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Santé

And Jappo Suisse a doté de matériels médicaux la région de Kaolack. Le don est composé de matériels
de cardiologie, de réanimation et des lits. Dans la foulée, le ministre de la Santé a annoncé l'inauguration du premier centre d'imagerie médicale du Sénégal dans les jours à venir...


Abdoulaye Diouf Sarr annonce un centre d'imagerie médicale à Kaolack
Ouste, au lit ! Pour les neurologistes, le manque de sommeil est une crise de santé publique
Dans le tumulte de la vie moderne, le sommeil apparaît presque... superflu ! Nuit après nuit, nous escamotons notre repos au profit de tâches plus « urgentes », comme répondre à des mails, envoyer des salves de sms, consulter ses réseaux, enchaîner les séries... La veille sur écran et la pollution visuelle gardent nos yeux grands ouverts.

Or les scientifiques alertent une nouvelle donne : le manque de sommeil est une crise de santé publique croissante qui mérite autant d'attention que l'épidémie d'obésité. Parmi ces voix, on trouve notamment celle du professeur en neurobiologie de l’université de Berkeley, Matthew Walker et du Français Damien Léger qui dirige le Centre du sommeil de l'Hôtel-Dieu à Paris.

Sincere and reverent thanks to the @FinancialTimes for taking a risk on public sleep advocacy: Sleep expert Matthew Walker on the secret to a good night’s rest https://t.co/uS0z4CYA0l
— Matt Walker (@sleepdiplomat) 11 janvier 2019


Dites-moi comment vous dormez...

Et je vous dirais comment vous allez... Les recherches sur le cerveau démontrent que le manque de sommeil a une implication directe sur nos fonctions cognitives et psychologiques. En consultation, les médecins mesurent la pression et le poids, mais beaucoup ne demandent jamais aux patients comment ils dorment. Grossière erreur... Pendant notre sommeil, notre cerveau s’active : élimine ses toxines, trie nos souvenirs complexes et ses cellules se régénèrent. Un mécanisme parfaitement rôdé depuis la préhistoire.

«Quand vous dormez, vous ne trouvez pas de nourriture, pas de partenaire. Pire encore, vous êtes vulnérable à la prédation. S'il y avait une chance de réduire de 10 à 20% de ce temps de sommeil, la Nature l'aurait éliminé par le processus d'évolution» », explique Matthew Walker dans son livre «Pourquoi nous dormons».

Reste qu’aujourd’hui, nous abîmons nous-mêmes ce temps de repos. En France, environ une personne sur trois fait face à des troubles du sommeil (insomnie, apnée du sommeil, hypersomnie, narcolepsie…) et nos nuits ont rétréci d’une heure et demie en cinquante ans, selon l’Institut national de la santé et de la recherche médicale. 7 000 personnes consultent chaque année au sein du Centre du sommeil et de la vigilance de l’Hôtel-Dieu à Paris. 2 000 y sont hospitalisées.

«Avant, il était populaire pour les gens de dire : ‘Je dormirai quand je serai mort. L'ironie, c'est que ne pas dormir suffisamment, peut vous y amener plus tôt ! », relève Daniel Buysse, professeur de médecine du sommeil à l'Université de Pittsburgh.

Plus de siestes !

Le manque de repos pourrait augmenter le risque de développer la maladie d’Alzheimer et de tomber en dépression. A tout âge, il joue aussi sur la qualité de la mémoire. Les petits qui ont appris à jouer à des jeux de mémoire, obtiennent de meilleurs résultats après une sieste que s'ils avaient été maintenus éveillés. Cet été, les chercheuses américaines Tracy Riggins et Rebecca Spencer ont découvert que la sieste aidait à renforcer des souvenirs émotionnels complexes, mais seulement lorsqu'elle était combinée à une nuit de sommeil réparateur.

