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Santé
Infection urinaire: causes et symptômes
La cystite est une infection urinaire qui atteint la vessie. Les femmes sont principalement concernées : la taille de leur urètre est plus petite que celle d’un homme, ce qui favorise l’entrée des bactéries dans la vessie. Quels sont les causes et symptômes de la cette inflammation ? Et comment lutter contre l’infection urinaire ? On vous dit tout dans cet article.

Chatouillements, brûlures, picotements… Les manifestations de la cystite sont désagréables et souvent handicapantes. De nombreuses femmes sont concernées au cours de leur vie, et notamment les futures mamans. La plupart du temps, l’infection se limite à la partie basse de l’appareil urinaire. Mais parfois, l’inflammation se complique et remonte jusqu’aux reins. On parle alors de « pyélonéphrite ».

Quelles sont les causes de la cystite ?

Les femmes sont plus sensibles que les hommes aux infections urinaires. En raison de leur anatomie, elles doivent donc faire davantage attention aux gestes quotidiens à adopter pour éviter la prolifération des bactéries dans la vessie.

L’infection urinaire peut survenir pour différentes raisons.

Une mauvaise hydratation de l’organisme influe sur l’apparition d’une cystite. N’oubliez pas de boire beaucoup d’eau, chaque jour. Il est recommandé de boire 1,5 à 2 litres d’eau quotidiennement, car l’eau dilue l’urine.

Au petit coin, pensez à toujours vous essuyer de l’avant vers l’arrière. Il convient d’éviter la contamination du tube digestif par des germes.

Les sous-vêtements ou pantalons trop ajustés ou fabriqués dans des matières synthétiques peuvent également favoriser l’apparition d’infections urinaires. La transpiration qu’ils engendrent crée des bactéries qui peuvent elles-mêmes provoquer des cystites.
Un lavage trop peu fréquent des parties intimes peut aussi être source d’infection. Pensez à utiliser du savon doux.

Une infection urinaire appelée « la cystite de la lune de miel » existe aussi. Après une période d’abstinence, des relations sexuelles répétées peuvent déclencher des inflammations.

Comment puis-je repérer les symptômes de la cystite ?
Les manifestations de l’infection urinaire apparaissent souvent brutalement. Si vous avez une envie irrépressible d’aller faire pipi et que pourtant, lorsque vous arrivez au petit coin, vous ne vous délestez que de quelques petites gouttes, vous souffrez probablement d’une cystite.

L’infection urinaire provoque également des douleurs justes au-dessus du pubis et une sensation de brûlure lorsque l’on urine.
Lorsque la cystite se trouve à un stade plus avancé, du sang peut parfois être retrouvé dans les urines, qui prennent alors une odeur particulière.

Existe-t-il une solution naturelle pour lutter contre l’infection urinaire ?
La cystite se soigne souvent avec des antibiotiques. Pourtant, des moyens naturels et efficaces existent : ils préviennent ou guérissent les infections urinaires.

Le D-Mannose est un sucre simple, cousin du glucose. Il recouvre les cellules du tractus urinaire. On le retrouve dans certains fruits : les pêches, les pommes, les myrtilles ou les oranges. Le D-mannose traite naturellement les infections des voies urinaires.

FEMANNOSE N® est un dispositif médical végan et efficace pour lutter contre les cystites. Ce remède contient du D-mannose. FEMANNOSE N® traite l’infection aiguë et agit également à titre préventif.

Contrairement aux antibiotiques, il n’entraîne pas le développement de résistances par les agents pathogènes. Demandez conseil à votre médecin ou à votre pharmacien.





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Les symptômes de la cystite surviennent souvent brutalement. À moins d’avoir un médecin sous la main, la consultation immédiate n’est pas toujours possible. En attendant votre rendez-vous, voici quelques remèdes qui permettent de soulager les signes de l’inflammation. Adieu douleurs, brûlures et envies irrépressibles d’aller faire pipi


4 remèdes de grand-mère pour soulager les symptômes de l’infection urinaire
Presque toutes les femmes ont connu, au moins une fois dans leur vie, cette infection de la vessie appelée « cystite ». La femme est plus sujette aux cystites que les hommes. Cela, elle le doit à son anatomie. En effet, les voies génitales et l’anus se trouvent près de l’urètre féminin, ce petit canal qui permet de vider la vessie. L’urètre de la femme est plus court que celui de l’homme. Il fait trois à quatre centimètres, ce qui favorise l’entrée des bactéries dans la vessie.

