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Santé

Partout dans le monde, les enfants sont beaucoup plus susceptibles que jamais de développer des allergies alimentaires. Les enquêtes sur la mort d'adolescents britanniques après avoir mangé du beurre, du sésame et des arachides ont mis en lumière les conséquences parfois tragiques. L'année dernière, une fillette de six ans en Australie-Occidentale est décédée des suites d'une allergie aux produits laitiers.


Pourquoi nous devenons de plus en plus allergiques aux aliments
L'augmentation des allergies au cours des dernières décennies a été particulièrement sensible en Occident. L'allergie alimentaire touche aujourd'hui environ 7 % des enfants au Royaume-Uni et 9 % des enfants en Australie. En Europe, 2% des adultes souffrent d'allergies alimentaires. Des réactions mettant la vie en danger peuvent même être provoquées par des traces d'aliments déclencheurs, ce qui signifie que les patients et les familles vivent dans la peur et l'anxiété. Les restrictions alimentaires qui s'ensuivent peuvent devenir un fardeau pour la vie sociale et familiale. Bien que nous ne puissions pas dire avec certitude pourquoi les taux d'allergies augmentent, les chercheurs du monde entier travaillent dur pour trouver des moyens de combattre ce phénomène.

Qu'est-ce qui cause une allergie ?

Une allergie est causée par le système immunitaire qui combat les substances dans l'environnement qu'il devrait considérer comme inoffensives, connues sous le nom d'allergènes.Ces substances innocentes deviennent des cibles, entraînant des réactions allergiques. Les symptômes vont de la rougeur de la peau, de l'urticaire et de l'enflure jusqu'aux vomissements, diarrhées, difficultés respiratoires et choc anaphylactique dans les cas les plus graves. Certains des aliments les plus courants auxquels les enfants sont allergiques sont: lait, œufs, cacahuètes, noix (exemple : noisettes, amandes, pignons de pin, noix du Brésil, pacanes), sésame, poisson, mollusques et crustacés (par exemple : crustacés et mollusques)

Source: Autre Presse
Trois véritables sources végétales d'acides gras Oméga-3
Les acides gras oméga-3 apportent d’importants bienfaits pour la santé de l’organisme. Voici des aliments riches en acides oméga-3 à inclure dans notre alimentation pour être en bonne santé, prévenir de futures maladies et réduire de manière considérable le risque cardiovasculaire.

Huile de lin

L’huile de lin est composée de 75 % d’oméga-3 et de 25 % d’oméga-6. C’est un aliment très important pour le métabolisme des prostaglandines, régulateurs de l’inflammation. Une cuillère à soupe apporte près de 7 grammes d’oméga-3. C’est ainsi l’une des sources végétales d’acides gras oméga-3 les plus importantes.

Noix

Les noix possèdent un ratio équilibré 5 pour 1 entre oméga-3 et oméga-6. Avec 14 noix -environ 60 grammes, on couvre 50 % des besoins quotidiens en oméga-3.

Avocat

Cet aliment est une importante source végétale d’acides gras oméga-3 et il permet de faire baisser le taux de "mauvais cholestérols". Voici une bonne raison de se régaler avec l’avocat.





Mam Dieng
Sinusite aiguë ou sinusite chronique: Une technique efficace pour vous soulager
Nez bouché, maux de tête, douleurs dans la bouche, douleurs entre les yeux et le nez, fièvre, ronflements, apnée du sommeil, difficultés à respirer… sont souvent les symptômes de la sinusite. Si vous souffrez de sinusite, essayez cette technique efficace pour soulager la sinusite et rafraîchir le nez.

Ce remède permet de nettoyer les voies respiratoires et aide à soulager les symptômes de la sinusite.

Mode d’emploi

- Épluchez et hachez un oignon.
- Mettez-le à chauffer dans ½ litre d’eau à feu doux.
- Ajoutez 1 cuillerée à café de romarin et laissez bouillir jusqu’à ébullition.
- Retirez du feu et rapprochez votre visage au-dessus et recouvrez-vous d’un linge pour inhaler les vapeurs.
- Répétez deux fois par jour.




