors de l’accouchement.

Insultes, gifles, coups de poing…

Ce travail a été mené au Ghana, en Guinée, au Myanmar et au Nigéria. Parmi les 2 016 femmes interrogées, 838 ont déclaré avoir été victimes de violences physiques ou verbales, de stigmatisation ou de discrimination.

Dans le détail, 14% ont révélé avoir subi des violences physiques, le plus souvent des gifles ou des coups de poing. Sur 261 césariennes pratiquées, 35 (13%) ont eu lieu sans le consentement de la parturiente et 190 épisiotomies (75%) ont été menées sans son avis. Des examens vaginaux ont également eu lieu sans accord dans 59% des cas.

L’Australie est sur le point de devenir le premier pays au monde à éliminer le cancer du col de l’utérus. Des chercheurs de l’Université Griffith du Queensland ont créé un “remède” contre le cancer du col de l’utérus en utilisant une technologie d’édition de gènes pour cibler les tumeurs du cancer du col utérin chez la souris à l’aide de nanoparticules “furtives”.


Des scientifiques découvrent un «remède» contre le cancer du col de l’utérus
Le chercheur principal, le professeur Nigel McMillan, a déclaré qu’il s’agissait du premier traitement contre le cancer utilisant cette technologie.

Selon ABC, les souris traitées avaient un taux de survie de 100%, faisant naître l’espoir chez les femmes atteintes du cancer du col utérin.

L’outil d’édition de gènes, appelé CRISPR-Cas9, est injecté par des nanoparticules dans le sang du patient. Les nanoparticules recherchent ensuite le gène cancérigène E7 et le coupent en deux. Lorsque la cellule répare le gène avec un ADN supplémentaire, la cellule ne reconnaît pas les cellules cancéreuses et génère une cellule saine.

En décrivant les nanoparticules, le professeur Nigel McMillan a expliqué que cela fonctionnait comme un correcteur orthographique.

«Cela revient à ajouter quelques lettres supplémentaires dans un mot afin que le correcteur orthographique ne le reconnaisse plus. Le cancer doit posséder ce gène pour produire, une fois modifié, le cancer meurt. Nous avons recherché beaucoup de marqueurs, d’inflammation et de dommages, mais ils étaient parfaitement bien, donc c’est très excitant. “

Le professeur McMillan et son partenaire de recherche, Luqman Jabair, ont demandé une subvention pour commencer des essais sur l’homme au cours des cinq prochaines années.

Pour réduire au maximum les risques de cancer et de diabète, un régime excluant certains aliments s’impose.


Voici 4 aliments à éviter pour réduire les risques de cancer et diabète
On le sait tous, quand on multiplie les abus cela peut se retourner contre nous et cela est aussi valable pour la nourriture. En effet, une consommation trop récurrente de certains aliments pourrait augmenter les risques de cancer et de diabètes. Afin que vous puissiez réguler votre alimentation, les voici :

La viande et aliments grillés

Des viandes comme du poulet, du boeuf, du porc ou encore du poisson sont grillées ou frites à des températures élevées. Elles relâchent des amines hétérocycliques ainsi que des hydrocarbures aromatiques polycycliques, provoquant un impact sur l’ADN et augmente ainsi les risques de cancer. Les viandes rouges peuvent aussi provoquer un excédent de cholestérol.

Les produits sucrés

En plus d’un surplus de calories, trop de sucre engendre une surproduction de triglycérides, normalement produites par le foie. Une fois dans le système sanguin, les triglycérides peuvent rester coincés dans vos artères, créant des problèmes cardiovasculaires. Cela vaut pour les aliments mais aussi pour les boissons comme les sodas.