Heureusement, pour soulager une cystite, les solutions existent. Elles aident à apaiser les symptômes de l’infection urinaire.

1. L’eau
L’hydratation permet à l’organisme de fonctionner correctement.
L’eau est plus que jamais nécessaire en cas de cystite. Quand vous souffrez d’infection urinaire, buvez donc beaucoup d’eau. Au moins 1,5 à 2 litres par jour. L’eau va diluer les germes présents dans la vessie et les évacuera plus vite.

Les tisanes à base de plantes médicinales sont également recommandées.

Éliminez donc les bactéries en vidant votre vessie le plus souvent possible !

2. Le D-Mannose, un remède naturel et efficace
Le D-Mannose est un sucre simple, cousin du glucose. Il recouvre les cellules du tractus urinaire. On le retrouve dans certains fruits : les pêches, les pommes, les myrtilles ou les oranges. Le D-mannose soigne les cystites de manière naturelle.

FEMANNOSE N® est un dispositif médical efficace pour lutter contre les cystites. Il contient du D-mannose. FEMANNOSE N® permet de faire parvenir sous forme inchangée une quantité plus importante de D-mannose dans la vessie et les voies urinaires à partir de la circulation sanguine.

Autre petit plus de ce remède vegan, sans gluten, lactose et agents conservateurs : il n’entraîne pas le développement de résistances, comme cela peut être le cas avec les antibiotiques.

3. L’infusion de thym
Le thym est une plante qui possède de nombreuses propriétés médicinales. Cet antiseptique lutte contre les infections et stimule l’immunité.
Préparer des infusions à base de thym se révèle très efficace en cas d’infection urinaire. La plante aromatique va empêcher les bactéries de proliférer.
La recette est simple : faites infuser 30 grammes de thym pendant 15 minutes dans de l’eau bouillante. Et hop, le tour est joué !

4. Le bicarbonate de soude
Voici un dernier remède de grand-mère pour lutter contre les infections urinaires : le bicarbonate de soude. Pas très agréable à consommer, certes, car son goût n’est pas terrible. Par contre, il aide à prévenir la cystite ou à en réduire les symptômes.
Le bicarbonate de soude se consomme à jeun. Dans un grand verre d’eau, ajoutez deux petites cuillères de bicarbonate. Ses propriétés vont empêcher les bactéries de proliférer.




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On fonce sur le coco, l'aliment qui a tout bon !

Farine de coco, huile de coco, sucre de coco, lait de coco, eau de coco... C'est fou tout ce que la noix de coco peut fournir de bon ! En effet, ce fruit recèle une multitude de bienfaits. Des atouts que les fans de beauté connaissent déjà bien, mais que les foodistas et autres nutritionnistes commencent également à apprécier. Et l'on trouve les produits à base de noix de coco de plus en plus facilement. Alors pourquoi on craque sur le coco ?

L'eau de coco, saine et désaltérante
L'eau de coco est ce liquide aqueux et translucide, délicate, légère, douce, avec une pointe d'acidité, légèrement salée, avec bien sûr un goût de coco, que l'on déguste à peine la noix de coco tombée de l'arbre. Elle affiche une teneur en sucres très basse (1,1 g pour 100 ml), une faible addition calorique (34 kcal pour un grand verre de 300 ml) et contient des micronutriments intéressants.

Avant tout, et comme tout produit issu du coco, elle contient de l'acide laurique, à l'action anti-bactérienne reconnue, et aux effets bénéfiques sur le système immunitaire. Elle affiche également une belle teneur en sels minéraux, ce qui en fait une super boisson pour les sportifs, d'autant qu'elle est sans sucres ajoutés.

