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Santé
Qu'est-ce que l'hypertension artérielle ?
L'hypertension artérielle est un trouble cardiovasculaire fréquent. Elle concerne plus de 10 millions de personnes en France. Habituellement, la tension - la pression du sang dans les artères - se situe à environ 12/8 cmHg (centimètres de mercure). 

Le premier chiffre, correspond à la tension artérielle mesurée pendant la phase de relâchement du cœur (pression diastolique). Le deuxième chiffre, à la mesure prise lors de la phase de contraction du cœur (pression systolique).

La tension artérielle varie au cours de la journée (découvrez ici comment la prendre à la maison). En situation de stress ou d’émotion intense, elle s’élève naturellement. Quand la tension reste élevée en permanence, au-delà de 14/9 cmHg, on parle d’hypertension artérielle. 

Non traitée, l’hypertension peut provoquer de nombreuses complications : AVC, infarctus, insuffisance cardiaque  ou rénale, rétinopathie, artériosclérose, troubles érectiles…
Dans 90 % des cas, on ne connait pas la cause de l’hypertension. Mais on sait qu’interviennent l’âge, l’hérédité, le manque d’exercice ou encore le surpoids… Plus rarement, l’hypertension est secondaire à une maladie ou à la prise de médicaments (anti-inflammatoires, bronchodilatateurs…).

Pendant une grossesse, de l’hypertension peut aussi apparaître. On parle alors d’hypertension "gravidique". Cette hypertension doit être surveillée car elle peut provoquer des problèmes à l’accouchement.

Quels sont les symptômes de l’hypertension ? 
L'hypertension artérielle ne s’accompagne, en général, d’aucun symptôme c’est pourquoi on parle d’elle comme d’un "tueur silencieux". Un tiers des personnes hypertendues ignore leur état. Chez les personnes présentant une hypertension, on peut toutefois remarquer certains signes  :
  • Palpitations
  • Fatigue, somnolence
  • Vertiges
  • Troubles de la vue (mouches devant les yeux)
  • Nervosité
  • Maux de tête
  • Bourdonnements d’oreille
  • Saignements de nez
  • Nausées voire vomissements
  • Engourdissements ou fourmillements dans les mains et les pieds

Qui n’a jamais été frappé par une irrépressible envie de vomir pendant un long trajet en voiture, en car, ou pire, en bateau ? Le mal des transports est une belle saloperie qui fait des milliers de victimes parmi les voyageurs chaque année. Heureusement, la résistance s’organise pour faire face à cette menace et rêver d’un monde sans sac à vomi glissé devant le siège.


Top 10 des astuces pour lutter contre le mal des transports, le vomi c’est pas gentil
1. Limitez votre activité visuelle
Même si ça permet de passer le temps, évitez tout ce qui est lecture, jeux vidéo etc. La faute à votre cerveau qui reçoit deux signaux contradictoires. Celui de l’oreille interne qui l’informe que le corps se déplace, et celui des muscles qui de leur côté affirment au contraire qu’ils se la coulent douce et qu’il n’y a strictement rien à faire. Le cerveau estime alors que l’organisme est sous l’emprise d’un poison… et déclenche une bonne vieille nausée pour s’en débarrasser rapidos. Et c’est un neurologue qui le dit !

 


2. Placez un bouchon dans une oreille
Ça a l’air complètement con de prime à bord, mais faites-moi confiance, le bouchon d’oreille pour éviter le mal des transports est super efficace. Le principe est simple, s’enfoncer un truc dans l’oreille opposée à la main avec laquelle on est censé être le plus habile. L’oreille gauche pour un droitier donc, et inversement. Cela permettrait de rééquilibrer le liquide interne de l’oreille responsable des vertiges. Une astuce testée et approuvée sur un trajet de 8h dans un train à remous entre Hanoï et Sapa…

 


3. Bien choisir sa place
Dans une voiture ou un bus, les places à l’avant sont souvent prises d’assaut et pour cause : le fait de voir la route permet de limiter les risques de mal des transports. Si ces places sont déjà prises, rabattez-vous sur celles du milieu où vous ressentirez moins les mouvements du véhicule que si vous trouvez assis juste au dessus d’une roue. Idem en bateau, où les places au milieu sont recommandées pour éviter d’être trop chahuté… Par contre pour vomir par la fenêtre, c’est nettement moins pratique !

la fenêtre, c’est nettement moins pratique !