Les plats à réchauffer ou pré-faits

La gratuité de la chimiothérapie pour la prise en charge des cancers du sein et du col de l’utérus a été officiellement lancée, ce week-end, à Thiès. Le chef du service Gynécologie et de la Maternité à l’hôpital régional Amadou Sakhir Ndiéguène de Thiès, Pr. Mariétou Thiam, faisant le bilan depuis la mise en service de l’unité de traitement de cette maladie, a noté pour s’en féliciter, que 177 cas ont été pris en charge.


Lancement de la gratuité de la chimiothérapie : 177 cas traités à Thiès
Ainsi, 200 femmes ont été dépistées, renseigne-t-il, repris par Le Soleil. « Les femmes atteintes de ces maladies éprouvaient d’énormes difficultés à se faire soigner. Le traitement était assez cher. Il pouvait coûter jusqu’à 1 million F CFA par personne », se félicite le médecin-chef de la région, Dr Malick Ndiaye.

Toutes de rose vêtues, les femmes de l’hôpital ont tenu à marquer la 10e édition de ’’Octobre rose’’, la campagne annuelle de communication, de dépistage et de sensibilisation sur les cancers du sein et du col de l’utérus. Dont la particularité cette année est la gratuité de la chimiothérapie et la baisse à plus de 60% des médicaments d’autres types de cancers.

Par contre, 1137 femmes ont été dépistées, dans la journée de consultation et de dépistage gratuit du cancer du sein, et du col de l’utérus, menée samedi dernier, selon les estimations du Dr. Fatma Guenoune, la présidente de la Ligue sénégalaise contre le cancer (LISCA).

Au jour le jour, les fruits et les légumes contribuent à combler vos besoins en vitamines A (bêta-carotène), C, E, K, ainsi qu’en folate, calcium, potassium, fer, magnésium et fibres alimentaires, entre autres. Cela signifie qu’ils contribuent à garder votre système immunitaire en santé, à former et à entretenir de nouvelles cellules, à faire fonctionner vos muscles et vos nerfs, à solidifier vos os et vos dents, à permettre la transmission des informations entre votre cerveau et votre corps (influx nerveux), à assurer la régularité intestinale, et plus encore.


Les fruits et les légumes non féculents contribuent à prévenir les cancers
À plus long terme, une consommation suffisante de fruits et de légumes aide à prévenir les maladies cardiovasculaires, l’hypertension et plusieurs types de cancers. Comment réussissent-ils un tel tour de force? Grâce à certains nutriments et composés phytochimiques

Ces composés phytochimiques contribueraient à :

- Diminuer l’athérosclérose

- Favoriser la baisse du cholestérol

- Protéger nos cellules contre les agresseurs (radicaux libres, polluants, etc.)

- Freiner la formation de métastases et la croissance de tumeurs

- Rendre les cellules cancéreuses plus réceptives aux traitements de chimiothérapie et de radiothérapie

A l’assaut du cancer

Dans son dernier rapport sur la prévention du cancer, l’American Institute for Cancer Research rapporte que, de manière générale, les fruits et les légumes non féculents contribueraient à prévenir les cancers de la bouche, du pharynx, du larynx, de l’œsophage, de l’estomac, colorectal, du poumon, du pancréas et de la prostate. Aussi, 30 % des décès par cancer seraient attribuables aux facteurs de risque que l’on peut éviter, dont le tabagisme, la consommation excessive d’alcool, la sédentarité, le surplus de poids et une consommation insuffisante de fruits et de légumes.

Florence Bayala

La grande majorité des lingettes et laits de toilettes pour bébés présentent potentiellement des risques pour la santé, prévient l'association de défense des consommateurs française UFC-Que Choisir, après des tests en laboratoire.


Les lingettes et laits de toilette pour bébé peuvent être nocifs
Il semblerait que même les produits pour bébé ne soient pas totalement dignes de confiance ! L'association de défense des consommateurs française UFC-Que Choisir a fait tester 34 de ces produits en laboratoire.