Mais nous on l'aime pour ses qualités désaltérantes, sa saveur originale, et son côté healthy.

L'huile de coco, le gras minceur
Huile et minceur sont deux mots qui a priori ne vont pas très bien ensemble. Pourtant, aussi saugrenu que cela puisse paraître, l'huile de coco constitue une source de lipides très intéressante pour le corps.

Pourquoi ? Parce que les acides qu'elle contient sont très bien métabolisés. En effet, leur structure moléculaire (des triglycérides à chaîne moyenne, les fameux TCM) permettent de passer plus vite dans le sang, donc de ne pas rester stockés sous forme de gras dans le corps. Ainsi, ils fournissent de l'énergie au cerveau, aux muscles et au coeur.

Des graisses qui ne viennent pas se loger sur les fesses donc, nous, on adore !

De plus, l'huile de coco reste figée à température ambiante, donc demeure peu sensible à l'oxydation. On la choisit vierge et bio pour bénéficier de tous ses arômes, ou bio et désodorisée (à la vapeur d'eau) pour profiter de tous ses bienfaits, sans le goût coco.

Le sucre de fleur de coco, un sucre à IG bas
Un sucre un peu brut, légèrement humide, roux, à la saveur un peu caramélisée issu de la sève de la fleur de cocotier et qui présente un index glycémique de 24.5, on dit oui !

La manière dont il est récolté explique quelque peu son coût plus élevé que le sucre issu de la betterave, mais comme vous sucrez moins qu'avant, autant vous octroyer un sucre plus qualitatif.

La noix de coco truffée de richesses

Riche en potassium
"Le potassium est impliqué dans la transmission de l'influx nerveux. Il est aussi essentiel aux contractions musculaires, y compris celles du cœur", nous indique Onmeda.
Et le potassium, la chair de la noix de coco en contient beaucoup.

Riche en magnésium
De même, l'eau ou le lait de coco contenue dans la noix, est une source non négligeable de magnésium et plus largement, de sels minéraux.

Riche en phosphore
Vos os, vos dents et même votre cerveau vous diront merci si vous leur offrez leur dose de phosphore. De plus, le phosphore est un super allié du calcium.

Riche en fibres
La chair de coco fournit aussi une source très intéressante de fibres, assez énergétiques, ce qui en fait une collation prisée.

Du bien à l'extérieur aussi
Vous pouvez également utiliser votre huile de coco pour vos cheveux et votre peau.

Les propriétés anti-bactériennes du coco associées à l'acide laurique contenue dans les acides gras font beaucoup de bien à la peau et aux cheveux, les nourrissant et leur apporter de la vitalité.

De plus la structure même des triglycérides de la graisse de coco permet à ce corps gras de bien pénétrer dans la fibre capillaire.
C'est d'ailleurs un des secrets de beauté des Indiennes, qui n'hésitent pas à s'en enduire les cheveux tous les soirs.

Sans lactose, sans caséine, sans gluten, avec du goût !
Enfin d'un point de vue purement gustatif, la noix de coco fournit une farine sans gluten et un lait sans caséine ni lactose, et apportent une saveur délicieuse.

L'eau de coco en outre permet de se désaltérer en évitant les boissons sucrées, notamment après le sport pour recharger le corps en sels minéraux.

Aujourd'hui, on trouve depuis longtemps des produits au coco de qualité dans les rayons des magasins bio (yaourts de soja au coco, desserts de lait de riz au coco, margarine au coco...), mais le choix dans les magasins d'alimentation de proximité et les supermarchés s'agrandit (eau de coco, yaourts, huile de coco...). Une bonne nouvelle pour les consommateurs !

Notre shopping coup de coeur
Vous trouverez de nombreux produits à base de coco non seulement dans les magasins bio, mais aujourd'hui aussi très facilement, en grande distribution, une variété de l'offre allant des produits frais aux confiseries en passant par la farine de coco.

Cependant, vous pouvez commencer par goûter l'eau de coco, une boisson naturelle très peu sucrée, faible en calories, et riche en sels minéraux. Si au naturel, le goût peu sucré, voire légèrement salé vous dérange, alors vous apprécierez certainement ses versions gourmandes, aux fruits.

