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Santé

Une boîte de thon, c’est pratique et c’est bon ! Oui, mais au-delà : quels sont ses atouts nutritionnels. Et puis comment bien le consommer ? Conseils et idées recettes avec Olivia Szeps, diététicienne-nutritionniste


Comment bien consommer et se faire plaisir avec le thon ?
De façon générale, comment nous conseilleriez-vous de consommer le poisson ?

Pour les poissons dits gras comme le saumon, la sardine, certains maquereaux, le hareng…, je dirais une à deux fois par semaine maximum ; ma recommandation est la même pour le thon en conserve. Pour les poissons maigres type colin, cabillaud…, je dirais ici deux à trois fois par semaine si vous mangez peu de viande ou d’oeuf. Quoiqu’il en soit, tout va aussi dépendre de votre état de santé et de comment vous allez cuisiner et intégrer le poisson dans votre alimentation, et j’ajouterai qu’il est toujours intéressant de varier les poissons !
Il est toujours intéressant de varier les poissons

Justement, comment varier les plaisir avec le thon ?

Le thon en conserve va bien se marier avec des salades, notamment. Des salades de pâtes, de riz, de quinoa accompagnées de multiples légumes cuits ou crus : profitons-en, en effet, pour augmenter notre consommation de légumes ! Ou plus simplement, une salade classique : thon, tomates, maïs… Vu qu’il est non gras et protéiné vous pouvez aussi intégrer le thon en conserve dans vos préparations apéritives en créant une sorte de rillettes avec du fromage frais et des herbes (la ciboulette est une bonne idée), et y ajouter éventuellement un filet d’huile d’olive de bonne qualité. Vous pouvez aussi créer de petits roulés avec des feuilles de brique dans lesquelles vous pouvez faire un mélange thon, fromages frais et oeuf écrasé, à mettre au four ensuite. En règle générale, évitez d’ajouter trop de sel dans vos préparations à base de thon en conserve ! Encore une fois mieux vaut privilégier les épices et les herbes. Vous pouvez imaginer aussi faire une quiche à base de thon, tomates et moutarde. Là encore, on peut varier les plaisirs en changeant les légumes : thon-poireaux, thon-courgettes etc… En plat chaud et cuisiné, ça marche aussi pour une sauce tomates, par exemple, avec des olives noires et du basilic.

Se faire une couleur vous met-il en danger ? La question se pose au vu des découvertes des National Institutes of Health. Les scientifiques assurent que les colorations et les produitsde lissage augmentent les risques de développer un cancer du sein.


Cancer du sein: Les couleurs et les produits de lissage augmentent les risques
Les femmes qui se teignent ou se lissent les cheveux ont plus de risques de développer un cancer du sein que les celles qui n’utilisent aucun de ces produits chimiques sur leur chevelure.

Coloration et cancer du sein sont liés

L’équipe scientifique des National Institutes of Health - institutions gouvernementales américaines qui s'occupent de la recherche médicale - ont analysé les dossiers de 46 709 femmes. Elle a constaté que les participantes qui avaient utilisé de la teinture permanente pour les cheveux au cours de l’année précédente étaient 9% plus susceptibles de développer un cancer du sein par rapport à celles gardant une crinière naturelle.

Le risque est encore plus élevé chez les femmes afro-américaines. Pour elles, l’utilisation d’une couleur permanente toutes les cinq à huit semaines était associée à un risque accru de cancer du sein de 60%. Les participantes de type caucasien avaient pour leur part un risque de 8%.

Alexandra White, auteure correspondante et directrice du groupe NIEHS sur l'épidémiologie de l'environnement et du cancer qui a travaillé sur ce projet, a expliqué “les chercheurs étudient depuis longtemps le lien possible entre la teinture pour les cheveux et le cancer, mais les résultats sont inégaux". Elle ajoute "Dans notre étude, nous voyons un risque plus élevé de cancer du sein associé à l'utilisation de la teinture pour les cheveux, et l'effet est plus fort chez les femmes afro-américaines, en particulier celles qui en utilisent fréquemment."

Depuis sept ans, Béatrice Lokwawi parcourt des kilomètres tous les jours pour sauver des bébés. Le médecin se déplace de villages en villages dans le nord du Kenya pour diagnostiquer et traiter les personnes atteintes de pneumonie. Elle utilise des billes pour compter et diagnostiquer la maladie chez les bébés. L'ingestion rapide d'air expiré pouvant être un indicateur précoce de la maladie, chaque perle représente un souffle.