Les résultats sont alarmants :- Des allergènes ont été retrouvés dans 12 lingettes et 2 laits de toilettes, avec un record pour les lingettes "Eco de Naty"- Le phénoxyéthanol, un conservateur aux effets toxiques pour le foie et suspecté pour le système reproducteur et le développement, est présent dans pas moins de 14 lingettes (par exemple Mixa, Pampers, Carrefour Baby...) et 3 laits de toilette (par ex. Mixa Bébé)- 6 lingettes (par ex. Carrefour Baby, Top Budget-Intermarché...) contiennent des parabènes à longue chaîne, conservateurs suspectés d'être des perturbateurs endocriniens interférant avec le système hormonal- Seuls 2 produits sur 34 sont exempts des substances recherchées : les lingettes "Natural caresse" de Bébé Cadum et le lait de toilette "Natessance"

"Les lingettes utilisées pour nettoyer les bébés cumulent les facteurs de risque", écrit l'association. Elle précise, "qu'elles sont appliquées plusieurs fois par jour sur une peau de bébé souvent irritée. Pire, l'absence de rinçage après application a pour effet de prolonger le temps de pénétration".

Utiliser plutôt l'eau et le savon

Certaines substances sont donc soupçonnées d'être des perturbateurs endocriniens, mais elles sont dissimulées sous un étiquetage faussement rassurant. L'UFC-Que Choisr ajoute qu'elles pourraient agir aux stades précoces du développement de l'enfance, comme l'indiquait en août une étude du magazine 60 Millions de consommateurs.L'association invite ainsi les parents à se méfier de ces "facilités cosmétique" et à recourir plutôt à la bonne vieille méthode de l'eau et du savon. Elle presse la Commission européenne de renforcer la règlementation sur ce type de produits. Enfin elle exige des fabricants qu'ils éliminent ces composés, "ce qui est parfaitement possible au vu des 2 produits testés qui en sont exempts".

Source: medisite.fr

Vous en avez assez de grignoter à longueur de journée ? Il existe des astuces coupe faim efficaces et naturelles pour se sentir rassasiée entre les repas. Découvrez-les !


Voici des astuces simples pour arrêter le grignotage
Lorsqu’on a une sensation de faim, cela veut dire que le taux de glycémie dans le sang est bas. Le corps a besoin d’énergie et va provoquer plus rapidement une envie de manger mais surtout de grignoter ! Des astuces coupe faim efficaces peuvent vous aider à être rassasiée plus durablement.

Une alimentation équilibrée

Afin de ne pas avoir envie de manger constamment il faut d’abord faire le tri dans vos placards. Exit les sucres rapides, les bonbons, gâteaux et plats industriels ! Ces aliments vont être digérés plus rapidement par l’organisme. La faim va revenir aussitôt. Pour vous sentir rassasiée, misez plutôt sur les aliments riches en fibres comme les fruits et les légumes ainsi que les protéines. Leur assimilation se fera plus lentement et fournira à votre corps de l’énergie en continu. Vous n’y avez peut-être pas pensé mais les algues apportent des vitamines et minéraux essentiels. Elles ont l’avantage d’être peu calorique. Au contact de l’eau contenue dans le corps, elles vont gonfler dans l’estomac et provoquer une sensation de satiété.

S’hydrater astucieusement

La façon la plus simple de stopper la faim plus rapidement: boire un grand verre d’eau avant le repas. L’estomac va être rempli et vous aurez moins besoin de manger. Boire une tasse d’eau chaude avec du jus de citron permet de se sentir plus vite rassasiée. Le citron a de nombreuses vertus : il détoxifie le foie et permet une meilleur digestion. Le maté est reconnu pour être un coupe-faim efficace. Cette substance gélatineuse va gonfler à l’intérieur de l’estomac et va créer une sensation de satiété. Si la consistance vous rebute, le thé vert est une bonne alternative. Il contient des polyphénols susceptibles de favoriser l’action des hormones rassasiantes.
HYGIÈNE: pourquoi se brosser la langue peut être dangereux pour la santé ?
Il est temps de mettre fin à une idée reçue qui a la peau dure: se brosser la langue n’est pas une bonne idée. D’abord, cela ne vous empêchera pas d’avoir mauvaise haleine. Pis, vous risquez de perturber votre équilibre bucco-dentaire.