Mam Dieng
Remède naturel au citron pour combattre le mal de gorge
Le citron protège la gorge. Grace à sa haute teneur en vitamine C antioxydante et en oligo-éléments possède un fort pouvoir anti-inflammatoire et aident à réduire l’inflammation de la gorge. Si vous avez un mal de gorge, essayez ce remède efficace.

Mode d’emploi:

- Mettez 1 cuillère à café de miel et le jus d’un demi-citron dans une grande tasse.

- Faites bouillir 250 ml d’eau, laissez refroidir un peu et versez la dans la tasse, mélangez et buvez immédiatement.




Mam Dieng
Six choses que tout le monde devrait savoir sur l'ovulation
Qu‘est-ce que l’ovulation?

Chaque mois, l’un de vos ovaires libère un ovule mature, qui se dirige ensuite dans l’une de vos trompes de Fallope. S’il est fertilisé, l’œuf se déplace vers l’utérus et s’installe dans la doublure qui devient épais.
L’ovule ne survit que pendant environ 12 à 24 heures. S’il n’est pas fertilisé, vous rejetez cette doublure utérine (c’est-à-dire que vous avez vos menstrues). Ce processus qui se déroule généralement une fois dans chaque cycle menstruel est appelé l’ovulation.

Douleur d’ovulation: Est-ce normal ?

La douleur d’ovulation, ou » mittelschmerz « , est une douleur à mi cycle qu’on ressent sur le côté et qui se produit autour du moment de l’ovulation. Elle est assez fréquente, peut être une douleur légère ou bien forte qui peut durer de quelques minutes à vingt-quatre heures. Elle est habituellement douce et peut être soulagée efficacement avec des analgésiques en vente libre, mais certaines femmes sont confrontées à un degré de douleur plus intense qui peut nécessiter une évaluation par un médecin.
Il n’y a pas de réponse définitive quant à la raison de la douleur. Certains pensent que c’est due à l’agrandissement de l’ovule avant la libération, tandis que pour d’autres l’inconfort est lié au saignement régulier qu’une femme éprouve dans son ovule durant l’ovulation.

Votre corps ne crée pas de nouveaux œufs chaque mois

Une boîte de thon, c’est pratique et c’est bon ! Oui, mais au-delà : quels sont ses atouts nutritionnels. Et puis comment bien le consommer ? Conseils et idées recettes avec Olivia Szeps, diététicienne-nutritionniste


Comment bien consommer et se faire plaisir avec le thon ?
De façon générale, comment nous conseilleriez-vous de consommer le poisson ?

Pour les poissons dits gras comme le saumon, la sardine, certains maquereaux, le hareng…, je dirais une à deux fois par semaine maximum ; ma recommandation est la même pour le thon en conserve. Pour les poissons maigres type colin, cabillaud…, je dirais ici deux à trois fois par semaine si vous mangez peu de viande ou d’oeuf. Quoiqu’il en soit, tout va aussi dépendre de votre état de santé et de comment vous allez cuisiner et intégrer le poisson dans votre alimentation, et j’ajouterai qu’il est toujours intéressant de varier les poissons !
Il est toujours intéressant de varier les poissons

Justement, comment varier les plaisir avec le thon ?

Le thon en conserve va bien se marier avec des salades, notamment. Des salades de pâtes, de riz, de quinoa accompagnées de multiples légumes cuits ou crus : profitons-en, en effet, pour augmenter notre consommation de légumes ! Ou plus simplement, une salade classique : thon, tomates, maïs… Vu qu’il est non gras et protéiné vous pouvez aussi intégrer le thon en conserve dans vos préparations apéritives en créant une sorte de rillettes avec du fromage frais et des herbes (la ciboulette est une bonne idée), et y ajouter éventuellement un filet d’huile d’olive de bonne qualité. Vous pouvez aussi créer de petits roulés avec des feuilles de brique dans lesquelles vous pouvez faire un mélange thon, fromages frais et oeuf écrasé, à mettre au four ensuite. En règle générale, évitez d’ajouter trop de sel dans vos préparations à base de thon en conserve ! Encore une fois mieux vaut privilégier les épices et les herbes. Vous pouvez imaginer aussi faire une quiche à base de thon, tomates et moutarde. Là encore, on peut varier les plaisirs en changeant les légumes : thon-poireaux, thon-courgettes etc… En plat chaud et cuisiné, ça marche aussi pour une sauce tomates, par exemple, avec des olives noires et du basilic.