Enfin, à l'instar de nombreux diététiciens, nous vous recommandons d'utiliser de l'huile ou graisse de coco pour cuire vos aliments. Une matière grasse aux acides gras très particuliers, qui résiste bien à la chaleur (jusqu'à 180°C, pratique pour les fritures par exemple), et que le corps métabolise mieux que d'autres matières grasses que l'on a pris l'habitude d'utiliser.

Vous apprécierez sa subtile saveur coco avec un blanc de poulet ou un wok de légumes, sinon il est possible de la trouver avec une saveur neutre.





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Une bonne nouvelle pour l’hôpital régional de Diourbel. Heinrich Lubke vient de bénéficier de la mise en place du nouveau centre d'hémodialyse. Un réel soulagement pour les malades qui rallongent les longues listes d'attente au niveau des différentes structures de santé à travers le Sénégal. Financé par le gouvernement du Sénégal, à travers son ministère de la Santé et de l'Action sociale pour plus d'un demi-milliard FCFA, ce nouveau centre d'hémodialyse opérationnel depuis de deux mois, a une capacité d'accueil de vingt postes.


Un nouveau centre d'hémodialyse à l’hôpital de Diourbel

Et peut accueillir quotidiennement jusqu'à quarante patients par deux séries. Qui plus est, ce centre est équipé d'une unité de traitement d'eau permettant de mieux prendre soin des malades. Sauf que ceci n'écarte guère le problème de ravitaillement en cas de coupure d'eau. D'où le plaidoyer du Dr El Hadj Amadou Dieng, directeur de l'hôpital, pour l'implantation d'un forage afin de rendre la structure autonome.

L'autre obstacle souligné par le Dr Binta Sakho, chef de service du centre d'hémodialyse, est lié au déficit en personnel pour une meilleure prise en charge des patients dont l'accroissement du nombre dépend des ressources humaines dispositions pour veiller au bon traitement de ces derniers.
Le vieillissement et la sexualité chez les femmes !
Il n’y a pas de limite d’âge chez les femmes pour pratiquer la sexualité. Bien que les femmes plus âgées puissent prendre plus de temps à devenir excitées, bon nombre trouvent que leur désir s’accroît puisqu’elles n’ont plus à s’inquiéter d’être interrompues par de jeunes enfants ou à se préoccuper d’une grossesse. La plupart des femmes plus âgées, surtout celles qui demeurent actives sexuellement, maintiennent la capacité d’avoir des orgasmes normaux. Mais au fil du vieillissement, le corps de la femme change, ainsi que ses organes sexuels.

Ménopause et lubrification

À la suite de la ménopause, le corps de la femme produit moins d’œstrogènes (hormones féminines). Le faible niveau d’œstrogènes crée des changements physiques qui peuvent affecter l’activité sexuelle. Ainsi, le vagin pourrait prendre plus de temps à se réchauffer et à se lubrifier lorsque vous êtes excitée. Celui-ci devient également moins élastique, rendant ainsi la relation sexuelle moins aisée ou même douloureuse. Certaines femmes évitent même les relations sexuelles parce qu’elles les trouvent moins agréables qu’auparavant.

Vous ne devriez pas avoir à souffrir de relations sexuelles douloureuses simplement parce que votre lubrification naturelle n’est pas suffisante. D’autres moyens existent pour rendre la pénétration aisée et agréable. Bon nombre de pratiques et de produits peuvent permettre de stimuler votre lubrification naturelle : utilisez du lubrifiant. Les lubrifiants sexuels à base d’eau ou ceux spécialement fabriqués pour les femmes plus âgées sont disponibles à grande échelle.

Ceux-ci se présentent sous forme de gel et de suppositoire et devraient être appliqués libéralement sur le vagin juste avant la relation sexuelle. Prolongez les caresses et les jeux amoureux au cours des préliminaires. L’application d’un lubrifiant peut être un formidable ajout aux préliminaires. S’attarder aux préliminaires peut vous rendre plus réactive, intéressée et excitée en ce qui concerne la sexualité. Ayez recours à une lubrification vaginale. Les lubrifiants vaginaux permettent également d’accroître la lubrification et l’élasticité vaginale.