Des cours qui commencent moins tôt

La recherche est en train de changer la politique dans certains domaines, comme l’école, où il est envisagé de repousser l’heure de début des cours afin de correspondre aux cycles de sommeil des adolescents.

Si le sommeil est « un fournisseur de bonne santé », la recherche se concentre sur son amélioration comme thérapie. Actuellement un gros coup de projecteur se pose sur le bruit rose. Un son avec des fréquences allant de 20 hertz à 20 000 hertz, qui améliore réellement la phase de sommeil profond. Le bruit d’un torrent ou d’une cascade est celui qui se rapproche au mieux d'un bruit rose. Dormir avec ce son aqueux pourrait apaiser bien des nuits agitées !

Somnologue, un métier en plein essor

L’intérêt croissant pour le sommeil se joue aussi en dehors du laboratoire. Le salon National Sleep Foundation, qui se tiendra à Houston en mars, accueillera 200 marques et entreprises et devrait attirer 10 000 consommateurs. Il proposera une large gamme de produits technologiques, y compris des matelas et des dispositifs de suivi du sommeil. une énorme manifestation qui montre que les somnologues ont le vent en poupe !

« La qualité des signaux est comparable à celle d’un enregistrement #polysomnographique standard", Damien Léger, chef du centre du #sommeil et de la vigilance à l’Hôtel-Dieu (Paris)https://t.co/tgNxfiHJH1
— Dreem (@dreem_official) 17 novembre 2017







Le Parisien
Jugé néfaste, le travail de nuit de plus en plus remis en question
Trouble du sommeil ou risque de cancer, les conséquences sur la santé du travail de nuit sont de mieux en mieux connus.

De plus en plus d'entreprises se réorganisent pour contrer les effets sur la santé du travail de nuit, qui vont du simple trouble du sommeil au risque de cancer, affirme l'INRS, qui consacre un dossier à cette question.

Un établissement industriel qui renonce en partie au travail nocturne, un théâtre qui avance l'heure de ses représentations pour éviter que le démontage de la scène ne se réalise nuitamment...

L'Institut national de recherche et de sécurité va illustrer, lors d'une table ronde le 31 janvier, les bonnes pratiques mises en place par un nombre croissant d'employeurs pour épargner la santé des travailleurs. Et en profiter pour rappeler les risques, documentés ces dernières années par plusieurs études dont la dernière, celle de l'agence de sécurité sanitaire Anses à l'été 2016, fait toujours référence.

"Outre les conséquences rapidement visibles" et avérées comme le manque de sommeil, le diabète de type 2 ou l'hypertension artérielle, "des effets peuvent apparaître à long terme", souligne l'INRS dans son dossier de janvier: santé psychique dégradée, obésité ou encore cancer. Voire un "possible risque d'accident vasculaire cérébral" (AVC).

Le nombre de travailleurs de nuit a presque doublé en 20 ans Le meilleur moyen d'éviter ces effets très indésirables? "Ne pas mettre en place le travail de nuit. Ou se demander si c'est vraiment nécessaire", répond à l'AFP Marie-Anne Gautier, médecin du travail et experte de l'INRS qui participera à la table-ronde.

Plus facile à dire qu'à faire, dans un pays où le nombre de travailleurs de nuit a presque doublé en vingt ans. D'après les derniers chiffres disponibles au ministère du Travail, datant de 2014, 15,4% des salariés (dont deux fois plus d'hommes que de femmes) travaillent la nuit. Soit 3,5 millions de personnes. La fin du travail de nuit est impensable dans des domaines qui nécessitent une présence 24h/24, comme chez les pompiers, dans les hôpitaux, les transports...

Alors, même si la loi impose que ce travail dit "atypique" soit "justifié" entre 21h et 6h du matin, l'INRS propose surtout des aménagements qui "sont là pour diminuer l'impact", de l'aveu du Dr Gautier: organiser les tâches en privilégiant les aspects les plus exigeants en début de nuit, puis passer sur des "tâches plus routinières". Faire des micro-siestes, "qui ne servent pas à récupérer de la dette de sommeil mais récupérer en terme de vigilance".