Se faire une couleur vous met-il en danger ? La question se pose au vu des découvertes des National Institutes of Health. Les scientifiques assurent que les colorations et les produitsde lissage augmentent les risques de développer un cancer du sein.


Cancer du sein: Les couleurs et les produits de lissage augmentent les risques
Les femmes qui se teignent ou se lissent les cheveux ont plus de risques de développer un cancer du sein que les celles qui n’utilisent aucun de ces produits chimiques sur leur chevelure.

Coloration et cancer du sein sont liés

L’équipe scientifique des National Institutes of Health - institutions gouvernementales américaines qui s'occupent de la recherche médicale - ont analysé les dossiers de 46 709 femmes. Elle a constaté que les participantes qui avaient utilisé de la teinture permanente pour les cheveux au cours de l’année précédente étaient 9% plus susceptibles de développer un cancer du sein par rapport à celles gardant une crinière naturelle.

Le risque est encore plus élevé chez les femmes afro-américaines. Pour elles, l’utilisation d’une couleur permanente toutes les cinq à huit semaines était associée à un risque accru de cancer du sein de 60%. Les participantes de type caucasien avaient pour leur part un risque de 8%.

Alexandra White, auteure correspondante et directrice du groupe NIEHS sur l'épidémiologie de l'environnement et du cancer qui a travaillé sur ce projet, a expliqué “les chercheurs étudient depuis longtemps le lien possible entre la teinture pour les cheveux et le cancer, mais les résultats sont inégaux". Elle ajoute "Dans notre étude, nous voyons un risque plus élevé de cancer du sein associé à l'utilisation de la teinture pour les cheveux, et l'effet est plus fort chez les femmes afro-américaines, en particulier celles qui en utilisent fréquemment."

Depuis sept ans, Béatrice Lokwawi parcourt des kilomètres tous les jours pour sauver des bébés. Le médecin se déplace de villages en villages dans le nord du Kenya pour diagnostiquer et traiter les personnes atteintes de pneumonie. Elle utilise des billes pour compter et diagnostiquer la maladie chez les bébés. L'ingestion rapide d'air expiré pouvant être un indicateur précoce de la maladie, chaque perle représente un souffle.


Comment un collier de perles aide à prévenir la pneumonie au Kenya
"Ces perles m'aident à déterminer le rythme respiratoire de l'enfant. Quand un enfant inhale et expire, on compte ça comme un souffle. Si je compte cinq perles et plus, je diagnostique une pneumonie et je réfère le bébé à l'hôpital, explique Beatrice Lokwawi. Un souffle court, une respiration et un pouls rapides peuvent être symptomatiques d'une pneumonie. Ces billes aident donc à la détection précoce de la maladie.

"J'ai été formée à l'utilisation de ces perles, c'est comme ça que je sais si un bébé est en danger ou non." Dans la région, on l'appelle communément "le docteur de village". "J'ai décidé de devenir médecin de village pour pouvoir aider notre peuple. Il y a beaucoup de gens sans instruction ici. J'ai décidé de devenir bénévole pour la santé de la communauté. Nous avions beaucoup de cas de pneumonie. Depuis que les volontaires de la communauté ont commencé à visiter les villages, le nombre de cas a diminué. Lorsque vous visitez un village, vous pouvez consulter près de 10 femmes ainsi que leurs enfants de moins de 5 ans."

L'OMS définit la pneumonie comme "une infection respiratoire aiguë affectant les poumons". Elle peut être provoquée par des virus, des bactéries ou des champignons. Mais principalement la maladie est généralement causée par la malnutrition, la pollution de l'air et l'eau insalubre. Elle se transmet généralement lors d'un contact direct avec une personne infectée.