Comment un collier de perles aide à prévenir la pneumonie au Kenya
"Ces perles m'aident à déterminer le rythme respiratoire de l'enfant. Quand un enfant inhale et expire, on compte ça comme un souffle. Si je compte cinq perles et plus, je diagnostique une pneumonie et je réfère le bébé à l'hôpital, explique Beatrice Lokwawi. Un souffle court, une respiration et un pouls rapides peuvent être symptomatiques d'une pneumonie. Ces billes aident donc à la détection précoce de la maladie.

"J'ai été formée à l'utilisation de ces perles, c'est comme ça que je sais si un bébé est en danger ou non." Dans la région, on l'appelle communément "le docteur de village". "J'ai décidé de devenir médecin de village pour pouvoir aider notre peuple. Il y a beaucoup de gens sans instruction ici. J'ai décidé de devenir bénévole pour la santé de la communauté. Nous avions beaucoup de cas de pneumonie. Depuis que les volontaires de la communauté ont commencé à visiter les villages, le nombre de cas a diminué. Lorsque vous visitez un village, vous pouvez consulter près de 10 femmes ainsi que leurs enfants de moins de 5 ans."

L'OMS définit la pneumonie comme "une infection respiratoire aiguë affectant les poumons". Elle peut être provoquée par des virus, des bactéries ou des champignons. Mais principalement la maladie est généralement causée par la malnutrition, la pollution de l'air et l'eau insalubre. Elle se transmet généralement lors d'un contact direct avec une personne infectée.

La maladie affecte particulièrement les personnes les plus vulnérables tels que les enfants, les personnes âgées ou encore les personnes dont le système immunitaire est affaibli. La pneumonie, première cause infectieuse de mortalité chez l'enfant selon l'OMS, est à l'origine de "15 % du nombre total de décès d'enfants de moins de 5 ans dans le monde" (2015).

Source: Autre presse

Bientôt des injections et des implants pour soigner le VIH ? Des recherches et des tests sont en cours sur ce qu’on appelle des « médicaments à libération prolongée », un système déjà utilisé pour la contraception.


Lutte contre le sida: l'espoir des «médicaments à libération prolongée»
Ces nouveaux médicaments pourraient, d’ici quelques années, venir remplacer les pilules orales antirétrovirales à prendre tous les jours. Pour les médecins et autres spécialistes, présents à la Conférence internationale sur le sida et les maladies sexuellement transmissibles en Afrique (ICASA), qui se tient cette semaine à Kigali, il pourrait s’agir d’une véritable révolution dans la lutte contre le VIH en Afrique.

« On est fatigués »

Sur le continent, de plus en plus de séropositifs sont sous traitement anti rétroviral. Mais Eric Goemaere, médecin chez Médecins sans frontières (MSF), assure que près de la moitié de ses patients sud-africains abandonnent les pilules à un moment ou à un autre. En cause, un accès difficile aux centres de santé qui les distribuent : « Il faut faire la queue. Cela prend toute une journée pour venir et souvent, ça coûte cher. On est fatigués de prendre ces pilules tous les jours. C’est stigmatisant. Il ne faut pas les oublier, il faut toujours les avoir avec soi. Ce n’est pas une solution à long terme. »

►Sida: l'histoire d’une épidémie, en une infographie

Les « médicaments à libération prolongée » permettraient, quant à eux, des prises plus espacées, avec une injection tous les mois, ou tous les deux mois, ou la pose d’un implant sous la peau qui pourrait durer encore plus longtemps. Selon Carmen Perez Casas, directrice stratégie au sein de l’organisation Unitaid, ils seraient aussi plus efficaces : « Je pense que c’est révolutionnaire, car l’absorption est tellement régulière, il n’y a pas de pic d’absorption du médicament, et donc le virus est contrôlé. »

Prévention du sida

Pour l’instant, l’essentiel de la recherche se concentre sur l’application de ce type de médicament à la prévention du sida. Mais beaucoup espèrent le voir appliquer au traitement du VIH d’ici quelques années.

On connaît la chlorophylle pour la saveur du chewing-gum, moins pour ses propriétés bonne mine et anti-âge. Car oui, la chlorophylle possède de nombreux bienfaits pour la peau : on vous explique pourquoi en abuser.