Et, rappelle-t-elle, "quand on travaille de nuit, le jour, c'est pour récupérer!" Des mesures à prendre au sérieux tant les effets liés à la désynchronisation de l'horloge biologique peuvent être graves, abonde la chronobiologiste Laurence Weibel. Le travail de nuit attire par les "avantages" qu'il offre Les risques sont de mieux en mieux cernés y compris pour des maladies graves comme le cancer, détaille cette experte qui avait consacré sa thèse, déjà en 1996, au travail de nuit.

Par exemple, cite-t-elle, l'exposition à la lumière fait cesser la sécrétion de mélatonine, hormone qui joue un rôle de protecteur contre le cancer; le trouble du sommeil influe, lui, sur le système immunitaire, qui permet de tuer les cellules cancéreuses. La prévention, juge Laurence Weibel, se heurte au fait que "les gens trouvent leur compte" dans le travail de nuit, entre la rémunération supplémentaire non négligeable, l'éventuel surcroît de congés et la disponibilité en journée, qui attire notamment de nombreux parents.

Il y a, résume la scientifique pour l'AFP, une "difficulté à faire de la prévention sur un travail dont les effets sont différés dans le temps" mais dont les bénéfices sont immédiats. A moins que le changement ne soit initié par les entreprises. Car si les employés sont attirés par les compensations, les employeurs, eux, pourraient bien l'être par des économies. Au final, sourit Mme Weibel, ce serait "gagnant-gagnant".






afriquefemme.com

L’insuffisance rénale découle de la détérioration graduelle des reins, conduisant à leur dysfonctionnement. En France, ce sont près de 82 000 personnes qui sont touchées par ce mal et qui se voient dans la nécessité d’avoir recours à des traitements de suppléance pour remplacer le travail des reins, indispensable au bon fonctionnement de l’organisme.


Adieu la machine de dialyse : les scientifiques ont créé un rein bionique !
Lorsque les reins ne fonctionnent plus correctement, les déchets ne sont plus évacués, ils s’accumulent dans le sang et la détoxification du corps devient dangereusement déficiente, au point de mettre en danger la vie de la personne touchée si aucun traitement n’est entrepris.

Pour survivre, les malades ont le choix entre trois options. Les deux premières sont des traitements médicaux qui consistent soit en une transplantation rénale, soit en la dialyse, qui permettent d’échapper au danger de mort imminente, sans toutefois offrir aux patients la même longévité que le reste de la population. 

Les scientifiques mettent au point un rein bionique
Parce que la dialyse concerne des millions de patients dans le monde, qu’elle est particulièrement contraignante et que la plupart d’entre eux attend des années avant de recevoir le rein d’un donneur, des chercheurs de l’université de Californie à San Francisco ont fait une avancée médicale spectaculaire en mettant au point le premier rein bionique au monde.

Composé de filtres en silicium et de cellules rénales vivantes, il s’agit d’un rein hybride autonome destiné à être implanté chirurgicalement dans le corps des patients, et qui remplirait le rôle d’un vrai rein en filtrant les déchets et les toxines présents dans le sang et en les évacuant vers la vessie.

C’est le professeur William Fissell qui a lancé le Kidney Project, pour la création d’un rien artificiel adapté au corps humain, comme une solution durable au problème de l’insuffisance rénale de stade avancé dans le monde.

Les symptômes de l’insuffisance rénale 
Voici les principaux symptômes de l’insuffisance rénale. Il est important de les connaître pour être en mesure de les détecter et de réagir au plus vite dans l’éventualité où ils se présenteraient.