La maladie affecte particulièrement les personnes les plus vulnérables tels que les enfants, les personnes âgées ou encore les personnes dont le système immunitaire est affaibli. La pneumonie, première cause infectieuse de mortalité chez l'enfant selon l'OMS, est à l'origine de "15 % du nombre total de décès d'enfants de moins de 5 ans dans le monde" (2015).

Source: Autre presse

Bientôt des injections et des implants pour soigner le VIH ? Des recherches et des tests sont en cours sur ce qu’on appelle des « médicaments à libération prolongée », un système déjà utilisé pour la contraception.


Lutte contre le sida: l'espoir des «médicaments à libération prolongée»
Ces nouveaux médicaments pourraient, d’ici quelques années, venir remplacer les pilules orales antirétrovirales à prendre tous les jours. Pour les médecins et autres spécialistes, présents à la Conférence internationale sur le sida et les maladies sexuellement transmissibles en Afrique (ICASA), qui se tient cette semaine à Kigali, il pourrait s’agir d’une véritable révolution dans la lutte contre le VIH en Afrique.

« On est fatigués »

Sur le continent, de plus en plus de séropositifs sont sous traitement anti rétroviral. Mais Eric Goemaere, médecin chez Médecins sans frontières (MSF), assure que près de la moitié de ses patients sud-africains abandonnent les pilules à un moment ou à un autre. En cause, un accès difficile aux centres de santé qui les distribuent : « Il faut faire la queue. Cela prend toute une journée pour venir et souvent, ça coûte cher. On est fatigués de prendre ces pilules tous les jours. C’est stigmatisant. Il ne faut pas les oublier, il faut toujours les avoir avec soi. Ce n’est pas une solution à long terme. »

►Sida: l'histoire d’une épidémie, en une infographie

Les « médicaments à libération prolongée » permettraient, quant à eux, des prises plus espacées, avec une injection tous les mois, ou tous les deux mois, ou la pose d’un implant sous la peau qui pourrait durer encore plus longtemps. Selon Carmen Perez Casas, directrice stratégie au sein de l’organisation Unitaid, ils seraient aussi plus efficaces : « Je pense que c’est révolutionnaire, car l’absorption est tellement régulière, il n’y a pas de pic d’absorption du médicament, et donc le virus est contrôlé. »

Prévention du sida

Pour l’instant, l’essentiel de la recherche se concentre sur l’application de ce type de médicament à la prévention du sida. Mais beaucoup espèrent le voir appliquer au traitement du VIH d’ici quelques années.

On connaît la chlorophylle pour la saveur du chewing-gum, moins pour ses propriétés bonne mine et anti-âge. Car oui, la chlorophylle possède de nombreux bienfaits pour la peau : on vous explique pourquoi en abuser.


Les bienfaits de la chlorophylle pour la peau
LA CHLOROPHYLLE, C’EST QUOI EXACTEMENT ?

La chlorophylle est un pigment végétal de couleur verte, présente dans tous les végétaux aquatiques et terrestres. Elle est essentielle à leur survie puisqu’elle intervient dans le processus de photosynthèse indispensable à leur croissance. La chlorophylle compte aussi des propriétés qui sont similaires à celles de l’hémoglobine présente dans le sang, d’où sa capacité à retenir l’oxygène.

LES BIENFAITS ANTI-ÂGE DE LA CHLOROPHYLLE

La chlorophylle est une source énergétique antioxydante de premier ordre : elle permet de lutter contre l’excès de radicaux libres dans l’organisme et donc contre le vieillissement prématuré de la peau.

LES PROPRIÉTÉS BONNE MINE DE LA CHLOROPHYLLE

La chlorophylle est une substance facilement assimilable par l’organisme, puisqu’elle ressemble à l’hémoglobine : elle est capable de stimuler la circulation de l’oxygène dans le sang via les globules rouges. Résultat : un effet bonne mine et un teint frais assuré ! Ses bienfaits détoxifiants permettent aussi à la peau de retrouver de la luminosité.

LES VERTUS RÉPARATRICES DE LA CHLOROPHYLLE
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