Les bienfaits de la chlorophylle pour la peau
LA CHLOROPHYLLE, C’EST QUOI EXACTEMENT ?

La chlorophylle est un pigment végétal de couleur verte, présente dans tous les végétaux aquatiques et terrestres. Elle est essentielle à leur survie puisqu’elle intervient dans le processus de photosynthèse indispensable à leur croissance. La chlorophylle compte aussi des propriétés qui sont similaires à celles de l’hémoglobine présente dans le sang, d’où sa capacité à retenir l’oxygène.

LES BIENFAITS ANTI-ÂGE DE LA CHLOROPHYLLE

La chlorophylle est une source énergétique antioxydante de premier ordre : elle permet de lutter contre l’excès de radicaux libres dans l’organisme et donc contre le vieillissement prématuré de la peau.

LES PROPRIÉTÉS BONNE MINE DE LA CHLOROPHYLLE

La chlorophylle est une substance facilement assimilable par l’organisme, puisqu’elle ressemble à l’hémoglobine : elle est capable de stimuler la circulation de l’oxygène dans le sang via les globules rouges. Résultat : un effet bonne mine et un teint frais assuré ! Ses bienfaits détoxifiants permettent aussi à la peau de retrouver de la luminosité.

LES VERTUS RÉPARATRICES DE LA CHLOROPHYLLE

Le massage est l’un des meilleurs moyens que nous avons à notre disposition pour se détendre, se relaxer et relâcher toutes nos tensions physiques et psychiques.


Massages: Ses bienfaits relaxants et pourquoi se faire masser ?
Dans un monde où nous dormons en moyenne ⅓ de notre journée, où nous travaillons un autre ⅓ et le tiers restant est occupé par des obligations familiales ou personnelles comme faire les courses, s’occuper des enfants, préparer à manger, sortir les poubelles, envoyer les derniers courriers et mails, etc…

Nous arrivons à un point où nous n’avons même plus une seconde pour nous-même et le niveau de stress est devenu oppressant pour de nombreuses personnes. C’est pourquoi, il est important de prendre du temps pour vous parce que personne ne le fera à votre place.

Cela ne veut pas dire être égoïste mais simplement de prendre du temps pour vous remplir d’énergie. Si vous êtes vidés d’énergie et soumis au stress en permanence, vous ne pourrez pas rendre service aux autres parce que vous même, vous n'êtes pas bien.

C’est pourquoi, j’aimerai vous partager dans cet article, les bienfaits du massage pour détendre son corps physique et libérer les noeuds émotionnels que vous aurez pu créé en période de stress ou d’activité physique.

Se nourrir de toucher est quelque chose que nous avons oublié en Occident avec l’essor des grandes religions qui voyaient d'un mauvais oeil le contact physique. Mais il est important de savoir que le massage est pratiqué depuis des millénaires en Orient.

S'il y avait des preuves qu'un seul aliment pourrait améliorer votre libido, votre puissance ou votre plaisir sexuel, il serait probablement vendu.
Une alimentation équilibrée, un mode de vie actif et une bonne santé mentale peuvent améliorer votre vie sexuelle - mais existe-t-il des aliments qui sont des aphrodisiaques naturels ?


Certains aliments sont-ils vraiment des aphrodisiaques naturels ?
Les ingrédients qui déclenchent les endorphines qui provoquent le bonheur, qui contiennent des nutriments associés à une libido saine, ou qui sont simplement liés à la richesse et au succès, sont souvent considérés comme des stimulants de la libido.
Examinons l'histoire et la science derrière les théories et examinons si l'un de ces aliments peut réellement améliorer votre vie sexuelle.

Casanova, peut-être l'amant le plus célèbre de l'histoire, aurait mangé 50 huîtres au petit déjeuner.
Cependant, il n'y a pas de lien prouvé entre les huîtres et l'augmentation de la libido, alors d'où vient la rumeur ?
La légende raconte que quand Aphrodite - la déesse grecque de l'amour sexuel - naquit de l'écume blanche et s'éleva de la mer... et les fruits de mer devinrent ainsi considérés comme aphrodisiaques.
Mais il y a de bonnes nouvelles pour les amateurs d'huîtres : ces précieux mollusques regorgent de zinc, un nutriment essentiel pour la production de testostérone.
La recherche a suggéré que le zinc peut aider dans le traitement de l'infertilité masculine et améliorer la qualité du sperme.
Parmi les autres bonnes sources de zinc, mentionnons les mollusques, la viande rouge, les graines (comme la citrouille, le chanvre et le sésame), les noix (comme les noix de cajou et les amandes), les légumes (pois chiches et haricots rouges), le lait et le fromage.