Tout le monde sait qu’il est nécessaire de se brosser les dents deux à trois fois par jour pour éviter la formation de carie et la mauvaise haleine. Certains, bons élèves de l’hygiène bucco-dentaire, font même du zèle en se brossant la langue. Mais ce n’est pas vraiment une bonne idée.

La langue est auto-nettoyante

D’abord, la langue n’a pas besoin de nous pour se nettoyer, elle le fait très bien toute seule. En effet, une langue saine s’auto-nettoie grâce à la salive, que l’on déglutit ensuite entre mille et deux mille fois par jour. À noter qu’il est possible de se brosser la langue, notamment lorsque l’on manque de salive. À cause d’une maladie ou de la prise d’un médicament par exemple.

Quand une bouche manque de salive, la langue est couverte d’une matière blanchâtre. Vous pouvez alors la retirer. Mais avec douceur ! Les fans du brossage de langue, ou plus précisément du "raclage" de langue, puisqu’il s’agit du terme le plus approprié, agissent par souci d’hygiène c’est certain. Les marques de brosses à dents ont clamé pendant des années dans leurs pubs que la langue était un nid à bactéries. C’est vrai, mais une partie d’entre elles est utile !

Il ne faut pas éradiquer les bonnes bactéries Premièrement, ces bactéries ne sont pas majoritairement responsables de la mauvaise haleine, ce sont les plaques dentaires qui le sont (et ce à 90%). De plus, pas moins de 700 espèces de bactéries grouillent dans la cavité buccale, et principalement sur la langue. Certaines sont dangereuses, mais d’autres nous aident à digérer, produisent des vitamines et évitent même la venue de bactéries étrangères (qui peuvent causer des maladies).

Il est donc important de les laisser tranquilles. Rien ne vaut donc la bonne vieille brosse à dents pour éviter la mauvaise haleine. Mais gare aux phénomènes de mode. Le dentifrice au charbon végétal, par exemple, pourrait définitivement abîmer l’émail des dents.

Les acteurs de la santé, très préoccupés par les cas d'Urgences souvent très délicats auxquels ils sont souvent confrontés, sont en conclave à Dakar depuis hier. Après avoir diagnostiqué les problèmes liés aux urgences, les professionnels de ce secteur comptent mettre en place des stratégies pour l' "amélioration de la prise en charge des urgences".


Assises sur les Urgences à Dakar: Abdoulaye Diouf Sarr promet une meilleure prise en charge des cas
Réfléchir et débattre sur les cas d'urgence dans le domaine sanitaire, permettra aux acteurs de diagnostiquer tous les enjeux qui sont liés à ce phénomène. "Amélioration de la prise en charge des urgences" est le thème qui a été choisi.

Les responsables de la santé veulent arriver à mettre en place, un dispositif adéquat concernant le plateau technique, les ressources humaines, les infrastructures et équipements nécessaires de même que les médicaments requis pour dégager une feuille de route.

Selon certains intervenants, il urge de penser au mode de financement, en mettant en exergue les assurances et la Couverture maladie universelle.

Les statistiques sur la question du jour, révèlent, selon l'APS, que 76% des structures hospitalières disposent d'un service d'accueil des Urgences. Néanmoins, 94% d'entre elles ne répondent pas aux normes.

Quant au ministre de la Santé Abdoulaye Diouf Sarr, il se dit conscient des difficultés des patients liées aux cas d'urgences dans les centres hospitaliers et hôpitaux.

Le ministre qui présidait l'ouverture de ces assises, promet de proposer des solutions plus appropriées pour une meilleure prise en charge des Urgences, gage de bien-être des patients.
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