4. Anticipez les mouvements du véhicule
Même si vous n’êtes pas au volant, ou au gouvernail du bateau, faites comme vous étiez le pilote en mimant ses mouvements et en anticipant les trajectoire. Certes, vous aurez l’air un peu bizarre, mais votre cerveau lui, se sentira nettement mieux. La preuve : vous avez déjà vu un conducteur avoir le mal des transports ? NB : marche aussi si vous n’avez pas le permis !

 



5. Mâchez du gingembre
Si vous avez déjà vu du gingembre en racines, vous savez que ça ne sera pas une partie de plaisir. Heureusement, il existe des chewing-gum qui font parfaitement le job. Le gingembre serait en effet utilisé depuis longtemps par les navigateurs chinois pour les aider à lutter contre le mal de mer… Allez savoir pourquoi on a envie de leur faire confiance.
 

confiance.


6. Mettez un bouquet de persil autour du cou
Les grand-mères sont de grandes déconneuses. Parmi les remèdes qu’elles ont refilé en se marrant à leurs marmailles, celui du bouquet de persil autour du cou (ou dans le soutien-gorge pour mesdames) pour lutter contre le mal des transports, est du très très haut niveau. Dernier détail, il faut que le persil soit frais évidemment.

 


7. Appuyez sur un point acupuncture au niveau du poignet
Il existe des bracelets vendus en pharmacie et dotés d’une petite bille qui appuie sur ce point. Si vous n’en avez pas sous la main, vous pouvez vous débrouiller avec la votre, de main… Le point P6 se situe à trois largeurs de doigts –index, majeur et annulaire – du pli de votre poignet vers le coude, entre les deux tendons de la face interne de l’avant-bras (côté paume de main). Massez pendant 5 minutes à cet endroit à l’aide de mouvements circulaires avec l’ongle et le bout du doigt en vous calant sur votre respiration et en appuyant sur l’expiration. Matez cette vidéo pour mieux comprendre comment ça fonctionne.

vidéo pour mieux comprendre comment ça fonctionne.

8. Shootez-vous avec de l’huile essentielle de citron
Il paraît que l’huile essentielle de citron calme le système nerveux en grande partie responsable des nausées, tout en diminuant les mouvements de l’appareil digestif. Deux possibilités pour prendre votre dose : déposer une ou deux gouttes sur un morceau de tissu et respirer calmement à chaque début de crise, ou les verser sur un sucre à sucer (interdit aux enfants de moins 7 ans et aux femmes enceintes, dans tous les cas, renseignez-vous au préalable sur les doses à respecter).

 

9. Évitez les mauvaises odeurs
Que ce soit le tabac, l’alcool, la transpi ou autres manifestations olfactives corporelles, les mauvaises odeurs ont tendance à renforcer, voire dans certains cas, à provoquer le mal des transports. Une bonne raison, d’ouvrir la fenêtre si vous ne vous sentez pas dans votre assiette… ou si vous sentez que celle-ci risque de finir sur vos pompes.

 


10. Collez-vous un patch de scopolamine derrière l’oreille
Ça se colle six à douze heures avant de partir et on est censé le garder tout au long du trajet. Son efficacité dure environ 72 heures, ce qui devrait vous permettre d’arriver à bon port sans trop de problèmes. Bien lire la notice avant quand même, les précautions d’emploi et contre- indications sont longues comme mon bras… qui est paraît-il, plutôt impressionnant!
 







Source : e-sante.fr
L'orgasme est-il forcément clitoridien ? Alors l’orgasme vaginal, ça existe ou pas ?
 