— Augmentation ou une diminution du volume des urines 
— Mictions fréquentes la nuit 
— Difficulté à uriner ou apparition de douleurs au moment d’uriner 
— Présence de sang dans les urines, urine mousseuse et foncée 
— Fatigue extrême, incapacité à se concentrer, vertiges, essoufflement 
— Perte d’appétit, nausées, dégoût pour la viande 
— Douleur au dos et sur les flancs

La troisième option
Quoique l’utilité et l’efficacité des nouvelles technologies en matière médicale soient incontestables et que le traitement médical permette de sauver des millions de vies, les moyens naturels de guérison sont malheureusement bien souvent sous-estimés et oubliés, voire abandonnés. 

La troisième solution qu’ont les patients atteints d’insuffisance rénale pour faire face à leur pathologie est de guérir en changeant leur mode de vie du tout au tout et en apportant à leur corps et à leurs reins tous les éléments dont ils ont besoin pour se régénérer. Il est en effet possible de guérir de l’insuffisance rénale et de retrouver des reins fonctionnels, comme le montre une étude menée conjointement par des chercheurs de l’université de Tel-Aviv en Israël et de l’université de Stanford aux Etats-Unis, car les reins sont dotés d’une grande capacité à se régénérer.

Prévenir et guérir l’insuffisance rénale naturellement par l’alimentation
Pour régénérer vos reins, adoptez un mode de vie sain, une alimentation équilibrée et jeûnez.

∙ Consommez une proportion la plus grande possible de fruits et de légumes. Ces aliments sont indispensables à une santé optimale car ils contiennent tout ce dont le corps à besoin pour se construire, se nettoyer et se réparer.

∙ Adoptez une alimentation pauvre en protéines animales. La digestion des protéines produit en effet énormément de déchets. Et plus il y a de déchets à traiter, plus le travail des reins est fastidieux.

∙ Arrêtez la cigarette, l’alcool et la caféine.

∙ Arrêtez les aliments transformés car la plupart d’entre eux sont non seulement nocifs pour les reins mais pour le corps entier et les problèmes de santé dont ils sont à l’origine sont innombrables.

∙ Apprenez à gérer votre stress et à l’atténuer grâce à des techniques de méditation, de tai-chi ou toute activité calmante et relaxante. Le surmenage, le stress et une vie dure favorisent en effet les problèmes de santé en général et peuvent mener à des troubles rénaux. 

∙ Réchauffez-vous et réchauffez vos reins. La chaleur leur est en effet très bénéfique, car elle permet la dilatation des capillaires, l’augmentation du flux sanguin, l’amélioration de la circulation, de l’oxygénation et la régénération.

∙ Soignez-vous grâce aux plantes médicinales telles que le pissenlit, l’uva ursi connue aussi sous le nom de busserole ou la croix-de-malte. 

∙ Pratiquez la thérapie du jeûne. De nombreuses études montrent les bienfaits du jeûne sur la santé en général, sur l’inflammation et sur la fonction rénale en particulier. 






Santé Plus Magazine

Selon les statistiques de l’OMS (l’Organisation Mondiale de la Santé), 4 femmes sur 10 utilisent des produits éclaircissants.


Rwanda: L’utilisation et la vente des produits éclaircissants interdites
Or les effets pervers de ces produits sont nombreux. Même s’ils ne sont pas immédiats, l’utilisation de ces crèmes pourrait provoquer à long terme, le cancer de la peau.

Vu le danger lié à cette pratique, le Rwanda a voté une loi interdisant la consommation des produits éclaircissants sur le territoire.

Une nouvelle qui suscite beaucoup de grogne de la part de certains citoyens du pays. De nombreux utilisateurs estiment que les autorités n’ont pas le droit d’imposer leur vision du monde, quelles que soient leurs raisons.

Selon les témoignages reçus par les médias internationaux, certaines femmes se sentent désabusées face à la nouvelle.

« Je suis très triste du fait que ces produits sont interdits. Nous allons juste utiliser ce qui est disponible ici. Mais les gens qui ont pris cette décision, doivent savoir que ces produits permettent aux femmes de bien se sentir. »

Le gouvernement rwandais inscrit cette décision dans le cadre de l’éducation et de la lutte contre les dangers sanitaires.