Pratiquez l’activité sexuelle de façon régulière

Plus vous avez des activités sexuelles qui comprennent la pénétration, plus il sera facile de maintenir la lubrification et l’élasticité.

Atténuation du désir

À la suite de la ménopause, le corps de la femme produit moins de testostérones, soit les hormones masculines. La testostérone joue un rôle important dans la création des pensées et de l’excitation sexuelles tant chez les femmes que chez les hommes. La baisse du niveau de testostérones entraîne souvent une atténuation de l’appétit sexuel. C’est normal, mais cela ne veut pas dire que votre désir disparaîtra complètement. Bien que des options d’hormonothérapie substitutive de testostérones ainsi que d’œstrogènes existent, des risques y sont associés. Consultez votre médecin avant d’envisager toute forme d’hormonothérapie.

Une atténuation du désir peut également être liée à un nombre d’autres facteurs, comme la dépression, le stress, la fatigue ou l’utilisation de certains médicaments (par exemple des médicaments pour l’hypertension artérielle et des anti-dépresseurs). Si vous croyez que votre perte de désir sexuel ou celle de votre partenaire est un effet indésirable d’un médicament prescrit, ne prenez pas la décision d’en interrompre l’utilisation par vous-même, parlez-en à votre médecin.

Toutefois, une baisse de désir peut tout simplement dire que vous devez trouver de nouveaux moyens de garder votre vie sexuelle amusante et excitante. En faire une priorité vous permettra d’entretenir votre relation étroite et de rester connectés. Réglez tout problème au fur et à mesure qu’ils se présentent et n’ayez pas peur d’essayer de nouveaux trucs. Bien que la sexualité puisse prendre un peu plus d’effort et d’engagement de la part de chacun des partenaires, ça ne veut pas nécessairement dire qu’elle est moins agréable.

Image corporelle

Certaines femmes ne se sentent pas à l’aise avec la façon dont leur corps vieillit. Elles peuvent penser que leurs nouvelles rides, leurs cheveux gris ou leur gain de poids les rendent moins attrayantes. Cela aura un effet sur leur capacité à rechercher et à apprécier les moments intimes. Si vous luttez contre votre image corporelle, rappelez-vous que votre vitalité, sensualité et désir d’aimer ne s’envolent pas au fil des ans. La passion, envers vous-même et votre partenaire, est toujours une partie importante de votre vie. Et, la passion, envers vous-même, votre partenaire et votre vie, engendre de la passion. L’attirance et la sensualité ne disparaissent pas avec l’âge, elles se modifient.






Auteur: afriquefemme.com

En amont de la Conférence internationale sur le Sida (AIDS 2018) à Amsterdam (22-27 juillet), l’Onusida a présenté son rapport annuel 2018 sur l’état mondial de la pandémie ce mercredi matin. En partenariat avec Coalition Plus, réseau international de lutte contre le sida, l’organisation onusienne tire la sonnette d’alarme. Les services de prévention sont en crise. Les financements se réduisent et une certaine indifférence à la lutte contre le sida s’installe.


Lutte contre le sida: « Nous nous endormons sur nos lauriers »
Le nombre de décès est à la baisse. L'an dernier, 940 000 personnes dans le monde sont mortes de maladies liées au sida (990 000 en 2016), selon les chiffres publiés avant la conférence internationale sur le sida d'Amsterdam (23-27 juillet).

Mais Onusida tire la sonnette d'alarme, tant les chiffres restent inquiétants : en Afrique subsaharienne, trois jeunes filles sur quatre, âgées de 15 à 19 ans, sont concernées par de nouvelles infections.

Les jeunes femmes entre 15 et 24 ans sont deux fois plus susceptibles de vivre avec le VIH que les hommes. Dans certaines régions, les femmes violentées ont une fois et demi plus de risques d'être infectées par le VIH.