  • "J'ai entendu dire que l'orgasme vaginal était un mythe et que le plaisir ne pouvait être provoqué que par le clitoris. Pouvez-vous m'en dire plus ?" demande Véronique, 49 ans, au Dr Catherine Solano, médecin sexologue et andrologue (hôpital Cochin, Paris)
  • Votre question est toujours d'actualité ! Nul ne sait complètement y répondre. En réalité, tout est plus complexe que ce que l'on en dit et il existe plusieurs théories sur l'orgasme féminin.
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  • Quels sont les différents types de zones érogènes chez les femmes?
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  • Ce qui est certain, c'est que le clitoris est au centre du plaisir. Son gland, qui est extérieur, correspond au gland du pénis. C'est donc, chez la femme, la zone du corps la plus érogène et la plus sensible aux stimulations érotiques. Malheureusement, bien des hommes semblent l'ignorer, parfois totalement, parfois à moitié !
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  • LE CLITORIS, LE CENTRE DU PLAISIR CHEZ LA FEMME
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  • Disons que l'on peut identifier trois catégories d'hommes :
  • Ceux qui imaginent que les stimulations les plus efficaces pour eux le sont également pour leur partenaire.
  • Ils ont donc tendance à se focaliser sur la pénétration. Ils font des mouvements de va-et-vient rapides et puissants car c'est ce qui est le plus stimulant pour eux. Or, pour une femme, c'est rarement ce qui procure le plus de plaisir. D'où la surprise de certaines jeunes femmes lors des premières relations sexuelles, qui peuvent se demander : « C'est seulement ça dont on parle tant ? ».
  • Deuxième catégorie d'hommes, ceux qui savent que le clitoris est important pour une femme. C'est un progrès immense, pourtant il est souvent insuffisant.
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  • En effet, ces hommes pensent parfois que le clitoris compte...mais qu'il est surtout un starter destiné à stimuler la femme pour faire monter son excitation avant la pénétration. Ils ne le considèrent donc pas réellement comme un centre de plaisir, mais plutôt comme un accessoire aidant au plaisir.
  • Enfin, la troisième catégorie, plus rare, a compris que le clitoris était aussi important pour une femme que le pénis pour un homme. Ces hommes-là s'occupent du clitoris, et pas seulement au cours des préliminaires.
  • Même si une femme a des orgasmes clitoridiens, son vagin y participe toujours.
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  • ALORS, L'ORGASME VAGINAL, ÇA EXISTE... OU PAS ?
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  • Concernant le plaisir vaginal, on sait qu'un tiers des femmes peuvent avoir des orgasmes provoqués par les mouvements de va-et-vient du pénis. Ce n'est donc certainement pas un mythe ! Ceci étant, les sexologues pensent de plus en plus que les jouissances dites vaginales sont peut-être obtenues par la stimulation interne des racines profondes du clitoris, c'est-à-dire les bulbes clitoridiens entourant le vagin.
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  • D'autre part, certaines femmes ont des orgasmes plutôt clitoridiens facilités par les stimulations à l'intérieur du vagin. À l'heure actuelle, plusieurs théories estiment qu'il n'existe qu'un seul orgasme, même s'il peut avoir différents points de départ : le gland du clitoris, ses racines superficielles ou ses racines profondes, parfois même les seins ou toute autre zone très érogène pour une personne donnée.
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  • Quoi qu'il en soit, même si une femme a des orgasmes clitoridiens, son vagin y participe systématiquement. En effet, le propre de la jouissance, au-delà du plaisir bien sûr, ce sont les contractions rythmiques et involontaires de l'ensemble de la zone sexuelle. Au cours d'un orgasme, quelle que soit son origine, le vagin se resserre donc plusieurs fois. On peut alors affirmer que ce dernier est toujours un effecteur du plaisir suprême, même lorsque le clitoris en est le déclencheur...
  • Source Topsanté

INFLUENCE - La science avait déjà démontré une baisse du nombre de spermatozoïdes due à la consommation de cannabis. Mais selon une étude publiée dans la revue Epigenetics, elle pourrait aussi "reprogrammer" le sperme en modifiant la manière dont s'expriment les gènes du fluide.