Le chocolat noir peut-il faire de vous un meilleur amant ?

Vous êtes classée parmi les grossesses à risque, cela ne veut pas dire que les neuf mois à venir vont mal se passer. Ce qui compte ? Surveiller certains facteurs ou pathologies pour anticiper d'éventuels problèmes et choisir une maternité adaptée (niveau 3).


Qu'est-ce qu'une grossesse à risque ?
Qu'est-ce qu'une grossesse à risque ?

Les grossesses tardives, les grossesses multiples ou encore les grossesses avec une maladie chronique sont considérées à risque. Explications selon chaque profil.

Vous êtes enceinte après 38 ans : votre grossesse est considérée à risque

On considère qu'une grossesse est tardive, lorsque la future maman a 38 ans et plus. Si, à cet âge, il est plus difficile de tomber enceinte, la grossesse comporte aussi plus de risques. Les fausses couches du premier trimestre sont plus nombreuses, en comparaison avec celles des femmes plus jeunes.

C'est pourquoi la surveillance de la future maman est essentielle dès les premiers mois de grossesse. La toxémie gravidique, les retards de croissance intra-utérins ou encore le diabète gestationnel sont aussi plus fréquents après l’âge de 38-40 ans. Il faut également savoir que les risques d'accouchement prématuré et de trisomie 21 sont un peu plus importants.

Quelle surveillance pour une grossesse tardive ?
Le jus de carotte: Découvrons ses bienfaits pour notre organisme
Pourquoi devons-nous boire le jus de carotte? La réponse est toute simple :

un grand verre de jus de carotte contient moins de 100 kilocalories, très peu de matières grasses, des protéines, des glucides, et quelques fibres. Il est riche en potassium, en vitamine C, en thiamine, en vitamine B6, en vitamine A, et en vitamine K. Ces vitamines et minéraux en font une boisson antioxydante et anti-inflammatoire.

Paradoxalement, malgré sa forte teneur en sucre, la carotte favorise une bonne régulation de la glycémie.

Le jus de carotte est bon pour lutter contre la fatigue

Le jus de carotte a une action bénéfique sur notre organisme pendant les changements de saison, période de fatigue, car il permet de le recharger en vitamines !

Le jus de carotte est bon pour lutter contre les infections

Il aide l’organisme à résister aux infections, son action se conjuguant à celle des glandes surrénales. Il contribue à la prévention des ophtalmies, des laryngites, des amygdalites, des sinusites, et de toutes les infections des organes respiratoires.

Vous vous asseyez souvent les jambes croisées ? Mauvaise idée. S'asseoir “comme un homme” - c’est-à-dire les jambes écartées - serait le meilleur moyen pour les femmes d'éviter les douleurs articulaires.


S'asseoir les jambes croisées favoriserait l’apparition de douleur au genou !
Si vous vous asseyez les jambes croisées, il va falloir arrêter. Cette mauvaise habitude engendrerait des douleurs et abîmerait vos articulations.

La position assise "masculine" est meilleure pour vos articulations

Les femmes - souvent assises dans cette position ou avec les jambes “sur le côté” - seraient particulièrement sujettes à ce problème.

Selon le Dr Barbara Bergin, chirurgienne orthopédique au Texas, celles-ci devraient plutôt “s'asseoir et se tenir debout comme les hommes” pour éviter la douleur.
La gente féminine a en effet la fâcheuse habitude de s'asseoir les genoux serrés, ce qui tord le fémur et exerce une pression sur les articulations et les muscles de soutien.
À l’inverse, les hommes ont tendance à s'asseoir les jambes écartées et les pieds fermement sur le sol, en gardant leur corps aligné et stable et en se tenant fermement sur les deux pieds plutôt que de se pencher sur le côté.
Or, les jambes non croisées permettraient de conserver la courbe naturelle de la colonne vertébrale.
Selon le Dr Bergin, les positions debout et assises des hommes sont encore meilleures pour les femmes, "car leur bassin plus large fait pivoter naturellement le fémur".
Par ailleurs, adopter une position "plus masculine", atténue en grande partie les douleurs et les tensions causées par les jambes croisées ou penchées.
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