« Nous faisons beaucoup d’efforts en termes d‘éducation… Nous faisons des rondes et saisissons les produits illégaux… Nous sommes également en contact avec ces pays qui luttent contre les produits cosmétiques éclaircissants illégaux », explique un responsable gouvernemental auprès de l’AFP.

A l’instar du Rwanda, le Ghana, le Kenya, l’Afrique du Sud et la Côte d’Ivoire sont inscrits sur la liste des pays interdisant l’utilisation des produits éclaircissants.



 

Emeraude ASSAH

Rwanda: L’utilisation et la vente des produits éclaircissants interdites

Hello, Emeraude ASSAH, retrouvez mes actualités en politique, société etc… Mes centres d’intérêts  sont la culture, la lecture,les voyages et autres. La priorité pour moi c’est Dieu, ma famille et mon travail.

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emeraudeassah@Afrikmag.com

Dangers de la consommation d'aloe-vera

Appréciée pour ses vertus aussi bien beauté que santé, l'aloe vera connaît un regain de popularité. Et s'invite en cuisine. Pour autant avant d'en consommer, il faut prendre toutes ses précautions.

Dans les rayons des supermarchés, dans certains médicaments, dans des produits de beauté et même dans des recettes de cuisine : l'aloé vera est partout ! Possédant de nombreuses vertus pour notre santé, la plante gagne à être consommée. Mais pas n'importe comment ! Si on prend peu de risque avec les cosmétiques à base d'aloe vera, l'usage de la plante fraîche, nécessite plus de précautions.

Pourquoi l'aloé vera est dangereuse ?
La Direction générale de la Santé et la répression des fraudes (DGCCRF) a tiré la sonnette d'alarme. La partie externe des feuilles sécrète un liquide jaunâtre, le latex. Son tort ? Un effet laxatif très puissant à l’origine de « multiples effets indésirables largement documentés ». Et ce n'est pas tout, l’Agence européenne de sécurité des aliments (AESA) indique que certains composants du latex sont également susceptibles d’endommager l’ADN et d’être cancérigènes.

Comment consommer l'aloé vera ?
En attendant que l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) évalue les risques associés à un usage alimentaire de feuilles fraîches d’aloé vera ,on peut tout de même consommer la plante. A condition d'être méticuleux.

Par principe de sécurité, on recommande de ne consommer que le gel situé au centre des feuilles (et d’éliminer la partie externe et toute présence de latex). Pour les enfants, les femmes enceintes ou allaitantes et les personnes fragiles, la DGCCRF est encore plus stricte et conseille de bannir totalement l'aloé vera de sa consommation.







magazine-avantages.fr
L'humeur des personnes bipolaires peut être améliorée par le sport
L'activité physique contribue à booster l'humeur et l'énergie des personnes atteintes de troubles bipolaires selon une étude américaine.
 
Bouger est bon pour la santé physique et mentale. Pratiquer une activité physique serait particulièrement efficace pour redonner de l'énergie et améliorer l'humeur des personnes bipolaires.  C'est ce que suggèrent les travaux d'une équipe de chercheurs de l'école de santé publique John Hopkins Bloomberg aux Etats-Unis, parus le 12 décembre dans la revue JAMA Psychiatry.

 L'étude s'est basée sur 242 participants (150 femmes et 92 hommes) âgés de 15 à 84 ans, dont 54 atteints de trouble bipolaire. Leur activité physique a été enregistrée pendant deux semaines à l'aide de capteurs connectés portés aux poignets. Sur cette courte période, les volontaires ont également été invités à évaluer leur bonheur et leur énergie sur deux échelles numériques distinctes.