Fumer du cannabis pourrait "reprogrammer" le sperme et créer des spermatozoïdes mutants
Des spermatozoïdes mutants. C’est ce qu’engendrerait la consommation de cannabis selon une étude publiée le 18 décembre dans la revue Epigenetics. En étudiant les effets de cette drogue sur des rats puis sur vingt-quatre hommes de 18 à 40 ans, une équipe de scientifiques de Duke University, en Caroline du Nord (Etats-Unis), a constaté une altération du sperme avec une "reprogrammation" des gènes de son ADN.

Pour leurs travaux, les chercheurs ont comparé le sperme de deux groupes de rats : l'un s'étant fait administrer du tetrahydrocannabinol (THC), la molécule active du cannabis, et l'autre non. Ils ont ensuite comparé le sperme d'un groupe d'hommes qui fumaient de la marijuana de façon hebdomadaire à un autre qui n'en avait pas fumé plus de dix fois au cours de leurs vies et pas du tout, les six derniers mois. Chez les rats comme chez les humains, il s'est avéré que la marijuana avait changé la façon de fonctionner des gènes dans les cellules du sperme.

Des résultats à approfondir

Cette modification est en fait de nature épigénétique. Autrement dit, ce ne sont pas les gènes eux-mêmes qui ont changé, mais leur façon de s'exprimer. Ils sont "reprogrammés". Et l'un des changements d'expression concerne, indique l'étude, la lutte contre les tumeurs cancéreuses. Cela ne signifie pas pour autant qu’un enfant né de ce sperme sera plus vulnérable au cancer, précise The Verge qui relaye l'étude.

Susan Kay Murphy, professeure de gynécologie à Duke University et co-auteur de l’étude, insiste sur le fait que ces travaux, qui visaient seulement à voir si le cannabis avait de quelconques effets sur le sperme, ont été menés sur un faible échantillon de volontaires pour lesquels la concentration inhalée de THC, molécule active du cannabis, n’a pas été mesurée. Ils devront désormais être approfondis.

Les scientifiques ont seulement noté une augmentation des effets corrélée avec un taux plus fort de THC relevé dans les urines des participants. "Je veux être très prudente sur le fait que les résultats obtenus ne soient pas interprétés autrement que la façon dont ils doivent l’être", souligne la chercheuse auprès de The Verge. "Cela n’a pas pour but d’effrayer les gens. Notre objectif global est d’apprendre davantage sur la biologie et les effets que la consommation de cannabis pourrait avoir."





LCI
La taille des doigts détermine l'orientation sexuelle chez les femmes
Les femmes dont l'index gauche et l'annulaire sont de longueurs différentes sont plus susceptibles d'être lesbiennes, selon une étude. Les scientifiques ont mesuré les doigts de 18 paires de jumeaux identiques de sexe féminin, dont l'une était hétérosexuelle et l'autre gay. En moyenne, les lesbiennes, mais pas les jumelles du même œuf, avaient des index et des annulaire de tailles différentes, typiquement un trait masculin, mais seulement sur la main gauche. Cela pourrait être le résultat d'une exposition à plus de testostérone dans l'utérus, selon les chercheurs de l'Université d'Essex.
Les scientifiques ont également mesuré les doigts de 14 paires de jumeaux identiques de sexe masculin, dont l'un était hétérosexuel et l'autre gay, mais n'ont trouvé aucun lien. Les hommes et les femmes ont été exposés à l'hormone "mâle", la testostérone, dans l'utérus - mais certains peuvent être exposés plus que d'autres, selon les scientifiques.
L'auteur de l'étude, Dr Tuesday Watts, du département de psychologie de l'Université d'Essex, a déclaré que "les jumeaux identiques, qui partagent 100 % de leurs gènes, peuvent avoir des orientations sexuelles différentes, des facteurs autres que la génétique doivent expliquer ces différences".
"Les recherches suggèrent que notre sexualité est déterminée dans l'utérus et dépend de la quantité d'hormone mâle à laquelle nous sommes exposés ou de la façon dont notre corps réagit à cette hormone".
"Les personnes exposées à des niveaux élevés de testostérone étant plus susceptibles d'être bisexuelles ou homosexuelles".
"En raison du lien entre les niveaux d'hormones et la différence de longueur des doigts, regarder les mains d'une personne pourrait fournir un indice sur sa sexualité."
Les résultats sont publiés dans Archives of SexualBehaviour.
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Des chercheurs mettent au point un pansement à électrodes qui génère des stimulations électriques sur les blessures, leur permettant de guérir plus vite. La première phase de l’expérience est un succès, avec la cicatrisation d’une plaie qui peut prendre trois jours au lieu de 14 dans certains cas.