40 % des nouvelles infections parmi les populations clefs

Une autre source d'inquiétude pour Michel Sidibé, directeur exécutif de l'Onusida : au moins 40 % des nouvelles infections se produisent parmi les populations clefs, c'est-à-dire les populations à risque : les gays, les personnes qui s’injectent la drogue, les travailleuses du sexe, les migrants. « On n’arrive pas à donner à ces populations le service tel qu’on devrait le faire », regrette-t-il.

Ces populations clefs représentent 16 % des nouvelles infections en Afrique orientale et australe.

Pour Yves Yomb, du Réseau Alliance globale des communautés pour la santé et les droits au Cameroun, cette question d'accès aux services pour les populations à risque s'explique aussi par leur situation précaire :« les gens continuent à être emprisonnés pour le simple fait d’être homosexuels. Quand ils vont à l’hôpital, ils sont étiquetés, et l’accès au soin n’est pas toujours évident pour ces personnes. »

C'est notamment le cas en Russie, où l'épidémie est en train de se généraliser, selon Michel Sidibé. Il pointe du doigt « des lois généralement punitives », qui empêchent « i[de mettre en place des politiques de réduction des risques qui permettraient à ces populations qui s'injectent des drogues, d'avoir accès à des services de santé [...] Ces personnes se cachent et infectent leurs partenaires. »
]i
Un poids socioculturel lourd, selon Yves Yomb. « i[La plupart des personnes [issues de population clefs] préfèrent rester dans le maquis, et ne vont pratiquement pas, ou alors très peu, vers les centres de soin pour se soigner ou pour se faire prendre en charge]i. »

« Il manque 7 milliards de dollars par an »


Dans son rapport, l'instance de l'ONU a également tiré la sonnette d'alarme sur l'insuffisance des financements. «i[ Il manque 7 milliards de dollars par an [...] pour nous permettre de maintenir nos résultats]i », a déclaré à l'AFP Michel Sidibé.

Michel Sidibé a par ailleurs reconnu des insuffisances dans la lutte contre le sida chez les enfants. « Même si on a évité 1,4 million de nouvelles infections chez les enfants depuis 2010, on constate malheureusement que nous n'avons pas fait suffisamment de progrès », a-t-il noté.

Selon lui, plus de 50 % des enfants n'ont pas accès aux traitements, et il y a eu l'année dernière 110 000 décès et 180 000 nouvelles infections. « C'est inadmissible », a-t-il ajouté.

Un risque de rebond de l'épidémie

Après les succès remportés ces dernières années, « nous nous endormons sur nos lauriers et nous faisons face à une crise de la prévention », a estimé le patron malien de l'Onusida, en insistant sur l'importance du financement.

Il craint que la diminution des contributions des bailleurs internationaux n'entraîne une diminution des investissements internes des pays touchés, alors qu' «au moins 44 pays dépendent à 75 % de l'aide internationale pour combattre l'épidémie ».

« Si l'on ne dispose pas de ces ressources, il y a un risque important de rebond de l'épidémie, avec un risque de résistance grandissante et d'augmentation de la mortalité due au sida », a-t-il prévenu.

Un accès aux traitements pour trois séropositifs sur cinq

Aujourd'hui, près de trois séropositifs sur cinq dans le monde - 21,7 millions sur 36,9 millions au total - prennent des traitements antirétroviraux, soit la plus haute proportion jamais atteinte, selon le rapport.

On constate néanmoins une augmentation du nombre de personnes atteintes du Sida : en 2017, 36,9 millions de personnes dans le monde vivaient avec le virus de l'immuno-déficience humaine (VIH), contre 36,3 millions en 2016.





rfi.fr
Vers l’intégration du module ’’sécurité et santé au travail’’ dans les filières classiques de formation
Le Sénégal compte ériger au rang de priorité l’intégration du volet ‘’sécurité et santé au travail’’ dans les filières de formation professionnelle afin de réduire les accidents et maladies professionnelles qui coûtent au contribuable près de 88 milliards de francs par année, a indiqué mercredi le directeur général de la Caisse de sécurité sociale, Assane Soumaré.