Les résultats ont mis en avant un cercle vertueux entre exercice physique, énergie et moral. L'augmentation de l'activité physique à un moment de la journée a été corrélée à une amélioration de l'humeur et de l'énergie à un autre moment. Lorsqu'un participant avait plus d'énergie à un instant T, il faisait plus d'exercice physique plus tard. Cette dynamique positive entre le sport, l'humeur et l'énergie était encore plus prégnante chez les personnes atteintes de bipolarité, ont constaté les chercheurs.

UN ÉVENTUEL LIEN ENTRE SPORT, SOMMEIL ET STRESS À ÉTUDIER

 
Ceux-ci espèrent appliquer ces résultats à de futures recherches sur la prévention des épisodes dépressifs et bipolaires.

"Cette étude illustre le potentiel de l'utilisation combinée de capteurs d'activité physique et d'agendas électroniques pour mieux comprendre les inter-relations dynamiques complexes entre plusieurs systèmes dans un contexte réel", explique le Dr Zipunnikov, professeur adjoint au département de biostatistique de la Bloomberg School.

Lui et son équipe ne comptent pas s'arrêter là. Ils comptent à présent se pencher plus particulièrement sur le lien entre activité physique et sommeil, douleur, consommation d'alcool et stress chez les personnes bipolaires.
Quelques conseils pour éviter que votre enfant ne présente un surpoids
La prévention du surpoids et de l'obésité de l'enfant commence dès la naissance et passe par l'acquisition de "bonnes habitudes de vie" qui concernent aussi bien l'enfant que sa famille. Voici quelques conseils pour éviter que votre enfant ne présente un surpoids : -

Allaitez, si possible, votre nourrisson. Outre les qualités nutritionnelles du lait maternel (le lait maternel est riche en graisses et contient une faible proportion de protéines), l'allaitement maternel réduirait le risque d'excès de poids futur chez l'enfant

- Donnez uniquement du lait jusqu'à six mois (allaitement maternel ou lait premier âge) -

Jusqu'à l'âge de 2 ans, l'enfant a besoin d'une quantité suffisante de lipides (ou graisses) pour répondre à ses besoins en énergie et en croissance. Les lipides (ou graisses) ne doivent pas être restreints avant l'âge de 2 ans. En particulier, les laitages allégés qui comportent peu de lipides et une proportion élevée de protéines ne sont pas indiqués avant l’âge de 2-3 ans.

Une restriction des lipides peut programmer le métabolisme du nourrisson pour faire face au déficit, mais cette adaptation le rendra plus susceptible de développer plus tard, un surpoids lorsque les apports lipidiques augmenteront

- Diversifiez l'alimentation, de préférence à partir de six mois, et peu à peu, en stimulant le goût de votre enfant avec des aliments variés. Avant l'âge de deux ans, l'enfant est curieux de nouvelles saveurs et les accepte facilement : profitez-en pour lui faire découvrir une palette de goûts différents

- Proposez à votre enfant une alimentation équilibrée

- Donnez-lui l'habitude d'une activité physique régulière

- Limitez ses activités sédentaires








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Bébé est toujours enrhumé ? Les réponses à vos questions
Bébé respire mal, vous réveille la nuit, est grognon toute la journée ? Vous n'en pouvez plus de tous ces rhumes qui se succèdent sans répit depuis le début de l'automne. Et pourtant, votre meilleure alliée, c'est la patience. Le Dr Pierre Popowski, pédiatre, répond à vos questions.

Un rhume est-il inquiétant ? Le rhume n'est pas une maladie, c'est seulement le signe que votre petit vient de rencontrer un nouvel agresseur (virus) qu'il est en train de combattre. C'est ce qui lui permet peu à peu de fabriquer ses propres défenses. Certains enfants ont ainsi besoin de faire une centaine de rhinopharyngites pour s'immuniser contre les germes habituels. Jusqu'à ce que leur système immunitaire arrive à maturité, vers l'âge de 7 ou 8 ans. Vous pouvez attendre 2 à 3 jours avant de consulter le médecin, même si votre enfant a 39,5°C de fièvre. A condition qu'il n'y ait aucun autre signe inquiétant.