Des pansements qui génèrent de l’électricité pour guérir plus vite

Nous savions déjà que les stimulations électriques favorisaient la guérison des blessures et une cicatrisation plus rapide, des chercheurs ont mis ce savoir en pratique en mettant au point des pansements générant d’eux-mêmes de l’électricité. Appliqués sur une plaie, ils permettent ainsi une régénération plus rapide des tissus. Pas de quoi devenir des Wolverine en puissance, mais de raccourcir très efficacement la période de rétablissement (de 14 jours à 3 jours pour un certain cas).

Bientôt des pansements électriques dans les hôpitaux ?

L’équipe de scientifiques, composée d’Américains et de Chinois, a mené avec succès des tests sur des souris rapporte l’étude, publiée par ACS Nano. La prochaine étape est désormais de réaliser des expériences sur les porcs. Si elles s’avèrent concluantes, on pourra alors passer aux expérimentations sur l’humain. Les composants nécessaires à ces pansements d’un genre nouveau laissent la possibilité d’une production et d’une commercialisation de masse à terme. On pourrait donc bien en trouver dans les hôpitaux et les pharmacies d’ici quelques années.

Les petites électrodes présentes sur le pansement créent une faible intensité électrique qui stimulent les cellules de la peau. Celles-ci s’activent alors et sont deviennent bien plus rapides qu’en temps normal. Pour l’instant, la nécessité d’un nano-générateur qui déclenchent l’action des électrodes rend le système encore peu pratique pour les particuliers, mais une solution pour alléger le procédé est aussi en cours d’étude.






Phonandroid

 

 

 
Les produits cosmétiques sont responsables de la puberté précoce chez les jeunes filles
Une récente étude réalisée par l'université de Berkeley en Californie prouve qu'il existe un lien entre les composants chimiques de nos cosmétiques et la puberté précoce des jeunes filles.

C'est prouvé, les produits chimiques présents dans nos cosmétiques ont une mauvaise influence sur notre corps. Selon une récente étude américaine menée par l'université de Berkeley en Californie et publiée dans Human Reproduction, les composants chimiques tels que les phtalates, les parabens ou les phénols auraient un impact négatif sur le développement hormonal des jeunes filles et seraient donc responsables de leur puberté précoce.

Pour en arriver à de telles conclusions, les chercheurs ont effectué des tests d’urine sur plusieurs femmes enceintes afin d'étudier le taux de phtalate, de parabène et de phénol, trois substances chimiques que l’on retrouve dans un grand nombre de cosmétiques et dans de nombreux produits d’entretien. Si les phtalates sont utilisés pour créer nos parfums et nos déodorants, le parabène et le phénol se retrouvent dans la quasi-totalité de nos produits de soin et de maquillage. Un constat alarmant qui justifie notamment ce regain d'attention des femmes pour les cosmétiques d'origine naturelle.

Des règles et des poils pubiens qui apparaissent plus tôt

Ces composants chimiques peuvent tous être à l’origine d'une puberté précoce et ce dès le plus jeune âge, puisque les plus graves conséquences se formeraient dès les premiers mois de grossesse de la mère. D'après les chercheurs, à chaque fois que la dose de phtalate était doublée, le développement des poils pubiens chez une jeune fille arrivait un mois et trois semaines plus tôt que l'âge moyen. Quand la base de triclosan (type de phénol) était doublée, en comparaison à un indicateur de base, les menstruations arrivaient un mois plus tôt que la moyenne.