‘’Cette formation permettra d’inculquer aux travailleurs les principes, les réflexes, et toute approche systémique permettant d’avoir les connaissances en matière de risques professionnels, et en termes de gestion des risques’’, a-t-il déclaré à l’issue d’une table-ronde dédiée au sujet.

Au total, 30385 d’accidents du travail dont 14560 touchant la tranche d’âge située entre 15 et 35 ans ont été dénombrés au Sénégal entre 2016 et 2017, a-t-on appris lors de cette rencontre organisée par la CSS.


‘’Il faut donc faire de la prévention dès la formation professionnelle et technique au lieu que cela soit fait dans les entreprises’’, a fait valoir Soumaré.

‘’La mise en œuvre de ce projet d’intégration de la formation sur la sécurité et la santé au travail permettra aux travailleurs d’affronter le monde du travail avec une bonne culture de la prévention des risques en entreprise’’, a de son côté réagi Alphonse Ahoua, secrétaire général de l’Interafricaine de la prévention des risques professionnels (IAPRP).

Il a ainsi félicité le Sénégal d’avoir accepté d’adhérer à ce programme régional de coopération technique visant l’intégration de la sécurité et de la santé au travail dans la formation professionnelle et technique.

Le Sénégal a montré son engagement à financer l’intégration de ce module de formation dans ses filières de formation professionnelle. Cela traduit son ambition de réduire les accidents du travail, a laissé entendre Abdou Fall, un membre du cabinet du ministre de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat.




Auteur: APS

L’envie vous prend de courir pieds nus plutôt que d’enfiler vos baskets ? L’idée ? Vous sentir au plus proche du sol et en liberté totale ! Mais quelques conseils de précaution s’imposent pour vivre cette expérience sans encombre.


Courir pieds nus : liberté et précaution !
« Les chaussures ont modifié notre biomécanique de course. Au fil du temps, elles ont grandement diminué la capacité naturelle du pied et du corps à s’adapter au terrain en réduisant la capacité de tension des muscles et des articulations », peut-on lire dans La bible du running. Sans oublier « les capacités élastiques des tendons, en particulier du tendon d’Achille ». Ainsi l’on peut comprendre que certains d’entre nous courent pieds nus pour se reconnecter avec leur corps.

Principaux avantages de la course pieds nus ? Globalement cette pratique « favorise une course naturelle, sans artifice qui viendrait modifier notre nature ». Plus léger, vous vous fatiguez aussi moins vite. Les foulées sont moins amples mais plus fréquentes, le temps d’appui au sol est moindre… de quoi gagner en tonus cardiovasculaire et en aérodynamique. La puissance appliquée à chaque appui s’en trouve augmentée, ainsi que l’activité des fléchisseurs plantaires.

Enfin les blessures liées à la chaussure telles que « les ampoules, les hématomes sous l’ongle et les hallux valgus » sont évitées. Sur le plan physiologique, « ces séances visent à tonifier la musculature des membres inférieurs, la proprioception et la stabilité naturelle, l’élasticité et la résistance des tendons ».

Des risques à prendre en compte

Comme la plupart des sources de plaisir, des précautions sont à prendre si vous courrez pieds nus. Si vous êtes à vos débuts, allez-y progressivement. « La corne naturelle de protection ou kératose a laissé place au fil du temps à un épiderme fin, fragile et sensible. » La peau a donc besoin « de temps pour devenir plus épaisse. Les premières sensations seront plutôt douloureuses au niveau de la peau comme au niveau des muscles et des tendons ».

Commencez donc par des séances classiques avec 5 minutes pieds nus, puis passer à 10 et 15 minutes au fil des semaines. « On estime à 4 années, le temps nécessaire à un athlète pour retrouver son niveau de performance actuel sans chaussures. »

Minimalisme, barefoot…

Pour l’histoire, la course pieds nus, associée au minimalisme, est devenue populaire aux Etats-Unis en 2009, avec la publication de l’ouvrage « Born to run ». Depuis, cette tendance explose même si elle commence « à se tasser à cause du grand nombre de blessures liées à une transition trop rapide depuis la chaussure classique ».