Souvent la fièvre retombe toute seule et le rhume est déjà en voie de guérison. Découvrez-le pour faire baisser sa température, laissez-le par exemple en body ou même en couche, allongez-le au calme, dans une pièce chauffée à 20°C maximum et donnez-lui souvent de l'eau à boire pour éviter qu'il ne se déshydrate.En revanche, consultez un médecin si votre bébé de moins de 3 mois est fiévreux, si votre enfant a un comportement inhabituel (geignard ou abattu) ou d'autres symptômes associés (vomissements, diarrhée, éruption?).

Car le rhume peut se surinfecter et provoquer otite, bronchite ou bronchiolite. Les causes du rhume Chez les tout-petits, les poussées dentaires sont le plus souvent à l'origine des rhumes que les virus. Le nez coule, l'enfant bave, les fesses sont irritées : un tableau malheureusement banal durant la première année d'un bébé.

Si votre enfant a plus d'un rhume par mois tout au long de l'année, le médecin va rechercher une cause médicale : une allergie respiratoire ou un reflux gastro-oesophagien (remontées acides de l'estomac), notamment. Dans le premier cas, des tests de sensibilisation aux acariens ou aux pollens peuvent être réalisés par un allergologue à partir de l'âge de 2 ans.

Dans le second, une fibroscopie oesophagienne ou une mesure de l'acidité gastrique (pH-métrie) permettront de confirmer le diagnostic et de prescrire un traitement médicamenteux. Comment puis-je soulager mon enfant de son rhume ? Donnez-lui du paracétamol s'il a beaucoup de fièvre.

Pour un tout petit, la meilleure façon de l'aider à respirer est de procéder à un lavage de nez. Il faut maintenir la tête de bébé sur le côté, de profil, et placer l'embout du pulvérisateur ou de la pipette de façon perpendiculaire au visage, dans la narine supérieure. Si son nez n'est pas bouché, n'en faites pas un geste d'hygiène quotidienne sinon ces solutions salées risquent d'irriter les muqueuses et d'envoyer les glaires dans l'arrière-gorge, répandant ainsi l'infection jusque dans les bronches. Tant qu'il ne sait pas se moucher seul, vous pouvez aussi aspirer les mucosités avec un mouche-bébé. Mais vous n'aspirerez pas le mucus en profondeur.

Lorsque l'enfant est plus grand, apprenez-lui à se moucher en soufflant une narine après l'autre. Placez à sa disposition des mouchoirs en papier qu'il jettera après chaque utilisation et expliquez-lui aussi qu'il doit toujours se laver les mains. Tant qu'il ne sait pas se moucher seul, aspirez les mucosités avec un mouche-bébé.

L'homéopathie est-elle recommandée? Il semble bien que les granules rendent l'organisme plus résistant, limitent la fréquence des rhinos et par là même diminuent le risque de surinfection. Les principaux remèdes sont Thuya, Calcareacarbonica, Chamomilla ou Nuxvomica, selon les symptômes et le « terrain » de votre enfant.

L'alimentation joue-t-elle un rôle en matière de prévention du rhume ? Une carence en fer rend plus fragile et donc plus sujet aux infections, ORL notamment. Elles sont plus fréquentes chez les enfants végétariens et les bébés nourris au sein, car le lait maternel est très pauvre en fer. Une simple prise de sang pour doser la ferritine permet de confirmer le diagnostic. Dans ce cas, du lait infantile, systématiquement enrichi en fer, ou 30 g de viande rouge deux à trois fois par semaine suffisent souvent comme traitement.