Résultat : les recherches ont permis de découvrir que les jeunes filles exposées à ces trois produits chimiques étaient plus susceptibles d'avoir une puberté précoce. Ce sont notamment les filles dont les mères avaient le plus fort taux de phtalate, de diéthyle et de parabens, qui présentaient le plus gros risque d'une puberté avancée. Mesdames, un grand tri dans vos salles de bain s'impose !







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Les végétariens seraient plus sujets à la dépression
Une étude, menée sur plus de 15 000 volontaires par des chercheurs espagnols de l'université de Las Palmas pendant 10 ans, démontre qu’une alimentation riche en fruit et légumes et noix parviendrait à protéger contre la dépression. Par contre, l’étude révèle également que les végétariens seraient plus sujets à faire des dépressions.

Un lien entre alimentation et dépression
Les consommateurs s’en doutaient, les scientifiques l’ont confirmé. Verdict, les participants qui durant cette expérience ont suivi un régime méditerranéen (beaucoup de légumes, de fruits, d’huile d’olive, de poisson et peu de viande) ont consommé moins d’antidépresseur que les autres.

Selon celle-ci, les amateurs de poissons et de crustacés voient le risque de faire une dépression baissée de 17 % par rapport à ceux qui n’en mangent jamais.

Un constat qui semble être confirmé par une autre étude américaine cette fois. Selon celle-ci, les amateurs de poissons et de crustacés voient le risque de faire une dépression baissée de 17 % par rapport à ceux qui n’en mangent jamais.

Reste deux inconnus, quelle est la quantité optimale à consommer et quel est le type de poissons à privilégier, les scientifiques n’ont pas fini de scruter nos assiettes.







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Péridurale, épisiotomie, forceps, césarienne... ce que les femmes détestent !
Péridurale ou accouchement dans la douleur ? Césarienne ou voie basse ? Episiotomie ? Forceps ? Forum Santé fait le point sur toutes ces questions qui empêchent les futures mamans de dormir et de faire de l'accouchement le plus beau jour de leur vie.

Accouchement par voie basse ou naturelle
C’est la méthode traditionnelle. L’accouchement par voie basse ou par voie naturelle, c'est l'expulsion du bébé à travers les voies génitales, à la fois par les contractions utérines et de puissantes contractions abdominales (le fait de "pousser"). C'est ce que souhaite la plupart des mamans mais ce n'est pas toujours possible.

Pour préserver la maman d'un accouchement difficile et douloureux pour elle et son bébé, il arrive qu'on procède par des méthodes moins naturelles. Ce n'est pas pour autant qu'il faut angoisser. Ces autres types d'accouchement ont souvent pleins de côté positifs et parfois, quand on y réfléchit, on en viendrait presque à redouter un accouchement naturel.

Accouchement par césarienne
L’accouchement par césarienne est généralement pratiqué en urgence. Elle peut être également programmée en fonction de vos convenances, de la taille de votre bébé et de vos antécédents en matière de grossesse.

Si elle est planifiée, votre accouchement par césarienne se déroule beaucoup plus rapidement qu'un accouchement naturel. Vous pouvez vous organiser pour en faire profiter toute votre famille également. En moins d'une heure, vous retrouvez votre enfant sans avoir vécu la douleur, les contractions qui n'en finissent pas et l'épisiotomie. Autres avantages : l’incontinence urinaire et fécale est fortement réduite, les fonctions sexuelles sont moins affectées au cours des trois premiers mois et au bout de deux mois, tous les signes de l’opération disparaissent.

Accouchement au forceps, ventouse, spatule
L’accouchement au forceps est fait grâce à des instruments dits d'extraction utilisés lors d'un accouchement, pour dégager plus facilement la tête de l'enfant et accélérer l'expulsion. La ventouse facilite l’expulsion en améliorant la flexion et la rotation de la tête du bébé et les spatules permettent de guider le bébé vers la sortie.