En France, cette pratique est plus connue sous le terme du « courir naturel », concept posé par la référence française en la matière, Frédéric Brossard, auteur du livre « Barefoot et minimalisme : courir naturel"





ladepeche.fr

Le peegasm est la nouvelle pratique sexuelle féminine qui consiste à se retenir d’uriner pour avoir un orgasme une fois que l’on se soulage. Cette pratique n’est pourtant pas sans danger, et comporte de nombreux risques pour la vessie et les reins.


«Peegasm» : la nouvelle tendance sexuelle qui inquiète les médecins
Régulièrement, de nouvelles tendances apparaissent sur internet, et cette fois-ci, il s’agit d’une pratique sexuelle, le peegasm. C’est sur le forum Reddit qu’est née cette mode, suite à un message posté par un utilisateur du site. Il explique que sa petite amie lui a confié que lorsqu’elle se retenait d’uriner pendant une longue période, la jeune femme expérimentait souvent des orgasmes au moment d’aller aux toilettes. En réponse à ce message, quelques femmes affirment avoir vécu des expériences similaires et d’autres expriment le souhait de vouloir essayer, rapporte le site Médisite.

Selon le site IFL Science, la sensation physique de bien-être serait due à la proximité du clitoris et du vagin de l’urètre. Le clitoris serait alors stimulé lorsque que le col de la vessie s’ouvre pour laisser passer un grand flux d’urine. Mais cette pratique représente certains dangers.

Des risques d’infections urinaires

En effet, se retenir d’uriner trop longtemps et trop souvent augmente fortement les risques de souffrir d’infections urinaires en raison des bactéries qui s’accumulent dans l’urine stagnant dans la vessie. Une infection urinaire peut ensuite se diffuser et abîmer les reins. IFL Science rappelle aussi que retenir de grandes quantités d’urine régulièrement, peut aussi affaiblir les muscles de la vessie et ainsi, augmenter le risque de faire de la rétention urinaire en vieillissant. La rétention urinaire se caractérise par l’impossibilité de vider entièrement sa vessie malgré l’envie. Sur le long terme, la pose d’une sonde urinaire peut être nécessaire.

En 2016 , le Dr Olivier Dumonceau, urologue, expliquait à Médiste : « Pour la plupart des gens, on doit uriner une fois le matin et une fois le soir. C'est faux. La moyenne devrait être toutes les 3 heures mais varie en fonction des gens. Il faut y aller dès que l'on a envie sinon on éduque mal sa vessie et on risque des problèmes de fuites urinaires ».

Pratiquer le peegasm comporte donc de nombreux dangers et risque fortement d’endommager la vessie et les reins. Une tendance qui serait donc à bannir.






ladepeche.fr
L'huile de coco: un remède pour soigner et rééquilibrer la flore vaginale
Sachez que les mycoses vaginales n'ont aucun rapport avec l’hygiène d’une personne car souvent causées par un dérèglement de la flore vaginale, à cause des médicaments, un excès de toilette intime, une grossesse...

Voici un remède qui peut vous aider: L'huile de coco est un anti-levure naturel. Elle agit comme un antifongique et antibactérien et peut donc être un remède naturel à utiliser pour lutter contre les mycoses vaginales et autre démangeaison de la vulve. Mettez de l'huile de noix de coco vierge première pression à froid dans une cuillère à café, imbibez du coton stérile les parties infectées 2 à 3 fois par jour jusqu'à la disparition.

Bonus:

Faites un bain de siège ou un bain tout simplement au bicarbonate ou au vinaigre de cidre à faire pendant la crise et dès les premiers symptômes. Ajoutez un demi verre des produits cités dans le bain dans une eau tiède pour permettre de rendre le ph de l'eau neutre. Ce remède va soulager l'irritation.

Attention:

Les mycoses vaginales ont toutes des causes différentes. Le remède peut s'avérer efficace comme le contraire. Chaque personne peut réagir différemment à un traitement. Il faut consulter un gynécologue.







Auteur: Afrique-Femme
 
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