Sinon, le médecin peut prescrire une supplémentation en fer sous forme de sirop. Faut-il lui faire retirer les amygdales et les végétations en cas de rhume ? L'ablation des amygdales (amygdalectomie) peut être utile et efficace chez les enfants qui ont plus de 6 angines par an, ou encore lorsque ces affections à répétition provoquent des pauses respiratoires ou un ralentissement de la croissance. Quant à l'ablation des végétations (adénoïdectomie), elle est recommandée pour traiter les enfants qui ont le nez bouché en permanence, des végétations énormes ou qui font des otites à répétition.






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Tu viens d’accoucher, et tu as sûrement remarqué ce léger petit détail: un bébé n’est pas livré avec son mode d’emploi. C’est nul, mais c’est comme ça. Ton nourrisson hurle, alors qu’il est propre, nourri et suffisamment reposé ? Cherche pas, c’est probablement des coliques. Ce mal de bide horrible pour eux, peut se soulager avec quelques astuces, qui marchent en fonction des bébés (sinon c’est trop facile).


Top 10 des astuces pour calmer les coliques du nourrisson, un truc vraiment pas cool
1. Le tenir sur ton avant-bras
Essaye de le porter sur ton avant-bras, ventre contre ta peau, les bras et les jambes tombant de chaque côté, en te baladant dans l’appartement. La pression de ton bras sur son ventre peut le soulager pendant un moment.

2. Faire attention à ce qu’il n’avale pas trop d’air en mangeant
Si tu allaites, fais le plutôt à la verticale qu’à l’horizontale, et si tu lui donnes le biberon, fais bien attention à ce que la tétine soit remplie de lait, et pas à moitié d’air. Ça évite qu’il en ingère trop, et que plein de rots se coincent dans son estomac.

3. Lui masser le ventre
Allonge-le sur le dos, et masse son petit ventre en faisant des cercles, dans le sens des aiguilles d’une montre. Vas-y mollo hein, pas besoin de rentrer tes doigts dans son abdomen, juste une petite pression peut suffire à le soulager.

4. L’homéopathie
Chamomilla ou Colocynthis, quelques granules tous les jours diluées dans un peu d’eau peuvent vraiment le soulager. N’hésite pas à demander conseil à un homéopathe qui pourra te donner le dosage et le traitement adapté.

5. L’ostéopathie
Technique assez controversée, les séances d’ostéopathie peuvent vraiment soulager ton nouveau-né. Les manipulations aident à faire sortir l’air qui ne trouve pas la sortie, et à repositionner les organes qui ne sont pas encore bien à leur place.

6. Le faire roter
Il ne faut pas hésiter à insister un peu à la fin du repas de ton bébé pour qu’il sorte un bon gros rot sonore de poivrot. Comme dit Shrek: « il vaut mieux que ça soit dehors que dedans ».

7. Calmos sur le lait de vache
Le lait de vache est difficile à digérer pour les adultes, alors pour nouveau-né, c’est encore pire. Si tu allaites, calme ta propre consommation de lait de vache (yaourt, fromages, etc), ça pourrait aider.

8. Les probiotiques
Lactibiane est ton ami. Oui, ça coûte à peu près le prix d’un rein, mais ça aide vraiment à endurcir son système digestif, qui en chie un peu depuis qu’il est confronté aux bactéries de son nouveau monde. Une petite cure ne peut pas faire de mal.

9. Le portage
Allez, c’est le moment de te trimballer toute la journée avec ton bébé contre toi, dans un porte-bébé ou une écharpe de portage. Blotti contre toi, à la verticale, ses coliques vont considérablement se calmer.

10. Le pédalo
La technique du pédalo consiste à mettre ton bébé sur le dos, et à le faire faire pédaler dans le vide avec ses jambes en exerçant une légère pression sur son ventre. Il y a plein de vidéos qui montrent comment faire, et tu vas pouvoir entendre tous les pêts coincés sortir un par un, et donc soulager ton nouveau-né.








Topito
Courage, force et honneur: les coliques, c’est vraiment pas facile, mais c’est pas éternel. Et puis après, ça sera les dents, youpi.
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