Rassurez-vous, la bosse créée au moment de l’aspiration se résorbe très vite d'elle-même et votre enfant n’a pas mal du tout. Quant à vous, n'ayez aucune crainte, vous ne souffrirez pas de l’utilisation de ces outils tout simplement parce que leur usage se fait sous péridurale. Ce type d'accouchement est fait de façon exceptionnelle.

Accouchement avec ou sans péridurale ?
L’idée qu’une femme n’a pas d’autre alternative que d’enfanter dans la douleur a non seulement fait son temps, mais est aussi fausse. L’accouchement sous péridurale, donne le droit aux femmes de moins souffrir. La péridurale a le même effet qu’une anesthésie locale. Grâce à une injection qui se fait via l’espace péridural, les douleurs de l’enfantement sont atténuées.

L’allègement des douleurs permet de diminuer la fatigue maternelle. Vu que l’injection n’agit que sur une partie précise du corps, la future maman reste consciente ressent toutes les contractions sans avoir mal. La péridurale peut se pratiquer aussi bien pour un accouchement par voie basse que pour une césarienne.

Accouchement par épisiotomie
Parfois, pour permettre le passage du bébé, la sage-femme est obligée de pratiquer une incision du périnée. On parle alors d’accouchement par épisiotomie. Très fréquent lors d’un premier accouchement, cela ne signifie en rien que vous en aurez une pour un deuxième ou un troisième enfant.

Accouchement sous hypnose
Si vous voulez contrôler les douleurs lors de l'accouchement sans prendre la péridurale, il vous reste un choix : celui de l'accouchement sous hypnose. De plus en plus d'hôpitaux proposent aux futures mamans, d'accoucher sous hypnose.

L'objectif : loin des clichés que l'on se fait de l'hypnose, aider la maman à atteindre la transe hypnotique afin de supporter sereinement les douleurs liées aux contractions. Tout en restant consciente, les mamans distinguent leur esprit de leur corps et accouchent plus paisiblement.








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Reins, comment les préserver et pourquoi sont-ils indispensables ?
En cette journée mondiale des reins 2015, nous revenons pour vous sur les fonctionnalités de cet organe et sur le traitement des maladies des reins.

Comment fonctionne le rein ?
Le rein est un immense filtre qui purifie la totalité du sang. À chaque fois que le cœur éjecte le sang, il passe par les reins, et le rein est débarrassé de ses déchets, via l'urine, pour ne garder que les substances importantes.

Le rein a d'autres fonctions, notamment, maintenir un équilibre intérieur (équilibre acide-base). Le rein est donc en permanence en train de réguler l'acidité du sang.

C'est aussi une glande qui secrète un certain nombre de substances dont la rénine. La rénine permet de réguler la tension artérielle et la maintient dans les limites de la normale, c'est-à-dire autour de 13/8.

Le rein secrète également des hormones appelées érythropoïétines qui servent à synthétiser les globules rouges qui captent l'oxygène. Plus on en a, plus on a d'oxygènes.

Les maladies des reins
Les maladies des reins sont innombrables. Toutes les pathologies qu'on a dans l'organisme peuvent se retrouver dans le rein. La plus grave est l'insuffisance rénale chronique.

Les reins peuvent également être touchés par des inflammations ou des infections. Les maladies cardiovasculaires déteignent également sur l'activité du rein. Quand on souffre de pathologie au niveau cardiovasculaire, une artère irrigue le rein et en diminue l'infiltration.

Traitement de la maladie des reins
En cas d'insuffisance rénale, on peut vivre avec un seul rein. Ce rein bien portant, va contre balancer la perte de fonctionnalité de l'autre, mais il est impossible de vivre sans rein, parce que très rapidement, on se retrouve avec des toxines dans le corps qui ne sont pas éliminées.

Quand on souffre d'insuffisance rénale aigue, le recours à la dialyse s'avère indispensable. La dialyse permet d'épurer le sang à intervalle de temps régulier. On ne peut cependant pas vivre très longtemps sous dialyse, il y a un moment où on est obligé de passer à la greffe du rein.





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